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Interdire l’utilisation de l’image d’un Président? Quelle mouche a donc encore piqué le Biafre au Gabon? (Dr. Daniel Mengara)

Décidément, les biafreries du Sieur Ali Bongo au Gabon n’en finissent plus. Quelle est donc cette imbécilité qui consiste à proclamer, comme cela, que l’on ne peut plus, au Gabon, utiliser l’image d’un Président de la République dans les médias ou dans quelque structure que ce soit sans autorisation?

Je me permettrai donc, au vu de l’énormité de l’acte, je dirai même de l’affront contre le peuple gabonais, d’être brutal (Si vous avez le cœur fragile ou les nerfs à fleur de peau, arrêtez ici votre lecture et allez dormir).

Car Il y a une question fondamentalement constitutionnelle qui se pose ici, mais que le Biafre en chef du Gabon, en bon héritier d’un pouvoir volé (et donc qui ne comprend pas le sens du droit), se permet, comme cela, dans un geste arbitraire qui rappelle les bonnes vieilles habitudes de papa Bongo (le diable ait son âme), de balayer d’un revers de la main.

Et il n’y a pas pire signe de dictature et d’absolutisme que quand un Président, de surcroit autoproclamé, commence à vouloir contrôler l’utilisation qui est faite de son image. On commence par le contrôle des images, ensuite on passe au contrôle des personnes, de leurs déplacements, de leur parole et enfin de l’air même qu’ils respirent. Tous les signes, donc, qui montrent qu’Ali Bongo, seulement un an après sa prise de pouvoir, montre des tares autocratiques tellement profondes qu’il sera forcément un despote pire et plus dangereux que son père ne le fut jamais.

Il y a tout d’abord le simple fait que dans tout système républicain, c’est-à-dire basé sur les principes de fonctionnement et de droit que l’on regroupe sous le terme de « République », être président de la République enlève automatiquement au président le droit de pouvoir jouir de l’exclusivité ou de la protection de son image, encore moins d’en faire lui-même un usage commercial. C’est que le Président de la République, une fois élu, ne s’appartient plus. Il appartient au peuple. Dès lors, son image et tout ce qu’il représente en tant qu’institution républicaine tombent dans ce qu’on appelle « le domaine public ». A partir de ce moment, n’importe quelle personne, n’importe quelle structure ou n’importe quel média est libre de l’utiliser à titre satirique, illustratif ou commercial, sans que cela puisse amener à conséquence pénale pour l’utilisateur.

Certes, il y a une zone du droit où l’image du Président de la République, en tant que propriété publique, c’est-à-dire propriété commune sans exclusive, est protégée : ce domaine concerne justement et précisément le principe qu’Ali Bongo et son régime sont en train de bafouer. Autrement dit, dès lors que l’image du Président de la République relève du domaine public, personne ne peut s’en arroger l’exclusivité. Personne ne peut, par ailleurs, en interdire l’utilisation : ni l’Etat ni le régime ni quelque groupe d’intérêt que ce soit. Personne.

Or, cette protection qui entoure l’utilisation de l’image du Président de la République, quel qu’il soit, fut érigée pour un but totalement contraire au but visé par Ali Bongo et sa mafia. Cette protection existe précisément parce qu’elle veut empêcher quelque entité que ce soit, y compris le Président de la République lui-même, de s’en arroger l’exclusivité. Elle n’a rien à voir avec Ali Bongo en tant qu’individu, mais bel et bien avec ce qu’on appelle « l’institution du Président de la République ». Parce qu’un Président de la République est une institution, son image est, par définition, publique et, donc, n’importe qui peut l’utiliser comme il veut sans entrave, y compris commercialement. Par exemple, un citoyen peut librement décider d’imprimer des tee-shirts à l’image du Président de la République et les vendre. Dès lors qu’il ne jouirait pas du monopole de l’Etat, ce qui constituerait un usage exclusif et, donc, illégal, un tel citoyen dispose du droit constitutionnel de s’enrichir en vendant librement des tee-shirts sur lesquels sont imprimées des images du Président.

Et c’est justement à ce niveau que la loi qui organise le domaine public est intéressante : elle protège, en fait, et ceci par défaut, le droit de tout le monde à utiliser l’image du Président et, en contrepartie, en interdit, par défaut également, l’utilisation exclusive ou le monopole.

L’interdiction générale et absolutiste faite par Ali Bongo est donc en totale et directe contradiction de ce principe, et constitue, à ce titre, un acte hautement anticonstitutionnel. Elle sort aussi totalement des prérogatives constitutionnelles réservées au Président de la République. Celui-ci ne jouit nulle part du pouvoir de promulguer des lois ou des décrets qui limitassent de quelque manière que ce soit les principes fondamentaux qui entourent la pratique des libertés publiques inaliénables, surtout s’il n’a pas pris le soin de se référer préalablement au Parlement (qui érige les lois fondamentales) et à la Cour constitutionnelle (qui juge de la constitutionnalité des lois et des décrets).

Mais il y a ensuite le fait que Ali Bongo et sa clique, dans cette interdiction par trop générale, et donc, absolutiste, montrent clairement qu’ils confondent, en fait, deux aspects ou deux nuances dans la loi qui se veulent complémentaires et non opposées. Ils font une évidente confusion entre les dispositions qui protègent tout ce qui relève du domaine public, et auxquelles toutes les institutions de la République et tous les citoyens sont soumis par défaut, et les dispositions qui interdisent l’utilisation abusive des institutions de la République aux fins de promouvoir des intérêts privés, exclusifs ou monopolistes.

Un exemple d’utilisation abusive serait par exemple le fait que quelqu’un utilise, non pas seulement l’image, mais également l’institution du Président de la République, et ce d’une manière qui laisserait à penser que le Président de la République cautionne ou avalise son activité. Pour revenir à l’exemple du vendeur de tee-shirt, il n’y a, en pratique, rien qui lui interdit d’imprimer des tee-shirts à l’image d’Ali Bongo et de les vendre. Mais si, dans le cadre de sa vente, il proclame verbalement ou par écrit qu’il est le vendeur exclusif des tee-shirts avec l’image d’Ali Bongo et que les gens n’ont pas le droit d’acheter de tels tee-shirts ailleurs que dans son entreprise, son activité devient automatiquement illégale.

Un autre exemple : un entrepreneur organise à Libreville une grande foire internationale à laquelle il invite même le Président aux fins de le voir prononcer un discours à la cérémonie d’inauguration. Mais si, sur le panneau d’affichage géant, il met l’image du Président avec des textes qui font la promotion de son entreprise, comme si le Président était une star qu’il avait payée pour promouvoir son produit, on aboutit automatiquement à un usage abusif. Il y a donc ici conflit car l’utilisation de l’image du Président, dans ce cas, donne l’impression que le Président cautionne et recommande son entreprise ou son produit, ce que le Président, sous la loi, ne peut se permettre de faire. Parce qu’une telle situation serait en effet un usage abusif et une utilisation tronquée de l’institution du Président de la République à des fins de promotion d’une entreprise privée qui s’arrogerait ainsi la caution du Président, on peut conclure à un acte illégal.

Mais cette situation-là est très loin de l’amalgame constaté dans l’édit d’Ali Bongo qui, dans son fantasme de dictateur, voudrait assujettir par défaut la nation à une situation où tout le monde devrait, au préalable, demander autorisation. Non seulement c’est irréaliste et inapplicable en termes bureaucratique et administratif, mais c’est également fantaisiste et arbitraire car on pourrait tout aussi bien mettre en prison un enfant de 12 ans qui, par mégarde, aurait collé l’image du Président sur son cartable pour le décorer, sans avoir au préalable été faire la queue au Bureau d’Ali Bongo pour demander l’autorisation. Ne parlons même pas du fait qu’aucune émission de télévision ne pourrait plus utiliser l’image du Président sans demander d’autorisation au cas par cas, et serait à chaque fois obligé de se justifier au cas par cas. Les productions de journaux satiriques seraient elles aussi compromises vu qu’utiliser une photo ou faire une caricature du Président deviendrait des crimes. Autant simplement proclamer que personne ne peut plus parler d’Ali Bongo au Gabon…. Ce sera plus simple.

Mais au-delà de ce type de biafreries, il y a, enfin, le problème constitutionnel lui-même.

Le drame dans un pays quel qu’il soit, c’est quand personne dans un régime donné ne se préoccupe de jeter un œil dans la Constitution avant que de faire une proclamation telle que celle que vient de pondre Ali Bongo. C’est comme si, au Gabon, il y avait d’un côté la Constitution que nous connaissons tous, et de l’autre, la Constitution informelle par laquelle le régime fonctionne, c’est-à-dire l’arbitraire qui veut que celui qui se dit Président de la République ait le droit de tout faire, de tout dire et de tout interdire hors Constitution, sans que l’on sache le texte de loi sur lequel il se base pour faire ses proclamations.

Ali Bongo, comme son père jadis, ne semble pas comprendre qu’être Président de la République ne veut pas dire qu’on puisse inventer des lois et les servir par décrets à la nation sans s’être soucié au préalable de la constitutionnalité de ces décrets. Autrement dit, dès lors qu’un décret pourrait être lui-même anticonstitutionnel, la première préoccupation d’un régime quel qu’il soit devrait être de soumettre le décret au test de la Constitution. Dès lors que ledit décret se retrouverait en contradiction avec les fondamentaux de la Constitution, il se retrouverait automatiquement frappé de caducité. Et dès lors, tout citoyen a le droit de refuser de s’y soumettre. C’est précisément ce qui se passera ici car le décret est tellement inapplicable qu’il mourra de ses propres contradictions.

Il ne fait aucun doute à mes yeux que la proclamation qui a été faite par le dictateur gabonais d’interdire l’utilisation de son image enfreint elle-même les dispositions qui protègent l’intégrité du domaine public au Gabon. Dans le droit gabonais, tout comme dans le droit français dont le droit gabonais s’inspire, le domaine public désigne ce que Wikipedia, le site de référence en ligne, définit comme l’ensemble des « biens non susceptibles d’appropriation privée », c’est-à-dire l’ensemble des choses ne pouvant faire l’objet de droit de propriété et qui sont donc déclarées « res communis » (comprenez : « biens communs » ou « propriété commune »). L’institution du Président de la République étant donc un bien commun, ni le Président de la République ni aucun autre citoyen ne peuvent s’approprier l’exclusivité de l’utilisation de l’image du Président. Les images de celui qui, à un moment donné, exerce les fonctions de Président de la République relèvent eux aussi de ce même principe. Personne, ni l’Etat ni aucun groupe ni aucun citoyen ni le président lui-même, ne peut en interdire l’utilisation libre dès lors que cette utilisation ne tendrait pas à suggérer que l’utilisation que l’on fait de l’image est basée sur la caution explicite ou implicite de son activité par le Président de la République.

Si le Gabon était un pays de droit, il ne fait aucun doute dans mon esprit que la Cour constitutionnelle invaliderait immédiatement cette décision en la proclamant anticonstitutionnelle car contraire aux dispositions constitutionnelles et légales qui protègent le domaine public. Mais vu que Madeleine Mborantsuo, putain de la République au propre comme au figuré, saoule encore de ses amourettes avec le défunt dictateur, et qu’elle s’est donnée pour mission de protéger jusqu’au bout son biafre de beau-fils, l’arbitraire s’érigera une fois de plus en loi au Gabon.

Mais je me console déjà au moins avec délectation de l’une des conséquences intéressantes et inattendues de cet édit d’Ali Bongo. Grâce à la haute bienveillance et au génie incomparable du roi nègre du Gabon, on devrait bientôt voir disparaître du Gabon tous les tee-shirts à son image qu’il avait lui-même fait imprimer lors de la campagne électorale. Je me réjouis de savoir que toute personne qui sera surprise dans les rues et villages du Gabon portant un tee-shirt arborant l’infâme bouille d’Ali Bongo sera immédiatement mise aux arrêts. Je me réjouis de savoir que bientôt au Gabon il y aura une prison d’un million de places où Ali Bongo mettra au cachot tous ceux qu’il aura surpris à porter ses tee-shirts de campagne, y compris les membres de son propre régime et tous ces pauvres Gabonais qui, affamés par son père, se jettent souvent sur ces tee-shirts, question d’économiser 2000f CFA qui ne seraient plus utilisés à l’achat d’un tee-shirt à l’« assamse » à Mont-Bouët. On devrait aussi voir disparaître ses propres posters de campagne affichés un peu partout encore dans Libreville, et dont certains encombrent encore la vue des honnêtes citoyens. Et, comble de tout cela, à la prochaine campagne présidentielle de 2016, on devrait au moins être rassurés de savoir qu’en tant que candidat à la Présidence de la République, il devra faire lui-même la queue devant son propre bureau pour se demander à lui-même l’autorisation d’utiliser sa propre image, et comme il y aura, dans cette demande, un conflit d’intérêt évident et insoluble, on pourra s’attendre à ce qu’Ali Bongo se refuse à lui-même le droit d’utiliser sa propre image sur ses tee-shirts de campagne. Il ne pourra même pas utiliser son propre nom vu que cette utilisation serait abusive.

Pour séduire les Gabonais et espérer une réélection, il n’y aura plus pour Ali Bongo d’autre recours que l’utilisation dans ses posters de campagne des fesses nues de son épouse Sylvia Bongo, qu’il pourra par la suite pavaner en petite culotte sur les plages et dans les villages du Gabon, un peu comme le fait son collègue et mentor Nicolas Sarkozy dans ses folies napoléoniennes en France. Nous espérons au moins, pour notre honneur de Gabonais, que le derrière de Sylvia sera plus apetissant que celui de Carla Bruni, parce que, nous, Gabonais, on est très pointilleux sur ce genre de choses.

Quel imbécile…

Dr. Daniel Mengara
Président, « Bongo Doit Partir » (BDP)

BDP-Gabon Nouveau
P.O. Box 3216 TCB
West Orange, NJ 07052
Tél: 973-447-9763

Exprimez-vous!

  1. suite et fin…

    Les opposants qui semblent être vrais ne le sont que du fait du manque de justice au Gabon, les deux parties se font les yeux doux. Si la justice et la constitution était respectée, les vrais opposants que vous aviez en tête seraient aussi inéligibles (Cf la loi électorale, que ceux qui peuvent la lire s’y mettent). Je reviendrai sur le sujet très prochainement sur Gabao respublica.
    By the way, le texte nous fait comprendre qu’une fois de plus les docteurs de lois ne la connaissent pas.

  2. @ M. G.M Obiang. J’aimerai que vous réfléchissiez sur la question que je vous soumets. Vous n’êtes pas contraint, cela permettra peut-être d’établir des balises et entre gabonais on se comprendrait mieux. Qui des personnes suivantes est la violente: celui qui prive arbitrairement d’un bien (supposons que le bien soit une maison) ou bien celui qui revendique le (son) bien séquestré?
    Si les épidermiques avaient fait une étude de texte rapide, ils se seraient rendu compte que ce texte s’est développé autour d’une idée maitresse, l’inconstitutionnalité de la décision présidentielle. Et comme il est facile et maladroit de réagir sans avoir compris l’interlocuteur, j’ai pu lire des textes qui n’honorent pas leur auteur, j’imagine que les honneurs viendront du camp qu’ils veulent bien défendre. Comme mon père me l’a dit dernièrement le coq qui se bat montre toujours son derrière.
    Ce qui vous (pas seulement M. Obiang) a le plus intéressé c’est le style lyrique de Dr Mengara, ce n’est pas normal que des gabonais qui ont la possibilité d’aller sur Internet lire des textes (non pas chater) ne réagissent que sur la forme et le non le fond de ce qu’ils lisent. Ce que cela sous-entend c’est que vous ne contestez pas ce qu’il dit mais plutôt comment il le dit. Il a dit qu’il ne cherchait le suffrage universel, la courtoisie politicienne n’est peut-être pas de rigueur et d’ailleurs il a le personnage en aversion comme on peut le lire sur ce passage d’une de ses réactions : « Equation 2: Et si vous croyez comme moi que qui se ressemble s’assemble, alors, Sylvia Bongo, qui nourrit ses enfants du sang du peuple gabonais au moment où les enfants de ce peuple croupissent dans les misères avec les moustiques et les rats, vous comprenez, s’accommode bien de la criminalité de son époux. Daniel Mengara ne respecte pas les criminels. ». L’expression manque de respect a tout son sens ici.
    Chez nous celui qui veut être respecté se doit d’être respectable, toutes les inconstitutionnalités et anticonstitutionnalités dont est responsable le présent régime (bis) n’honorent pas le chef de ce régime, il perd donc sa respectabilité. On commande le respect (dans le sens commander la magie…). Le discours des pourfendeurs de la république gabonaise n’effleurent jamais la constitutionnalité de ce qui est fait et dit. Comme ce sont eux qui ont l’armée, ils s’attardent sur la forme pour jeter le discrédit sur ce qui est dit. Cette image reste donc toujours vraie : On pointe l’horizon et c’est le doigt qu’ils regardent. Au lieu d’attendre de réaction du genre quel « beau coucher de soleil », ce sera « mais tu aurais pu te laver les mains »!
    Pauvre pays, quand ceux qui sont sensés avoir appris sont encore dans le noir et encourage l’obscurantisme, qui trouvera la lumière? Il y a des faussetés mondialement reconnues, elles ne seront pas vraies pour autant. Allons-y sur le débat constitutionnel, c’est à ce niveau que se trouvent les vrais opposants, voilà pourquoi le sujet est très tabou. La preuve à ce que je viens de dire c’est que personne n’a trouvé suffoquant que Mme. Mborantsuo soit dans le texte une « putain de la République au propre comme au figuré ». C’est un terrain vaseux pour les émergents d’où les laissez nous travailler…
    Les opposants qui semblent être vrais ne le sont que du fait du manque de justice au Gabon, les deux parties se font les yeux doux. Si la justice et la constitution était respectée, les vrais opposants que vous aviez en tête seraient aussi inéligibles (Cf la loi électorale, que ceux qui peuvent la lire s’y mettent). Je reviendrai sur le sujet très prochainement sur Gabao respublica.
    By the way, le texte nous fait comprendre qu’une fois de plus les docteurs de lois ne la connaissent pas.

  3. vous les gabonais on vas vous pomper vous plumer vous boufer berf tout vous piquer , vous serez encore en train de palabrer.
    Bon uniquement a ca!!!!
    Bouger vos culs ca jamais!!!
    Meme pas la peine de vous attacher pour vous interdire d’agir , une chaise,une bierre et voila!!!
    Bande de naze!!!

  4. @ Daniel Mengara:

    N’empêche que Guy Medard OBIANG a raison en ce qui concerne la lutte contre le mal dit Bongo. La lutte, la vraie se passe au pays.

    Qui a accès à vos analyses en-ligne, si ce n’est qu’une castre qui ne constitue pas plus du 1/3 de la popula du Gabon.

    Nous voulons tous qu’une chose que le Gabon, le Togo, le Congo Brazza, Le Congo Kinsasha… retrouvent leurs lettres de noblesses en mettant a la porte tous les voyous de dictateurs bons qu’aux detournements de biens publiques et qu’ils connaissent tous une fins comparable à celle de Mobutu — Que Dieu nous donne la Grâce le plus tot possible.

    Qui sera notre héros national?

  5. Dr Mengara,
    Là je vous avoue que vous me faites pitié. Et si vous croyez troubler ma quiétude, c’est peine perdue. Vous ne me dérangez pas du tout. Je pense que nous devons parler de fous, j’en connais un. Vous savez, le type assis derrière un ordinateur qui passe ses journées à débiter des sottises. A la dernière élection présidentielle, il est venu soit disant pour se présenter comme candidat et a du repartir sur la pointe des pieds aux USA. Depuis, son état s’aggrave chaque jour un peu plus. Il ne lui reste plus qu’à commencer à se balader nu dans les rues américaines.
    J’ai pensé qu’il était encore recupérable mais, finalement, il a vraiment perdu le nord. Si vous le croisez, vu que vous vous trouvez aux USA, essayez de le soigner. Son nom est Mengara Daniel.

    • Tiens, et voilà notre ami Medard Obiang Me Kame Abele Elan An Nga Wou Etom Bongo A Ne Minenga Kegue Ayili (votre nom du Mvet) qui retombe en enfance en se recroquevillant dans sa coquille d’enfant. Comme tout bongoïste qui se respecte, il est incapable de soutenir un débat cohérent, préférant se réfugier dans des enfantillages quand il se retrouve confronté à ses propres incohérences. Maintenant que vous me proclamez fou, le suis-je? Maintenant que vous me proclamez nu dans les rues américaines, le suis-je? Dites au moins des choses qui ont un sens quand vous voulez insulter quelqu’un. Moi, quand j’insulte les personnes que vous défendez, je justifie mes « insultes » par des arguments crédibles. Quand je dis « Ali Criminel », je démontre. Quand je dis « Bongo animal », je démontre. Vous ne verrez jamais dans mes textes d’insultes gratuites car ce ne sont pas, en réalités, des « insultes ». Seules les personnes qui ne savent pas lire ou comprennent mal la subtilité de mes propos croiront que j’insulte.
      C’est cela la vraie différence entre vous et moi. Voyez-vous, vous ne vous honorez aucunement, et vous ne faites, bizarrement, aucunement mieux que moi. La valeur morale de votre critique, et même sa superiorité morale, eût pu s’affirmer si vous aviez pris le contrepied de mes « insultes » en vous montrant plus digne que moi. Or, vous semblez confirmer ceci: un non-fou qui insulte un fou devient lui-même fou. Plus on est des fous, plus on s’amuse, hein?
      On voit donc que vous craquez, cher ami, vous craquez-là. Je vous croyais plus mentalement solide, ayant brièvement cru à un bonogoïste solide avec lequel je pouvais débattre. Et voilà que vous me privez déjà de cette belle opportunité. C’est vraiment pas juste. Encore un à jeter à la poubelle qui ne fera jamais le poid. Il n’a même pas tenu après un petit uppercut au menton.
      Bon, au suivant!!

      Daniel Mengara

  6. Monsieur PH;

    Juste vous inviter à parler correctement…
    On ne dit pas: « qui les ont attribués des faux diplômes ».
    Retourne donc vraiment à l’école. Et si c’est gens comme toi que le sieur Mengara compte comme conseiller, je comprends tout.
    Nous restons frère malgré tout.
    Que Dieu vous bénisse

  7. Très cher Docteur Mengara,
    Mon éducation et mon sens patriotique m’interdisent de vous suivre dans votre logique de vouloir coûte que coûte semer la violence dans les coeurs des gabonais.
    Je comprends parfaitement votre rancoeur à l’égard du nom Bongo. Pour vous, ce seul nom est source de toutes ces choses que vous citez et qui ne relève que de votre vérité.
    Qu’à cela ne tienne, je pense que si vous étiez un homme, un vrai, vous ne seriez pas aux Etats-Unis en train de manger les « patatos » et débiter toutes les conneries. Coneries car vous êtes coupés des réalités de la vie politique gabonaise. sachez simplement, et je le repète, que les vrais opposants sont au Gabon et participent positivent à la contruction de la nouvelle société gabonaise.
    S’acharner contre un nom est le combat que vous avez choisi. Je vous le concède; mais le jour où vous aurez des couilles, vous viendrez au Gabon pour vous mesurer au Président Ali Bongo qui est reconnu par le monde entier comme étant le Chef de l’Etat de notre Nation.
    Arrêtez de perdre votre temps. Les injures ne séduisent plus. venez au Gabon si vous êtes un homme et battez-vous. Sinon, TAISEZ-VOUS!!!!!!!

    • Ah, Monsieur Obiang, parce que vous croyez qu’être un homme, c’est se réfugier derrière une armée et inviter Daniel Mengara à aller se battre à armes inégales avec un voyou? C’est cela votre idée d’être un homme?

      Tiens, je vous propose quelque chose de plus simple. Puisque vous êtes si motivé par votre Ali, qui n’est même pas capable de se défendre tout seul et doit compter sur vous pour le défendre du vaurien qu’on appelle Daniel Mengara, pourquoi ne faites-vous pas construire à la gare routière un ring pour que je vienne au Gabon devant tout le monde botter les fesses à votre trouillard et lui faire cracher tous les CFA qu’il vole aux mamans gabonaises. On verra alors qui est un homme.
      Sinon, continuez à venir défendre votre Biafre. Vous semblez en souffrir. Tant mieux. On aime ici rendre fous les Bongoïstes.

      Daniel Mengara

  8. Dr MENGARA, ton texte est trop intéressant et tant pis pour les bongoistes et les moutons de panurge qui avancent dans les biafreries!
    Ton message est limpide,car les mots sont bien placés et bien utilisés,ceux qui pensent qu’il y’a des injures doivent encore repartir à l’école( au CP) ,ce n’est pas vraiment de leur faute,les bongos ne les ont pas vraiment scolarisés,ou bien les ont attribués des faux diplômes comme leur grand biafre ALI, il parait que BONGO lui a donné le doctorat en droit!
    Pr omar bongo ondimba= Dr Ali bongo ondimba= 0/20 (tête vide,manioc,caca,…)

  9. Mr Mengara

    Je respecte votre titre de docteur en littérature francophone. Sachez tout de même qu’à chacun, son domaine de compétences. Ne dit-on pas que chaque caïman a son propre marigot?
    Vous venez une fois de plus le confirmer dans votre analyse sur le droit à l’image.

    Mr le docteur en littérature francophone, Ali a tout à fait raison. A beau être une personne publique, il a tout de même une personnalité privée, et c’est sur celà que vous devriez -vous appuyez.

    Vous dite:Certes, il y a une zone du droit où l’image du Président de la République, en tant que propriété publique, c’est-à-dire propriété commune sans exclusive, est protégée : ce domaine concerne justement et précisément le principe qu’Ali Bongo et son régime sont en train de bafouer. Autrement dit, dès lors que l’image du Président de la République relève du domaine public, personne ne peut s’en arroger l’exclusivité. Personne ne peut, par ailleurs, en interdire l’utilisation : ni l’Etat ni le régime ni quelque groupe d’intérêt que ce soit. Personne. Ce qui n’est pas faux.

    Et concernant sa vie privée, dans quelle circonstance le droit à l’image doit -il s’appliquer?

    Par exemple sur votre site, BDP, l’image d’ALI est assimilée au gorille.
    Là c’est ABO comme personne privée à qui on fait grief.Et il est à mesure de porter plainte contre vous.

    De plus, vous osez parler de l’absolutisme. Avez-vous un problème mental?
    Dans toutes vos interview, jamais vous n’avez employé le pronom personnel « Nous », c’est toujours »Je ». Est-ce à dire que le BDP, n’existe pas comme parti politique organisé mais plutôt comme étant propriété privée de Mr Mengara?

    Contrairement à votre mouvement, le PDG est un parti bien organisé, et tu n’entendras jamais notre ALi09 parler en son propre nom quand il s’agit des affaires du PDG. Et celà n’est pas de son domaine mais de celui du SG.

    Mr, quelle place accordez-vous au vice président de BDP, quel rôle joue votre SG, s’il existe?
    C’est ça qu’on appelle de l’absolutisme.

    Commencez par montrer l’exemple dans votre parti politique avant de chercher à critiquer ABO qui est entrain de redonner l’espoir au peuple gabonais.
    Mal élevé!!! un docteur qui passe son temps à injurier!! c’est comme ça que vous comptez diriger le Gabon?
    Vous n’honnorez pas ce titre de docteur.

    Enfin, sachez que la politique se passe sur le terrain, et non derrière l’écran d’un ordinateur.

    • Monsieur, il me semble que vous souffrez de voir la vérité s’établir sur votre Ali. C’est bien. J’aime voir les bongoïstes souffrir.
      Mais, avant que de me parler de droit, je vous invite à aller lire le droit. Il me semble que vous en avez quelque peu besoin. Mais je peux néanmoins commencer à vous éclairer si vous voulez.
      Un: Le BDP n’est pas un parti politique. Nous ne sommes nulle part légalisés au Gabon. Deux: l’image d’Ali sur notre site? Cela s’appelle une caricature. Et le ton? Une satire. Avez-vous déjà vu dans les journaux des dessins de présidents un peu drôlement faits? Eh bien c’est cela la caricature, et c’est souvent dans des journaux satiriques que vous trouverez cela. Ali ne peut donc pas me poursuivre en justice pour des images satiriques ou caricaturales, sauf s’il se prend vraiment pour un gorille, auquel cas il ne voudrait pas que les gens le sachent… A moins que ce soit vous qui le preniez vraiment pour un gorille et vous avez honte qu’on étale au grand jour ce grand secret de gorillo? Sachez que je ne fais jamais rien sans y avoir longuement réfléchi. Le droit de satiriser les hommes publics existe dans tous les états démocratiques du monde. Il n’y a que dans les dictatures que l’on s’évertue à penser comme vous faites et à vouloir taire l’expression. Un Président n’a aucun droit absolu à la vie privée. Si, dans sa vie privée, il viole des jeunes filles et se livre à des pratiques immorales, il est condamnable et punissable par la loi. Sa seule protection, c’est contre les accusations mensongères comme tout le monde. Autrement dit, il est protégé contre la diffamation. La diffamation, ce serait dire qu’Ali a tué son père ou l’a empoisonné si on n’a aucune preuve pour le prouver. Mais en cela, il n’est aucunement différent de tout autre citoyen. Sa vie privée ne saurait donc faire l’objet d’une protection absolue ni particulière. Regardez comment Sarkozy souffre en France et vous comprendrez. Il n’a aucune protection contre la satire et le citoyen a le droit même de le traiter de tous les noms. Ce n’est pas pour autant qu’il ira faire mettre tous les Français en prison pour s’être foutu de sa gueule ou de sa… taille. Votre roi nègre ne peut donc, à moins que vous ne le confirmiez comme dictateur, empêcher les journalistes ou les citoyens de savoir les crimes auxquels il se livrerait dans sa vie privée juste parce qu’il serait le supposé Président, de surcroit autoproclamé, du Gabon. Et comme à mes yeux, je le considère comme un imposteur, alors vous comprenez…

      Daniel Mengara

  10. Bjr.
    S’opposer politiquement au Président de la République ne doit pas constituer un moyen de verser dans l’injure systématique et basse.
    Que M. Mengara conteste la décision la restriction sur l’usage de l’image du chef de l’Etat, cela est légitime. Mais pour un individu qui joue les moralisateurs de la vie politique gabonaise, je trouve qu’il est aller trop bas. Et finalement, en voulant insulter le Président Ali Bongo, il n’a fait qu’altérer le peu de crédit dont il pouvait encore se prévaloir. C’est dommage!
    Toujours est-il que le Gabon et les gabonais sont un peuple responsable qui sait dans le champ identifier le bon grain de l’ivraie. Les vrais opposants sont de véritables responsables et les gabonais les connaissent très bien. le temps où l’injure fait recette est largement dépassé. Il faut trouver autre chose cher Dr Mengara. Nous sommes tous frères et le Gabon est notre Patrie.
    une aurore se lève qui encourage l’ardeur. A chacun de se mettre au travail pour le développement de notre Pays. Le reste n’est que distraction qui n’intéresse plus personne.
    Bien à vous Docteur!!!

    • Vous voyez un Président de la République au Gabon, Monsieur Obiang? Où ça? Moi, personnellement, je n’en vois aucun. Je vois un criminel qui, si le Gabon avait été un état de droit, croupirait en prison. A la place, on aurait Pierre Mamboundou, le seul qui mériterait ce poste aujourd’hui.
      Je ne sais pas dans quel pays vous vivez, mais depuis quand voyez-vous des gens de bonne éducation dans des pays d’état de droit montrer du respect pour les criminels? On ne peut pas vouloir un état de droit au Gabon et considérer Ali Bongo comme autre chose qu’un criminel en liberté. Ali Bongo pour moi n’existe pas comme autre chose qu’un prisonnier en sursis car dans mon esprit, il est à Gros-Bouquet avec les autres criminels. Ce n’est pas insulter un criminel de dire qu’il est criminel s’il est vraiment criminel. Insulter quelqu’un c’est faire de la médisance en avançant des contre-vérités sur sa personne. Dire d’une femme qu’elle est prostituée quand elle ne l’est pas est une insulte. Dire d’une femme qui se prostitue qu’elle est prostituée n’est pas une insulte. C’est ce qu’elle fait et n’importe qui peut le prouver. Dire d’Ali qu’il est criminel, incompétent, dictateur et tout ce que vous pouvez imaginer comme qualificatif n’est pas une insulte car Ali est tout cela. A vous de nous prouver le contraire. Je n’ai jamais insulté qui que ce soit dans ma vie et cela ne commencera pas aujourd’hui. Ce qui vous paraît comme des insultes contre les Bongo ne l’est pas aux yeux de ceux qui savent utiliser ou analyser les mots. Cela s’appelle dire la vérité.

      Tiens, je vous donne votre premier devoir: Prouvez-nous qu’Ali Bongo n’est pas criminel et on arrêtera de l’insulter comme vous semblez le penser… Si vous ne le pouvez pas, alors soit vous vous tairez à jamais, soit vous repartirez à l’école pour étudier le sens des mots. Je suis un littéraire et écrivain. Mon métier est de travailler avec les mots. Je n’utilise jamais mes mots à la légère. Moi, je peux vous démontrer que chacun des mots que vous prenez pour une insulte n’en est pas. A vous de me montrer le contraire.

      Le jour où il y aura un Président légitime au Gabon, il méritera tout le respect qu’on lui doit.

      Quant à ma crédibilité, vous ai-je jamais dit que j’en recherchais une? Et dans quoi, la politique? Croyez-vous que je vis de politique comme vos parasites bongoïstes? Sachez une chose, cher ami, je me satisferais toute ma vie d’énerver les bongoïstes comme vous. Tant que je sais qu’il y a un bongoïste quelque part qui s’énerve ou ne dort pas la nuit de me savoir « insultant » contre leur roi nègre, je dormirai toujours tranquille.

      Daniel Mengara

  11. Je pense que Moussirou ne sait pas lire. Le français subtil de Mengara dépasse un peu sa capacité je crois. Personnellement je en vois aucune insulte sur Sylvia Bongo dans ce message. Une insulte serait des choses comme « con de ta mère » ou « salope ». Mengara traduit l’ironie de la situation. c’est tout. Mais il faut arrêter avec des accusations d’insultes. Le message de Mengara contient peut-être 1000 mots, mais des idiots comme Moussirou s’arrêtent au seul mot qui les dérange. Qu;est-ce qui est plus important pour vous? les fesses d’Ali ou de sa femme ou les problèmes que soulève le DR?

  12. J´approuve le langage ordurier de Mengara à l´égard du Biafré car Ali Bongo n´est qu´une ordure qui ne mérite que du mépris . Aussi le principe de la liberté d´expression nous permet de dire des choses telles que nous les sentons même si cela peut heurter la sensibilité de certains . Je viens de lire l´interview
    que le Biafre a accordé à ses amis de jeune afrique , je n´ai point été surpris de lire des réponses qui frisent le ridicule aussi bien dans la forme que dans le fond , le tout dans un langage du niveau de sixième . Pour quelqu´un qui prétend détenir un pseudo doctorat en droit cela reste à méditer .

  13. Vraiment je ne sais pas comment un politicien voulant prendre le pouvoir un jour au Gabon puisse employer de telles expressions. Mr Mangara je suis maintenant convaincu que vous n’êtes qu’un voyou. La politique ce n’est pas les injures. Si on parle des fesses de votre femme comme vous le faite pour la première dame serez vous contant? en plus un père de famille. vos enfants ne doivent pas être fier de vous car ils ont un père tordu et irresponsable. Si vous voulez critiquer le pouvoir en place, faites le en utilisant des arguments pour convaincre la population . si vous n’avez rien à dire alors fermez la et tous ceux qui approuvent ce texte sont aussi stupide que vous. si vous êtes démocrate vous savez qu’en politique le respect de l’autre est primordial. Venez crier ici au lieu de dire n’importe quoi au pays de l’oncle sam.

    • Monsieur Moussirou:

      Moi je suis un littéraire. J’utilise les mots après les avoir pesés. Nous avons vous et moi une différence d’appréciation. Vous voyez une « Première Dame » au Gabon? Où ça? Moi je n’en vois aucune.

      Equation 1: Si vous croyez comme moi qu’Ali Bongo a volé le poste de Président, et donc, qu’il n’est pas Président du Gabon, alors Sylvia Bongo n’est pas la « Première Dame » du Gabon, mais une femme pratiquant l’imposture avec son mari.

      Equation 2: Et si vous croyez comme moi que qui se ressemble s’assemble, alors, Sylvia Bongo, qui nourrit ses enfants du sang du peuple gabonais au moment où les enfants de ce peuple croupissent dans les misères avec les moustiques et les rats, vous comprenez, s’accommode bien de la criminalité de son époux. Daniel Mengara ne respecte pas les criminels.

      Equation 3: Je n’ai jamais passé une seconde de ma vie à rêver d’être un jour président du Gabon. Vous voyez, je suis donc libre de parler comme je veux. Cela devrait donc vous satisfaire de savoir que je ne serai pas votre Président, non?

      Je vous conseille quand-même, cher ami, de bien dormir car vous semblez manquer de sommeil, et parfois, cela rend incohérent.

      Daniel Mengara

  14. hahahaha ,Dr ,je suis mort de rire . Ton texte est super interessant . Vous avez utilise l’humour pour ressortir la verite et ridiculiser le biafre d’ali bete ,hahahah merci docteur.

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