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Communiqué : Grande Marche et Manifestation des Gabonais à Washington le vendredi 16 juillet 2010

Communiqué de Presse pour diffusion immédiate

Pour obtenir le PDF du communiqué, Cliquez ici.

Pour voir le programme de la marche, cliquez ici.

Chers compatriotes gabonais et amis du Gabon :

Lundi 8 mars 2010, en marge de la session du Conseil de Sécurité des Nations Unies dont le Gabon allait assurer la Présidence au mois de mars, Madame Hillary Clinton, Secrétaire d’Etat américain, scandalisait les Gabonais et observateurs du Gabon en déclarant :

  • qu’elle soutient « les efforts entrepris par le Gabon pour diversifier son économie, élargir son cercle de prospérité et créer de nouvelles possibilités pour sa population » ;
  • qu’elle voit en Ali Bongo quelqu’un qui, comme elle-même, sait que « le progrès économique dépend d’une gouvernance responsable, qui va à l’encontre de la corruption, renforce l’État de droit, et d’une bonne politique de ses ressources naturelles permettant d’améliorer la vie des Gabonais » ;
  • qu’elle reconnaît « les efforts entrepris par le Président Bongo pour améliorer l’efficacité gouvernementale, éliminer les pertes et combattre la corruption » ;
  • et qu’elle salue « le leadership dont le Gabon a fait preuve dans le combat contre le trafic humain », ce qui, à ses yeux, démontrerait « les qualités de dirigeant dont le Président Bongo fait preuve en gouvernant son pays ».

Ayant constaté en ces déclarations de Madame Hillary Clinton une profonde méconnaissance du Gabon, surtout quand on sait que :

  • peu de temps avant sa rencontre avec Ali Bongo, le Congrès américain venait, une fois de plus, d’épingler la famille Bongo pour détournement de biens publics dans un rapport du 5 février 2010 qui fustigeait le père et le fils pour leur tendance à « l’accumulation massive de richesses alors qu’ils se trouvent en plein exercice du pouvoir dans un pays connu pour sa pauvreté » ; ce rapport impliquait pourtant directement d’Ali Bongo ;
  • et que, dans le même temps, le site Web du département  que dirige Madame Hillary Clinton faisait encore état du Gabon comme un pays où, justement, toutes les qualités vantées par Madame Clinton n’existaient pas du tout. En effet, selon ce rapport annuel sur les droits de l’homme au Gabon, les  Gabonais vivaient dans un pays dont ils ne pouvaient changer les dirigeants, et où ils croulaient sous une pauvreté découlant de la corruption et d’une gestion non transparente des ressources, avec en sus le trafic humain des enfants.

Nous, Gabonais résidant aux Etats-Unis et épris de démocratie et de vérité, avons décidé d’organier, vendredi 16 juillet 2010 dès 10h00 devant le Département d’Etat, puis devant la Maison Blanche, une marche et manifestation ayant un quadruple objectif :

1)      Condamner vivement les paroles de soutien d’Hillary Clinton à Ali Bongo et lui demander de les retirer sous peine de décrédibiliser les promesses du Président Barack Obama de ne soutenir que les régimes aux élans démocratiques avérés ;

2)      Appeler le Président Barack Obama et Madame Hillary Clinton à renier et retirer les paroles de soutien de la Secrétaire d’Etat à un régime dictatorial et indéracinable dont les 43 ans de pouvoir irresponsable n’ont occasionné que traumatismes et meurtrissures pour les Gabonais ;

3)      Lancer un avertissement de fort envergure à Ali Bongo en lui demandant de choisir immédiatement entre démocratie et violence au moment où les Gabonais épris de démocratie s’apprêtent désormais à s’unir et à s’organiser autour d’un projet de changement et d’alternance par tous les moyens possibles en vue de la libération nationale.

4)      Demander au gouvernement américain de ne plus jamais recevoir Monsieur Ali Bongo en terre américaine et au Congrès de le déclarer persona non grata au vu des évidences accumulées par le Sénat américain sur les pratiques mafieuses de la famille Bongo au Gabon.

Pour les Gabonais, et au nom de tous ceux qui aspirent à un mieux être immédiat débarrassé des Bongo, nous exprimerons également :

–          Notre refus de la mainmise de la famille Bongo sur le Gabon, un pays qui ne peut ni devenir une monarchie, ni être transformé en la propriété personnelle de la famille Bongo ;

–          Notre refus des 43 ans de dictature de la famille Bongo et du hold-up électoral orchestré par le biais de la fraude et au moyen de la force militaire ;

–          Notre refus d’oublier les tueries de Port Gentil et le manque de condamnation quant aux auteurs de ce macabre forfait ;

–          Notre refus de la prise en otage de la démocratie gabonaise par le trio diabolique Ali Bongo – Madeleine Mborantsuo – Rose Rogombé, ennemis jurés du peuple gabonais ;

–          Notre refus de la corruption, des détournements, des biens mal acquis et de la paupérisation généralisée de la nation à cause des Bongo;

–          Notre refus de l’intimidation, de l’usage de la force et de la violence militaire et économique à l’encontre de la population et de ceux qui osent s’élever contre la mort lente ;

–          Notre refus des violations flagrantes des droits de l’homme, du trafic humain des enfants, de la confiscation de la démocratie et de l’amateurisme gouvernemental ;

–          Notre refus non seulement de reconnaître Ali Bongo comme président du Gabon, mais également d’accepter les 70 ans de règne familial que le régime bongoïste est en train de mettre en place.

Il s’agira, en définitive, de demander au gouvernement américain de se désolidariser de Monsieur Ali Bongo et de se mettre du côté de la population gabonaise en demandant avec lui le démantèlement de l’emprise de la famille Bongo sur le pays et la fin du régime parasitaire de 43 ans que cette famille a mis en place.

Nous invitons les Gabonais qui refusent la monarchie des Bongo et le règne de l’arbitraire à venir nombreux se joindre à cet élan du Gabon nouveau, pour le bien des vrais Gabonais et amis du Gabon.

Pour toutes informations, veuillez contacter:

  • Monsieur Landry Amiang, Co-Coordonnateur de la Marche (Tél : 305-803-3361)
  • Monsieur André  Bouassa, Représentant de l’UPG aux Etats-Unis, Co-Coordonnateur de la Marche (Tél : 919-798-4543)
  • Monsieur Patrick Ambamani, Co-Coordonnateur de la Marche (Tél : 646-744-5633)
  • Dr. Daniel Mengara, Président du Mouvement « Bongo Doit Partir », Co-Coordonnateur de la Marche (Tél : 973-447-9763)

Pour voir le programme de la marche, cliquez ici.

Pour obtenir le PDF du communiqué, Cliquez ici.

Exprimez-vous!

  1. nous gabonais savons dès apresent que notre pays ne poura ètre democratique que part un coup d’ETAT si non apres ali c’est sera son fils et apres son fils c’est sera son petit fils ainsi de suite il ya un moyen pour que les bongo ne soit plus au pouvoir n’allez plus dans un miting du PDG SI tout le monde n’y vont plus ils ne pourons pas dire q’ils ont gagnes les elections qui se derouleron en 2011 pour les deputes tous massivement derriere l’upg de monsieur PIERRE MANBOUNDOU pour la defait historique du PDG votez massivement L’UPG nous avons le pouvoir et l’oubligation de changer notre pays MERCI.

  2. Les citoyens Gabonais, les vrais comme vous dites, attendent toujours une quelconque proposition de programme pour ce pays. Vous êtes peut-être « épris de justice et démocratie » mais vous nagez en plein délire d’impuissance. Quand vous aurez fini de taper sur les Bongo, essayez de faire une ou deux propositions concrètes et on pourra voir si tout ça tient debout. En attendant, les citoyens Gabonais, les vrais – non pas ceux qui se nourrissent des mannes de la diaspora – font très bien avec les Bongo et construisent le pays.

  3. Chers compatriotes !
    Je ne suis pas un politicien mais seulement un etudiant conscient des betises et des sottises des compatriotes Gabonais ,qui vient vous suggerer quelques solutions pour stopper le sous developpement social,economique et intellectuel auquel notre pays fait face.
    Je ne tiendrais pas un long discours ,mais juste vous dire l’essentiel.
    Je crois que la resolution du probleme du sous developpement du Gabon,passe par les assassinats cibles des personnalites en retraite ou en fonction qui ont plonge le Gabon dans cet etat pitoyable. Desormais le retour du Gabon au pied du developpement et a l’ordre constitutionnel ne passera plus par les urnes ou par la formation des gouvernements d’union manioc, mais par la force . Je m’explique : Bongo est decede ,aujourd’hui c’est son fils qui a pris de le pouvoir par tous ses moyens .Je crois que c’est abuser de notre propre patrie et abuser du peuple Gabonais en general .Si Bongo n’a rien fait en 40 ans de regne , ce n’est pas en 2010 qu’il pourra amener le Gabon vers l’emergence .On dit tel pere ,tel fils . Ali a fait parti du gouvernement Bongo pere ,mais avait-il une fois stoppe sont pere et sa bande de piaillard ce cesser de detourner les ressources financieres du pays ? Ali etant ministre de la defence ,avait-il une fois decide de faire usage de son pouvoir militaire ou policier pour arreter ceux qui ont pille le pays ? C’est maintenant qu’il pensera a faire developper le Gabon ?N’importe quoi!
    Apres le fiasco de l’election presidentiel,c’est maintenant au tour du soit disant opposion d’enfoncer le clou dans la plaie ouverte du peuple Gabonais ,en faisant semblant de s’opposer a Ali Bongo . Et leur but n’est autre que de faire baisser la tension du peuple ,en lui faisant croire que le regime d’Ali est entrain de faire face a une oppositon soudee!
    Peuple Gabonais ,si le blanc nous meprise c’est parcequ’il a vu en nous des moins que rien qu’on peut facile distraire a coup de milliard de cuisse de poule ,parce nous sommes un peuple inconscient incapable de prendre notre destin en main et de prendre une decison ,de faire des sacrifices pour un avenir sure pour tous ! Nous Gabonais avons peur du Canon mais c’est au prix du sang qu’on obtient la liberte.
    Je conseilles alors a chaque Gabonais de se reveiller et de mettre de cote tout ce qui est sentiment pour la famille ,pour aller se sacrifier au nom de Gabao. Ceux qui auront sacrifie leurs vies verront leurs noms ecris dans le livre des martyrs pour la liberte du Gabon et de l’Afrique en General.
    Les assassinats cibles doivent etre diriges contre les anciens ministres ou ministres ,conseillers ,militaires qui ont servi ou qui servent encore le regime Bongo.
    Les assassinats cibles doivent aussi etre diriges contre tous les militaires francais presents present au Gabon ,car leur role est faire repression sur tout mouvement qui tenterait de toucher Ali .
    Seule la force et le sacrifice du sang peut liberer le Gabon actuellement
    Moi meme je suis deja pied d’oeuvre pour liberer mon pays !

    Abouna Michel

  4. Arrêtons le soutien aux dictateurs ! Soutenons les peuples africains !
    Paris, Mardi 13 juillet : Manifestation.

    Manifestation le 13 Juillet 2010

    18H Place de la République ( angle bd Magenta)

    Le 14 juillet à Paris, des unités militaires de 14 pays africains défileront sur les Champs – Elysées, au côté des troupes françaises. Convoqués par Nicolas Sarkozy, les chefs d’État, amis de toujours de la France et des réseaux de la Françafrique : les Gnassingbé (Togo), Bongo (Gabon), Compaoré (Burkina Faso), Déby (Tchad), Sassou Nguesso (Congo Brazzaville), Biya (Cameroun) seront présents dans la tribune présidentielle.

    Ceux-là, ainsi que d’autres dictateurs et putschistes, responsables pour certains du massacre d’une partie de leur population et du maintien de celle-ci dans la pauvreté, viendront s’assurer du soutien politique, économique et militaire et de leur enrichissement personnel auprès de leur ancienne puissance coloniale.

    La France qui, durant la colonisation, avait abondamment pillé les ressources et utilisé les peuples comme réservoir de main d’œuvre, poursuit depuis 50 ans sa politique par tous les moyens, au détriment du développement des pays concernés, ce qui amène de nombreux africains à migrer pour nourrir leurs familles.

    Dans la plupart des pays concernés, les gouvernements de la France ont éliminé ou se sont rendu complice des assassinats des leaders qui ont combattu pour l’indépendance de leur pays comme Patrice Lumumba, Medhi Ben Barka, Félix Moumié, Ruben Um Nyobé, Ernest Ouandié, Thomas Sankara, Sylvanus Olympio, Farhat Hached …,

    Les autorités françaises ont mis en place des dictateurs, intégrés dans les réseaux de la Françafrique où ils côtoient l’Etat major de l’Armée, l’Elysée et des grandes entreprises comme Total, Bouygues, Bolloré, ou Areva. De l’Afrique de l’Ouest au Maghreb où Ben Ali et Mohamed VI prospèrent sur le dos de leurs peuples, l’héritage du colonialisme est toujours présent

    Aujourd’hui encore, la plupart des élections dans ces pays sont truquées, les opposants souvent emprisonnés, parfois torturés ou assassinés, par ceux là même qui défileront le 14 juillet , avec la complicité des autorités françaises ,

    A cette politique françafricaine s’ajoute une agriculture exportatrice européenne et la recolonisation des terres qui détruisent les productions locales, accélère le réchauffement climatique et contraint les paysans africains à fuir les campagnes ou à migrer vers l’Europe. Cette « Europe Forteresse » qui fabrique des sans papiers, les exploite, et les expulse sous couvert d’accords de réadmission codifiés dans la Directive Européenne de la Honte, au mépris de la Convention Européenne des Droits de l’Homme.

    Contre :

    · Le soutien de la France aux dictateurs qui vivent impunément des rapports néocoloniaux au détriment du développement de leurs pays et du bien-être des populations ;

    · La torture, les massacres, les assassinats politiques, les trafics d’armes, et l’impunité de leurs auteurs et de leurs complices ;

    · la vie chère et la hausse des produits de première nécessité

    · Le pillage du continent par les pays riches par le biais de leurs multinationales, de la Banque Mondiale et du FMI ;

    · L’impunité, la criminalité financière et les paradis fiscaux et judiciaires

    · La politique africaine de la France menée par Nicolas Sarkozy et ses prédécesseurs.

    Pour :

    · La démocratie et des élections libres et transparentes ;

    · Le respect des droits humains ;

    · L’annulation de la dette illégitime payée par les peuples africains ;

    · L’accès de tous à l’alimentation, à l’eau, à la santé, à l’éducation, à l’emploi, à l’habitat, et à la justice ;

    · Une vraie mobilisation contre le Sida et le paludisme ;

    · La régularisation de tous les Sans Papiers : Grévistes en lutte depuis 8 mois et Marcheurs partis de Paris le 1er Mai pour aller interpeller les dictateurs africains réunis à Nice le 31 mai, tous ensemble unis et déterminés dans un combat commun

    · La fermeture des bases militaires françaises en Afrique et l’arrêt de l’aide militaire et policière française aux dictateurs sous couvert d’Aide Publique au développement.

    Nous, organisations françaises et africaines, exigeons un partenariat entre l’Europe et l’Afrique pour le développement et l’émancipation de l’Afrique hors de la tutelle du gouvernement français.

    Manifestons contre la Françafrique ! Place de la République, Paris, le 13 juillet , à 18 h.

    Bal anticolonial, 20 H 30 H , au Ministère de la régularisation de Tous les Sans papiers, rue Baudelique , Métro Simplon, (ligne 4)

    Premiers signataires

    Burkina-Faso : Union pour la Renaissance/Parti Sankariste (UNIR/P- S ;

    Cameroun : Union des Populations du Cameroun, CODE (Collectif des Organisations Démocratiques et Patriotiques de la Diaspora Camerounaise), CNR-MUN (Conseil National pour la Résistance – Mouvement Umnyobiste Cameroun/Allemagne) , ;

    Comores : Coordination des Associations comoriennes : CAAC Comores

    Congo Brazzaville : Fédération des Congolais de la Diaspora,

    Djibouti : ARD (Alliance Républicaine pour le Développement ), Uguta-Toosa , Comité des Femmes Djiboutiennes contre les Viols et l’Impunité ,

    Gabon : Plate – Forme de Veille et d’Actions pour le Gabon, les Anges Gardiens du Gabon, Attac Gabon,

    Madagascar : Collectif Gazy Tia Tanindrazana (GTT)

    Maroc : La Voie Démocratique

    Mauritanie : Assez de Coups d’Etats ( ACE)

    Niger : collectif Areva ne fera pas la loi

    République Sahraouie : CORELSO,

    Tchad : Action Tchadienne pour l’Unité et le Socialisme/ Parti Révolutionnaire Populaire et Ecologique/ (ACTUS/PRPE)

    Togo : MoLiTo (Mouvement du 4 mars pour la Libération du Togo),

    Tunisie : PCOT, FTCR

    Amicale Panafricaine, Mouvement panafricaniste de Munich (AK Panafrikanismus München)

    Sortir du Colonialisme, Survie, AFASPA, MRAP, FASTI, Droits Devant, CEDETIM, IPAM, ACCA – Agir aujourd’hui contre le Colonialisme, Collectif de Solidarité avec les Luttes Sociales et Politiques en Afrique, Afriques en lutte, Respaix Conscience Musulmane (RCM), Réveil des Consciences, « 93 au cœur de la République » (Aubervilliers), Collectif Toussaint Louverture (Creil), Egalité Toulouse Mirail,31, Ecoles Tiers- mondes 46, Faty KOUMBA, ZEP, Association Culturelle des Travailleurs Immigrés de Turquie (ACTIT), Mouvement des Quartiers (MQJS), Ministère de la Régularisation de Tous les Sans papiers, CNT, Union Syndicale Solidaires

    Alternative libertaire, les Alternatifs, NPA, P.I. R , FASE, Parti de Gauche, PCF, Les Verts

    Personnalités : Olivier Besancenot Porte parole du Nouveau Parti Anticapitaliste, « Catherine Grèze, euro député Europe Ecologie, Alain Krivine, Comité exécutif du NPA, Noël Mamère, député Vert, maire de Bègles , Quintal Yves, Président d’ETM 31-46

    Publié le 28 juin 2010 par Secrétariat international

  5. Landry Amiang, Co-Coordonnateur de la Marche = Escroc Gabonais a Miami (USA) Vous n’êtes pas sortie de l’auberge en fréquentant des éléments comme Amiang Ndong Landry.

    Amiang landry = Escroc Voyou! ==> Google reste votre meilleur pote pour savoir qui est l’élément.

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