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Gabon: L’expérience du Riz Nérica au Gabon assez porteuse

La plantation rizicole pilote de Kougouleu, environ 65 km de Libreville, introduite au Gabon en mi-février dernier paraît ne rencontrer aucune difficulté sur le terrain, selon le directeur général de l’Office national du développement rural (ONADER), Daniel Obame Ondo, accompagné de l’ambassadeur du Japon au Gabon, Motoi Kato. Ce projet s’inscrit dans le cadre d’un partenariat tripartite entre le Japon, le Centre du Riz pour l’Afrique, ADRA et le Gabon.

36 variétés de Riz Nirica au total font l’objet d’une expérimentation à Bikélé (banlieue nord) de Libreville et à Kougouleu sur la nationale 1.

L’objectif de cette expérience est de retenir pour le Gabon une variété de riz facilement cultivable et appréciée des habitants du Gabon et entièrement adapté aux conditions climatiques.

Ce nouveau riz pour l’Afrique est un croisement du Nérica pluvial qui est une spéculation facilement cultivable comme le maïs et le Nerica bas-fond qui est une espèce plus rentable en terme de production. Il exige toutefois un environnement à forte capacité de rétention d’eau pour mieux se développer et donner les rendements escomptés.

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  1. C’est clair, aucune activité ne rencontre aucune dificulté sur le terrain, tout marche du moment où c’est bien mis en place. La difficulté vient des ressources humaines, car dès lors qu’on met un Gabonais à la gestion d’une entreprise qui a des potentialités de réussite, celui-ci s’empresse de cier le banc sur lequel il est assis.
    A dire qu’ils prennent plaisir à agir contre leurs propres intérêts en permanence. Vivement que les autres partenaires restent vigilants et ne fassent surtout pas l’erreur de confier la gestion financières aux Gabonais. C’est le seul moyen pour que ce projet tienne la route.
    On devrait quand même avoir honte, à tare zàm, quel pays!!!

  2. Ce n’est pas tôt mais il faut tout de même un début à tout. Je suis ravie d’apprendre que le Gabon projette de développer le secteur agricole. J’espère que ce projet ne tombera pas à l’eau comme tous les autres. Dès le départ, nous les gabonais avons été mal informés et mal éduqués à propos des richesses d’un pays. A cause des richesses du sous-sol gabonais( pétrole, manganèse etc…) nous gabonais ne réalisions pas la chance que nous avons d’être dotés d’un climat favorable aux cultures et une terre fertile propice à l’agriculture. Le Gabon est un pays béni des dieux, un pays qui a tous les atouts et les capacités pour apporter à son peuple le confort et le bien-être dont rêvent tous les êtres vivants. Les gabonais n’ont jamais su que l’agriculture fait partie de l’économie d’un pays tout comme le secteur industriel. N’est-ce pas une situation scandaleuse de constater qu’il faut aller au Cameroun voisin chercher de quoi se nourrir alors même que le sol Gabonais possède les mêmes vertus? Pour ma part, je crois que le Gabon est capable de pratiquer l’agriculure intensive à condition que le gouvernement en fasse une priorité. Les richesse naturelles étant épuisables, il était tant qu’on pense à l’après pétrole et autres…

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