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Gabon: FEGAFOOT: Placide Engandzas attendu pour vaincre l’inorganisation et l’improvisation

Le mandat qu’entame Placide Engandzas, à la Fédération gabonaise de football (FEGAFOOT) pour la période 2009 – 2013, est riche d’événements et l’on s’attend à ce qu’il rompe avec le cycle répété de l’inorganisation et de l’improvisation constantes dans le milieu du football gabonais.
Parmi les événements sur lesquels le président de la FEGAFOOT sera jugé, l’on note les qualifications pour les phases finales zone Afrique de la CAN/Coupe du Monde 2010 en Angola et en Afrique du Sud, les préparatifs de la phase finale de la CAN 2012 que le Gabon co-organise avec la Guinée Equatoriale, les éliminatoires des CAN Féminines 2010 et 2012, les juniors en 2011 et 2013, les cadets en 2011 et 2013, les jeux africains de 2011 ainsi que les espoirs pour les jeux olympiques de Londres en 2012.

Ce vaste programme exige de la part de la Fédération, estime les observateurs du football gabonais, une large réflexion et une programmation minutieuse. Selon ces derniers, chacune de ces compétitions représente un challenge et un enjeu dans le cadre du développement du football gabonais.

Pour 2010, les « Panthères » sont attendues au tournant dans une poule A composée des Lions indomptables du Cameroun, candidats potentiels à une qualification à la Coupe du monde, des Lions de l’Atlas du Maroc et des Eperviers du Togo tous mondialistes ces huit dernières années. Ceci donnant un plateau royal qui devrait désigner un mondialiste et trois qualifiés pour la phase finale de la CAN 2010, en Angola à partir du mois de mars 2009.

Parallèlement à ces éliminatoires, une réflexion repose sur l’organisation de la phase finale de la CAN 2012. La construction des stades aux normes FIFA, la mise à jour des lieux et sites d’accueil, le fonctionnement des Comités, en un mot la mise en place des options pratiques.

Le football féminin, qui n’existe plus depuis belles lurettes, devrait retrouver ses couleurs. A ce niveau, le nouveau président se doit de présenter une politique cohérente. « La tentation est forte, selon les observateurs, entre la création d’une ligue spéciale et la responsabilisation d’un cadre de la Fédération ne s’occupant que de ce domaine. » Des partenariats devraient être envisagés en direction des milieux scolaires, relèvent-ils.

Quant aux jeunes, ils constituent le talon d’Achille du football gabonais. Cette catégorie ne revêt de l’importance que lorsqu’il s’agit des compétitions internationales. Il n’existe aucun regroupement saisonnier comme le font les voisins camerounais ou congolais de RDC par exemple. Il en est de même des espoirs qui sont souvent confondus aux seniors, ajoutent les analystes.

Ces manquements constituent des faiblesses et témoignent de l’inorganisation à laquelle s’ajoute l’improvisation,depuis plus d’un quart de siècle, déclare Luc Ivanga Journaliste reporter des sports.
Enfin, soulignent-ils, maintenant qu’il existe une Ligue nationale n’ayant pour objet que la gestion du championnat national de football, la Fédération a du champ libre pour se consacrer à ses missions régaliennes.

Exprimez-vous!

  1. Tout le monde connait la gestion scabreuse des affaires de Enganzas..il a eu la benediction du clan pour revenir piller apres la Douane et la fegafoot il y a quelques annees.
    Honte a vous gabonais…honte au tribalisme

  2. alors ce sont des foutaises.pendant que l ancien a permis au football gabonais de reecrire ses lettres de noblesse.il se fait debarquer a la veille de la can pour installer un imposteur.qui avait enfoncer le football gabonais.

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