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Omar Bongo est mort: Message aux Patriotes

Omar Bongo est mort

Avec l’annonce de la mort d’Omar Bongo commence le moment de vérité pour le Gabon.

Nul ne peut certainement se réjouir de la mort et nous ne nous réjouirons pas de celle, plutôt tragique, d’Omar Bongo. Nous aurons, dans les temps qui viennent, notre mot à dire sur cette mort et ce qu’elle représente pour l’avenir du Gabon.

Mais comme vous pouvez le constater, dès l’annonce de la mort de Bongo, le régime s’est attaqué au site du BDP dans une tentative de museler le BDP dès le moment où il a été (re)connu que Monsieur Bongo avait disparu.

Notre site est donc resté inaccessible depuis le moment de l’annonce de la mort le 7 juin jusqu’à pratiquement minuit et demie, heure de New York.
Oui, posez-vous la question: Aucun autre site n’a été attaqué en dehors du nôtre. Pourquoi?

Ils savaient que les Gabonais se déverseraient forcément sur le site du BDP, le site politique gabonais le plus visité, pour y rechercher la vraie information, la vérité.

La question à se poser est la suivante: Pourquoi?

Pourquoi museler le BDP dès l’annonce de la mort de Monsieur Bongo?

1) Parce que le BDP était le seul mouvement à savoir qu’Omar Bongo ne reviendrait pas au Gabon vivant. Nous avons, contre vents et marées, été les seuls à soutenir que le pouvoir était vacant au Gabon depuis le 6 mai 2009 et que la loi sur la vacance du pouvoir devait être appliquée. Cela a valu à notre mouvement une interdiction de meeting à Libreville le 23 mai dernier.

2) Parce que le BDP était le seul mouvement à avoir décidé d’aller en Espagne établir la vérité sur l’état de santé d’Omar Bongo (que nous connaissions déjà et que eux-mêmes savaient déjà aussi).

Mais ils ont paniqué. A la fin, ils ont été obligés de céder face à la pression de la vérité telle que le BDP se préparait à la révéler, et ceci face aux caméras des médias que nous avions conviés devant la Clinique Quiron pour leur apporter la preuve de cette situation hautement tragique que le régime s’évertuait à cacher aux Gabonais.

Quelles sont donc les perspectives d’avenir, en ce moment de crise pour le Gabon?

Le BDP fera, dans les tous prochains jours, des annonces d’envergure nationale en vue d’orienter les Gabonais sur à la fois l’avenir du pays et la position du BDP au moment où s’annoncent des situations de crise graves pour le Gabon.

Bongo est mort, il reste le Gabon à sauver de la dictature de ceux qui se préparent déjà à la prise en otage du pays.

En attendant, nous pouvons déjà dire ceci:

Nous voulons l’application immédiate de la procédure d’intérim commandée par l’article 13 de la Constitution actuelle du Gabon et rien d’autre. Nous demandons cela depuis le 6 mai.

Auncune autre mesure ne sera acceptable à notre mouvement.

Nous sommes pour la cohésion nationale et nous ferons sous peu des propositions allant dans ce sens.

Cellule d’urgence

En attendant, les personnes suivantes sont actuellement constituées en cellule de crise pour le compte du BDP-Gabon Nouveau.
Veuiller vous addresser à ces personnes pour tout besoin d’information.

Dr. Bruno Ella, porte parole, +33 (0) 6 15 26 44 27
Curtis Bezauna Mabicka (+44) 79 50 84 29 92
Dr Obiang : (+33) (0) 6 15 84 84 38
S. Ndong : (+22) 378345128
Emmanuelle Nguéma Minko : (+33) (0) 630803620

D’autres contacts seront rajoutés d’ici peu.

Exprimez-vous!

  1. A Monsieur NOTYE Marcel de POG

    Indubitable,induscutable et manifestement grande la profondeur de votre intérêt pour un gabon sérieux dans l’avenir.

    Cependant votre noviciat en analyse politique apparaît quand vous pensez le piège de la prostitution en politique n’est que la faiblesse de toutes les personnes que vous citez dans votre analyse certaines y étant d’ailleurs froidement insultées quand d’autres ne devraient pas se présenter:VOUS ETES DONC CET HOMME HONNETE TANT RECHERCHE PAR LES GABONAIS POUR Y MANAGER UNE GOUVERNANCE SANS FAILLES ET EGALE A CELLE DE DIEU.

    Mais le ridicule de la naïveté atteint son comble quand vous venez à solliciter la France afin qu’elle « assume » sa responsabilité historique dans la gabégie qu’elle instaura au Gabon,en 1967,par le truchement du dirigeant qui vient de disparaître dans notre pays.Aussi préconisez-vous un financement par la France des élections à venir-présidentielles voire parlementaires parceque les caisses de l’Etat seraient vides.

    Soit;qui s’assurerait alors du paiement des fonctionnaires,des bourses et autres dépenses régaliennes?la France aussi puisque vous dites au’elle a une « dette » historique en vers le Gabon!

    En effet il n’est pas interdit de faire des propositions sur l’avenir du Gabon post-bongoïste.Le forum actuel est aussi le lieu d’évaluation des différents scénario-en craignant que vous ne m’insultiez aussi,la courtoisie et le respect n’étant plus de notre gabon-

    Pour dire en conclusion que vous devriez aller plus loin,en demandant que la France finance totalement l’avenir de notre pays;celui-ci ne saurait se limiter au seul financement des campagnes électorales à moins que vous consideriez que l’essetiel des financements occultes gabonais en France n’ont consisté qu’en pourvoiement des fonds pour les principales élections de la Vème République.On Chirac vient de dire que l’on ne saurait ramener Bongo au financement d’élections en France!

    Ce serait donc une solution plus viable pour le Gabon et sans doutes,je voudrais vous croire,plus sérieuse,moins souillante et plus honnête,vous ajouteriez que de fonder le financement du développement national gabonais sur les ressources provenant de la France pour que vous soyiez la révélation en matière d’honnêteté,de bonne gouvernance de l’histoire politique du siècle!!!!

  2. PLAIDOYER POUR SORTIR LE GABON DE L’OBSCURANTISME

    Tout d’abord, en tant qu’Africain respectueux devant toute disparition d’un être humain, je dis « paix à l’âme du Président Bongo, qui vient de nous quitter ».
    J’ai en tant que « lettré » (je préfère ce substantif à celui d' »intellectuel » qui a été galvaudé à très mauvais escient par la classe qui a pillé le Gabon en compagnie de Bongo), suivi avec une attention particulière, les émissions (télévisées ou radio) qui ont suivi la disparition du Président de mon pays.
    Il y a manifestement un décalage flagrant entre les témoignages des personnalités politiques, tant africaines que françaises, et ceux des citoyens anonymes ou non de tous les pays. En effet, 99% des personnalités politiques ont vanté jusqu’à la dithyrambe, les qualités d’homme de dialogue et de médiateur international, du Président du « petit » Gabon. A l’inverse et selon moi, 80% au moins des intervenants (y compris les analystes des médias), ont axé leurs analyses sur le retard accumulé par le Gabon, disons pour faire court, sur tous les plans sans aucune exception.
    Ce décalage souligne à mon sens cette espèce de corporatisme, pour ne pas parler de duplicité, qui lie les hommes politiques de tous pays entre eux. Le témoignage du chef de la cellule africaine de l’Elysée du Président Chirac a été édifiant de ce point de vue: après avoir longuement loué et cité les différentes interventions de Bongo dans les conflits en Afrique, à la question du journaliste de RFI sur la situation intérieure du Gabon, il a répondu avec une gêne évidente en trois mots, que le Président Bongo avait échoué sur ce plan-là ! Le seul homme politique français qui a eu la dent très dure avec le défunt président, est Noël Mamère; se référant au sous-développement du Gabon malgré les richesses de son sous-sol et aux nombreux scandales financiers qui ont émaillé l’interminable règne de Bongo, Mamère l’a traité de « crapule ».

    A ce que je sache, un Président n’est pas élu pour s’occuper de médiation internationale, même si cela doit augmenter la notoriété de son pays, comme cela a été manifestement le cas pour le Gabon avec Bongo. Sauf si on me démontre le contraire, je sais qu’un Président est élu pour veiller d’abord et avant tout au bonheur du peuple qui l’a élu! Ce bonheur requiert un bon système éducatif assorti d’une saine moralité, un bon système de santé, une bonne agriculture, un bon réseau routier. Dans tous ces domaines (c’est-à-dire en fait le minimum requis pour simplement amorcer un décollage économique), le régime de Bongo a totalement et très lamentablement échoué. Il suffit pour s’en convaincre de venir au Gabon et toucher du doigt la réalité de la misère crasse dans laquelle croupissent 98% des citoyens Gabonais…

    Beaucoup ont prédit que les Institutions vont jouer dans la transparence, leur rôle dans la transition qui commence. Il faut n’avoir jamais vécu au Gabon, ou appartenir au régime, pour croire à une telle ineptie, sauf miracle toujours possible! En effet, la Présidente du Sénat a été nourrie depuis près de quarante ans, à la mamelle du Parti Démocratique Gabonais, qui ne voudra pas, comme à l’habitude, perdre ses énormes avantages matériels. Le système de fraude électorale mis en place et perfectionné d’année en année, l’achat des consciences des pseudo-opposants avec le trésor de guerre du pétrole, feront en sorte que le candidat qu’ils se seront choisi, passera comme une lettre à la poste, perpétuant l’exploitation éhontée d’un peuple si petit par le nombre, et maintenu à dessein dans l’ignorance.

    A tout prendre, je dis donc que la France doit assumer ses responsabilités jusqu’au bout, à savoir:
    – c’est elle qui a mis en place Bongo en 1967 pour assurer ses intérêts;
    – c’est elle qui a fermé les yeux et même encouragé le pillage des richesses minières du Gabon par Elf-Gabon et l’ancêtre d’Areva.
    A ces deux titres principalement, elle a une dette envers le Gabon, qui justifierait son intervention dans les prochaines élections présidentielles et nécessairement parlementaires à venir, en les finançant en totalité, et en encourageant et même favorisant la candidature des rares présidentiables honnêtes qui restent (il y en a quand même encore!). La France ferait oeuvre humanitaire (ce serait une manière de demander pardon pour tous les méfaits commis avant puis après ceux cités ci-dessus) en finançant ces élections, parce que les caisses de l’Etat sont vides, et en contrôlant leur déroulement, dans un délai un peu plus long que 45 jours…
    En effet :
    – comment qualifier un Etat qui n’est pas capable, entre deux élections quelles qu’elles soient, de confectionner une liste électorale fiable et même simplement la réviser au moins une fois par an, comme stipulé par le Code Electoral ?
    – comment qualifier un Etat qui n’est pas capable de délivrer à moins d’un million d’habitants une pièce d’identité, et notamment une Carte Nationale d’Identité, qui permette à chaque citoyen de voter ?
    – comment qualifier un Etat qui multiplie les circonscriptions électorales dans les provinces favorables à Bongo, au détriment de provinces beaucoup plus peuplées, mais à la servilité à sa personne moins avérée, dans le seul but de faire toujours et encore gagner son parti , le PDG ?
    – comment qualifier un Etat qui, pour éviter les foudres du FMI et de la Banque Mondiale, fait mine de mettre en place des Institutions censées garantir un fonctionnement effectif de la Démocratie, mais qui en réalité ne font strictement rien ? Citons à titre d’exemples la Médiature de la République ; le Conseil National de la Démocratie ; la Commission Nationale de Lutte contre l’Enrichissement Illicite . Est-ce un hasard, si le Gabon est toujours classé parmi les pays à revenus intermédiaires, alors que les experts du FMI voient bien que le peuple vit dans la pauvreté ? Est-ce un hasard si la France refuse d’annuler sa créance vis-à-vis du Gabon, alors qu’elle vient de le faire pour le Cameroun, en récompense de ses récents mais réels efforts pour la bonne gouvernance et les sanctions contre la corruption et les détournements de deniers publics ?
    – comment peut-on affirmer que Bongo est un sage qui a œuvré pour l’unité nationale de son pays, alors même qu’au long des années de son long règne, on a pu constater qu’il a verrouillé tous les postes d’officiers supérieurs ou d’officiers généraux de tous les Corps de Sécurité, au profit de ressortissants «Téké» ou «Obamba», bien souvent de parfaits ignares ou incompétents . Il a également verrouillé au profit des mêmes, toutes les régies financières de l’Etat, maintenant pendant des décennies certains de ses parents dans les secteurs sensibles que sont les Douanes et les Impôts ?
    – comment peut-on affirmer que Bongo est un fin politique, quand on sait que sa seule arme a toujours été l’achat des consciences : celles de la quasi totalité des journalistes des médias occidentaux ou africains (tels Marie-Roger BILOA ou Constant NEMALE), venus à Libreville effectuer des publi-reportages au profit de l’ego surdimensionné de ce petit homme, et repartis avec les poches pleines d’argent sale ; celles des pseudo opposants comme l’inénarrable et défroqué MBA ABESSOLE, son ex-compère le Professeur KOMBILA KOUMBA, le vénal et versatile MAGANGA MOUSSAVOU, et récemment encore le traître MAMBOUNDOU, qui jurait il n’y a guère, qu’il ne se rendrait jamais chez Bongo, tant que ce dernier serait président ? Ces thuriféraires de Bongo font-ils semblant d’ignorer que chaque fois qu’un groupe peu ou prou important est convié au Palais du bord de mer, il en ressort toujours avec une enveloppe plus ou moins épaisse à se partager (n’est-ce pas, messieurs et dames de l’ONEP, syndicat des pétroliers qui avait suscité tant d’espoirs chez les travailleurs) ?
    – comment oublier les nombreux dérapages verbaux que Bongo n’a cessé de déverser tout au long de son interminable règne, et dont certains étaient tellement indignes de sortir de la bouche d’un Président de la République, que nous en avions éprouvé un sentiment de honte devant les railleries (amicales) de nos amis étrangers (Camerounais, Sénégalais et Ivoiriens notamment) ? A-t-on occulté de nos mémoires, sans être exhaustif, les fortes pensées suivantes :
    « …Je préfère l’Injustice au désordre…», d’où cette fameuse paix tant vantée, qui n’existait que par l’omniprésence prégnante des forces de répression, la peur de la délation, et le caractère réellement pacifiste des citoyens gabonais ;
    «…Je peux faire d’un chien, un ministre…» . Sans commentaire ;
    «…Le chien aboie, la caravane passe…», phrase adressée de manière sempiternelle à tous les Gabonais (opposants ou non), qui ont souhaité à un moment ou à un autre, que l’alternance vienne au Gabon ;
    «…Il n’existe aucune province, aucune ethnie supé- rieure à une autre…», alors que tous les investissements récents à réaliser (routes ne menant nulle part, stades et infrastructures pour la Coupe d’Afrique des Nations 2.012, diverses Ecoles supérieures) ont été lancés dans la seule Province du Haut-Ogooué, à l’exclusion de la mamelle du Gabon qu’est l’Ogooué-Maritime ou du Woleu-Ntem autrement plus peuplé que la province natale de Bongo;
    «…Lorsque je partirai (du pouvoir), le Gabon ne sera plus qu’un champ de ruines…» ? C’était presque prémonitoire !

    Pour tout ce qui précède, il est évident que la Transition dans les règles de l’art de la Constitution, ne pourra se faire qu’à l’avantage des membres du «Système Bongo», quels qu’ils soient ; de la sorte, le peuple gabonais court le risque de devoir continuer à endurer les mêmes injustices, la même misère matérielle et morale, pendant quelques décennies encore !
    Le minimum qui doit être mis en œuvre très rapidement et qui de toute façon est obligatoire, c’est la révision sans délai de la Liste électorale, le redécoupage des circonscriptions devant se faire tout de suite après l’élection présidentielle, en fonction de critères objectifs comme le nombre d’habitants ; nous avons en tête qu’Ali Bongo est toujours élu dans une circonscription qui n’a que cent habitants (du reste, souvent importés d’ailleurs,), alors que partout ailleurs, les autres élus bataillent avec plusieurs milliers d’électeurs .
    Vu l’incompétence notoire du Ministère de l’Intérieur du Gabon, cette révision puis l’élection présidentielle ne peuvent pas se faire dans le délai maximum de 45 jours prévu par la Constitution. C’est pour cela qu’il est nécessaire que la France intervienne, en persuadant la Cour Constitutionnelle de prolonger en le doublant au moins, ce délai. Cette intervention se ferait en vertu d’un Droit d’Ingérence qui n’existe nulle part, mais dont la France peut trouver les ingrédients de justification, dans le panel de sa position d’ex-puissance colonisatrice qui, il y a quarante deux ans, a mis en place le système Bongo (comme dit plus haut), des accords secrets existants, de la dette du Gabon envers la France, de la pauvreté extrême des Gabonais, etc… Si comme je le subodore, la France ne peut plus intervenir directement dans un tel cas de figure, pour raison d’abandon de cette politique paternaliste et néocolonialiste à l’endroit des états de son pré-carré (ce qui se comprend parfaitement), alors il faudrait absolument qu’elle pousse fortement à la roue, pour que l’Union Européenne entre dans le jeu en organisant de bout en bout, ces élections présidentielles, en partant de la matérialisation de la Liste électorale, en passant par la conduite du vote lui-même (ce qui éviterait les transferts d’électeurs d’un bureau à un autre, par exemple), et en terminant par la proclamation des résultats. En dehors de ces deux possibilités, le peuple gabonais est perdu !

    Il existe bien sûr d’autres solutions, comme par exemple, la mise en place d’un Gouvernement d’union nationale, qui comprendrait une quinzaine de membres choisis en majorité parmi les quelques personnalités intègres qui n’ont jamais «fricoté» avec Bongo, et que l’on trouve dans quelques groupements politiques et dans la Société Civile, mais aussi chez les quelques rares technocrates du PDG, qui n’ont pas été enchaînés au culte de la personnalité et à l’allégeance aveugle à Bongo. Ce Gouvernement d’Union Nationale, oeuvrerait pendant une année par exemple, à mettre en place toutes les dispositions qui feraient sortir le Gabon du monde de l’obscurantisme, et le ferait entrer dans le monde moderne, celui d’une Démocratie adaptée à nos spécificités, mais axée sur la bonne gouvernance, et l’application de toutes les vertus civiques et morales reconnues et célébrées par la Communauté Humaine Mondiale.

    Je vous adresserai prochainement un réquisitoire du même ordre sur la situation économique et sociale du Gabon…

    Fait à Port-Gentil, le 19 Juin 2009
    M. N.

  3. Le systeme Pdgiste prennent les gabonais pour des ignards,avec leur nouvelle marrionnette R.F.Rogombé
    Qui se laisse manipuler par les bongo et leurs amis de la soit disante
    Oppositions .les Zacharie myboto ,Mamboundou pierre et toute la bande de corompus et leurs complices
    Français .Nous
    Le peuple savons très bien que des elections organiser par ce gouvernement serait tout a fait gagner pour eux quelque soit le candidat PDG.
    Si la reelle opposition tel ke
    Dr Mengara ,Mr Ndaot R. et Mr Moubamba ne se mobilisent pas pour former un bloque unis ,alors nous ne serons jammais liberer des futur
    Bongoistes. Le peuple vaincra et vives le Gabon de l’après OBO.

  4. Si tous les menbres du gouvernement sont des expatriés qui est alors vrai gabonais .Nous savons tous que les autoctones du gabon sont des pygmés ne reagissons comme des gens qui n’ont pas connu le stylo . Nous avons tous appris à l’ecole primaire precisement au ce1 que le peuple gaboonais est formé de deux immigrations : l’immigration fang et l’immigration bantou et si certains d’entre vous se considere comme gabonais d’origine alors ils appartiennent à la race des pygmées. Le discours ne se situe pas au niveau d’ethnies ou de nationalités mais de la bonne gestion et le bon fonction du pays pour un GABON meilleur donc arretez vos idioties il est l’heure de passer aux choses sérieuses .Je vous en prie.

  5. chers freres et soeurs il nya qu’un mort qui est insensible à la mort arretez de distraire les gens bongo est mort et nous tous nous mourons il nya pas d’opposans au gabon le seul qui a faillit etre est mba abessole et eviter d’avancer les choses que vous ne maitriser pas vous parler sans vous faire comprendre. Tous les opposans du pays ne plaident pas pour la nation mais pour leurs propres interets ils jouent à la politique du vendre quand il a faim il t’attire vers la nourriture et quand il est plein il te lache c’est la politique de l’opposition gabonaise nous sommes fatiguer de tout ça . Je prefere que les candidats qui se presenterons presentent une caution bien resonnable il est inadmissible qu’un candidat qui n’a pas de moyens se presente sinon une fois élu son souci premier sera de se remplir ses poches ouvrir des comptes à l’etranger et acheter des appartements de luxe chez les occidentaux. Nous voulons le changement et non la distraction. Je suppose que le gabonais qui arrive à vivre en france ne souffre pas et tous les opposans du gabon s’exilent toujours en france ce qui veut dire qu’ils n’ont pas l’amour du pays .Prenons l’exemple de edjodjome ella qui pretendait etre le president des makayas alors qu’il n’a jamais connu la galère tous ses enfants vivent en france il a connu quel makaya arreter de trop parler prions pour que DIEU nous donne un homme de confiance qui va defenre les interets du pays et non toute cette bande de soit disant opposans qui vont plaider pour eux et leur famille AMEN.

  6. je voudrais adresser cette tout petite analyse a l’endroit des membres du bureau du BDP et en tete desquel le Docteur MENGARA.

    VOUS ETES SUR LE POINT DE PRESENTER VOTRE CANDIDATURE A LA FUTURE ELECTION PRESIDENTIELLE HISTORIQUE DE NOTRE PAYS .JE NE SUIS PAS DU TOUT CONTRE, BIEN AU CONTRAIRE ,JE SUIS PARTISANT DU CHANGEMENT. ET JE TIENS AVOUS DIRE QUE VOUS INSPIRER EN MOI UNE CONFIANCE.

    CEPENDANT,CROYEZ VOUS QU’UNE DECLARATION DE CANDIDATURE AUSSI PRECIPITE SANS UNE CONCERTATION AU PREALABLES AVEC D’AUTRE MEMBRES DU CHANGEMENT DE L’OPPOSITION COMME DE LA SOCIETE CIVILE EST UEN STRATEGIE SUR LAQUELLE ONT PEUT COMPTER?

    VOUS PRESENTER VOTRE CANDIDATURE ALORS QUE PEUT DE GABONAIS VOUS CONNAISSENT!!! C’EST VRAIMENT BIZZARD

    ECOUTEZ CHER DOCTEUR NOUS SOMMES A UN TOURNANT HISTORIQUE DE LA VIE POLITIQUE DE NOTRE PAYS VOUS AVEZ LE DEVOIR ET LA RESPONSABILITE QUE LES GABONAIS LE PEUPLE GABONAIS SE LIBERE DU JOUG DE LA FAMILLE ET PARTISANT DE BONGO . ET SI VOUS ECHOUEZ NOUS SERONS CERTE TOUS RESPONSABLE MAIS VOUS PORTEREZ LA PLUS GRANDE RESPOSABILITE PAR CE QUE VOUS FAITE PARTI DE L’ELITE ET IL EST TOUT A FAIT NATUREL QU’IL EST AU SEIN D’UNE NATION DES PERSONNE QUI TIREnt LA LOCOMOTIVE.
    N’OUBLIER PAS QUE C’EST UNE ELECTION A UN SEUL TOUR DE CE FAIT UNE CALITION ENTRE PARTISANT DU CHANGEMENT S’IMPOSE.ET PUIS CROYEZ VOUS QUE VOUS FAIREZ L’OBJET D’UN CONSENSUS AU SEIN DE LA POPULATION ????? QUI COMME JE LE DISAIS PLUS HAUT NE VOUS CONNAIS PAS VRAIMENT DU AU FAIT VOUS AVEZ ETE ET ETE ENCOR EN EXIL.

    OU PEUT ETRE VOUS VOULEZ NOUS FAIRE COMPRENDRE QUE VOUS ETES HABITEZ PAR LE SEUL SOUCIS D’ACCEDER AU POUVOIR CE QUI EST TOUT A FAIT LEGITIME MAIS SACHEZ QU’EN POLITIQUE LE POSSIBLE ET LE REALISABLE SONT Là DES NOTIONS FONDAMENTALES NE FAIT L’OPPOSITION A L’AFRICAINE SOYER REALISTE .

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