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Crise politique au Gabon : Déclaration du Président du Parti Social Démocrate (P.S.D)

J’ai été informé de la décision d’André MBA OBAME de prêter serment en qualité de Président de la République suivie de la formation de son gouvernement. Mon éloignement du gabon ne lui a certainement pas permis de me faire l’amitié de me tenir informé de cette décision pour que je lui en donne mon avis.

L’acte ainsi posé est d’une gravité mais qu’il conviendrait cependant ni d’amplifier par des déclarations et réactions intempestives ni d’en minimiser la portée ; à ce propos, ceux qui pensent que l’acte ainsi posé est puéril doivent se souvenir qu’en 1993, à l’issue des élections présidentielles, un Gouvernement de la Résistance avait été formé avec à sa tête un Président de la République qui s’était tout aussi auto-proclamé et dont on peut à raison ne plus vouloir se souvenir du nom. Mais l’acte posé aura finalement conduit aux Accords de Paris dont les principaux animateurs n’étaient autres qu’Ali BONGO ONDIMBA actuel Président de la République et MBA OBAME.

Le Président Omar BONGO n’avait ni dissout les partis politiques formant le HCR encore moins demandé la levée de l’immunité parlementaire de ceux-là, élus nationaux, qui avaient fait partie du Gouvernement de la Résistance.

Pour venir à bout de cette forte contestation du Pouvoir de l’époque, une seule arme avait prouvé son efficacité, le dialogue et ainsi atteindre par consensus des objectifs visant le changement et l’amélioration des institutions dont l’approfondissement des acquis aurait pu nous éviter de retomber dans les mêmes travers.

J’ai entendu la CEEAC s’émouvoir de la déclaration de MBA OBAME en prenant position et en témoignant des élections qui se seraient déroulées dans la transparence au Gabon et qui ont vu l’élection d’Ali BONGO ONDIMBA. Mais lorsque la chaîne publique française France 2, un an après, consacre une émission sur les dessous du Pouvoir en Afrique francophone et révèle à tord ou à raison que les résultats des dites élections ont ou auraient été inversés au Gabon, aucun observateur des élections présidentielles gabonaises du 30 août 2009 n’a cru bon de s’émouvoir et encore moins de prendre position.

Penser que de telles assertions n’allaient provoquer aucune réaction de certains acteurs politiques gabonais et en particulier du prinicpal concerné, c’est faire preuve de cécité. Les dénégations qui ont suivi n’ont pas été faites sur le même médium mais à la télévision locale, ce qui n’a pas eu la même portée. Tout homme politique averti ne peut être surpris des développements qui sont intervenus.
Afin de dépasser cette délicate situation, Pierre MAMBOUNDOU a indiqué une solution, la biométrie.
Pierre MAMBOUNDOU, faut-il le rappeler, par honnêteté intellectuelle, est le père d’une proposition de loi examinée par les deux Chambres du Parlement, sur la Protection des Libertés Individuelles.

Il pense à raison que toout peut être fait pour que les élections législatives à venir connaissent une parfaite identification de l’électeur, par le biais de la Biométtrie. Je veux donc bien le croire et lui apporte pour ce faire tout mon soutien, si tant est qu’il puisse persuader le pouvoir qui freine des quatre fers de desserrer l’étau afin d’aller résolument dans le sens souhaité.

Mais au-delà de cette solution qui vise la transparence électorale, il y a que le Dialogue ne doit jamais être rompu entre acteurs politiques de bords différents afin d’éviter les incompréhensions et des situations dont la gravité n’a de conséquence que les bourrasques qui finissent par emporter les hommes politiques.

Je ne cesserai jamais de répéter que l’absence de Dialogue entraîne l’intolérance, l’intolérance entraîne les excès, les excès entrainent la violence, la violence entraîne la contre-violence et personne ne gagne à ce jeu.

Aussi de ce Dialogue pourrait naître des solutions, la Biométrie est une solution urgente mais il en est aussi de la réforme de la Commission Nationale Electorale et du rôle de la Cour Constitutionnelle. Car maintenant que la communauté internationale, l’ONU, l’Union Africaine, les communautés économiques régionales et sous-régionales s’impliquent dans la définition des résultats électoraux, pourquoi l’Afrique, en mal de transparence électorale, ne se doterait elle pas d’une structure qui serait chargée d’organiser les élections dans tous nos pays.

Dix mois avant l’échéance, elle s’installerait dans le pays pour prendre en mains les élections, s’assurer de la bonne tenue des listes électorales, désigner les membres des commissions électorales, les présidents et membres des bureaux de vote. C’est un investissement approprié sur une structure efficace, efficiente et économique. Un investissement que la Communauté internationale gagnerait à promouvoir qui éviterait toute contestation et perte de temps à une Afrique qui tarde à s’insérer dans le concert des nations.

Ne me posez pas la question de savoir ce que je fais de la souveraineté des Etats. Aujourd’hui cette notion est dépassée : l’ingérence de la Communauté Internationale en Côte d’Ivoire nous en donne une bien bonne occasion qui par ailleurs nous dispenserait de l’implication des Cours et Conseils Constitutionnels.

Enfin en privilégiant le Dialogue, la dissolution de l’Union Nationale n’aurait jamais dû être à l’ordre du jour. Aussi, j’invite le Pouvoir à ne pas donner suite à cette mesure et d’éviter aisi de mettre le doigt dans un engrenage aux effets pervers pour notre Pays.

Je vous remercie.

Pierre-Claver MAGANGA-MOUSSAVOU

Exprimez-vous!

  1. Yaoundé, July 23, 2011

    His Excellency Barack Obama, President of United States of America, Peace Nobel Prize 2009
    Washington D.C

    R.E: September 15, 2011, special day

    Dear Mr President,

    I have the honor to acknowledge the receipt of your letter of encouragement, on June 24, 2011.
    I appreciate your efforts for peace and reconciliation in the Middle East region and in the world.
    I wish you extend a helping hand on my Journey (with my wife and son) to Jerusalem, the holy city.
    I would like, in Jerusalem, to prepare September 15, 2011, special day for the protest, in all nations, against terrorism, israelo-palestinian conflict, coup d’Etat, political violence and war.
    This initiative recognizes naturally the right to a self-defence in case of agression.
    I have sent a letter (June 28, 2011) to the United Nations Secretary General care of United Nations Development Programme (UNDP) Representation in Cameroon.
    I have been received by UNDP Representation, on July 15, 2011, after a Sit-in at the entrance of UNDP, on July 14, 2011.
    I wish to appeal the attention of the international community about the « international day for democracy » (on September 15th).
    I wish also to appeal for the help from the United Nations for the publication, on line, of my book, « Initiatives for peace », with a programme about special day for the protest, in all nations, on September 15, 2011, against terrorism, israelo-palestinian conflict, coup d’Etat, political violence and war.
    Ambassadors of United States, Germany, Brazil, France, Great Britain, Israel, Spain (…) are informed about my Sit-in at the entrance of UNDP and my initiatives for peace.
    Dear Mr President,
    I would like you plead on my behalf to the Secretary General of United Nations, His Excellency Ban Ki-Moon, for an assistance about my initiatives for peace, about the protest, in all nations, on September 15, 2011, against terrorism, israelo-palestinian conflict, coup d’Etat, political violence and war.
    About my Sit-in at the entrance of UNDP and the programme of September 15, 2011, you can all get informations through Internet (Google), just after writing my name Ibrahim Bignoumbe-Bi-Moussavou.
    I have also the pleasure to inform you, Dear Mr President, that I have formally asked, through the national and international press, leaders, in religious communities, labour unions, political associations (…), to work in close cooperation with UNDP Representations, in the world, in order to prepare September 15, 2011 (« world international day for democracy »), special day for the protest, in all nations, against terrorism, israelo-palestinian conflict, coup d’Etat, political violence and war.
    Please, I don’t understand english very well, but I try to write some words.
    Dear Mr President, I have faith in you. « Yes we can ». In God, we trust.
    Thank you very much.

    Ibrahim Bignoumbe-Bi-Moussavou

    Gabonese Judge in exile, African leader for human rights, founder of « L’Internationale démocrate », general coordinator, author of « Manifesto against war » (« Manifeste contre la guerre »), disciple of Peace Nobel prize 1964, pastor Martin Luther King
    Tél (237) 70 14 37 55-E-mail : internationale_democrate@yahoo.fr

    Copies to:
    – His Excellency the Secretary General of United Nations (care of UNDP-Cameroon)
    – His Excellency the Ambassador of United States of America in Cameroon
    – National and international press
    ——————–
    Traduction non officielle

    Yaoundé, le 23 juillet 2011

    Son Excellence Barack Obama, Président des Etats-Unis d’Amérique, Prix Nobel de la paix 2009
    Washington D.C

    Objet : la Journée du 15 septembre 2011

    Excellence Monsieur le Président,

    J’ai l’honneur d’accuser réception de votre lettre d’encouragement, en date du 24 juin 2011.
    Je voudrais vous rendre hommage, Monsieur le Président, pour votre combat pour la paix et la réconciliation au Proche-Orient et dans le monde.
    Je sais compter sur votre appui, très précieux, à un voyage (avec ma femme et mon fils) à Jérusalem, la ville sainte, où je souhaiterais, notamment préparer la Journée spéciale de protestation, le 15 septembre 2011, dans toutes les nations, contre le terrorisme, le conflit israélo-palestinien, le coup de force, la violence politique et donc contre la guerre.
    Cette initiative admet naturellement la légitime défense et donc le droit de se défendre en cas d’agression.
    J’ai envoyé une lettre, en date du 28 juin 2011, à Monsieur le Secrétaire Général des Nations Unies via la Représentation du Programme des Nations Unies pour le développement (PNUD), au Cameroun.
    J’ai été reçu par les responsables du PNUD, le 15 juillet, après un Sit-in devant le PNUD, le 14 juillet 2011.
    Je souhaiterais attirer l’attention de la communauté internationale sur « la Journée internationale de la démocratie » (15 septembre).
    Je sais compter sur l’appui, très précieux, des Nations Unies, pour la mise en ligne de mon livre, « Initiatives for peace », avec le programme de la Journée de protestation, le 15 septembre 2011, dans toutes les nations, contre le terrorisme, le conflit israélo-palestinien, le coup de force, la violence politique et donc contre la guerre.
    Leurs Excellences Messieurs les Ambassadeurs des Etats-Unis d’Amérique, d’Allemagne, du Brésil, de France, de Grande Bretagne, d’Israël, d’Espagne (…) sont informés de ce Sit-in devant le PNUD et de mes initiatives pour la paix.
    Excellence Monsieur le Président,
    Je sollicite qu’il vous plaise de bien vouloir plaider auprès de Monsieur le Secrétaire Général des Nations Unies, Son Excellence Ban Ki-Moon, pour un appui à mes initiatives pour la paix, un appui à la mobilisation des citoyens, dans toutes les nations, le 15 septembre 2011, contre le terrorisme, le conflit israélo-palestinien, le coup de force, la violence politique et donc contre la guerre.
    Je voudrais indiquer que des informations, sur « le Sit-in devant le PNUD » et le programme de cette journée du 15 septembre 2011, ont été diffusées sur Internet (Google) : le public peut obtenir ces informations, en écrivant simplement Ibrahim Bignoumbe-Bi-Moussavou.
    J’ai aussi le plaisir de vous informer, Excellence Monsieur le Président, que j’ai cru devoir, par voie de presse, prier les leaders d’opinion (les leaders religieux, syndicaux, politiques…) de bien vouloir travailler en étroite collaboration avec les Représentations du PNUD, dans le monde, pour une bonne préparation des manifestations du 15 septembre 2011, dans toutes les nations, contre le terrorisme, le conflit israélo-palestinien, le coup de force, la violence politique et donc contre la guerre, manifestations qui s’inscrivent dans le cadre de la « Journée internationale de la démocratie ».
    Excusez-moi, je ne comprends pas très bien l’anglais, mais je peux écrire quelques mots.
    Excellence Monsieur le Président, je crois à vous. « Yes we can ». En Dieu, nous avons foi.
    Très haute considération et profonde gratitude.

    Ibrahim Bignoumbe-Bi-Moussavou

    Juge gabonais en exil, militant africain des droits humains, fondateur de l’Internationale démocrate, coordinateur général, père du Manifeste contre la guerre, disciple du prix Nobel de la paix 1964, pasteur Martin Luther King
    Tél (237) 70 14 37 55-E-mail : internationale_democrate@yahoo.fr

    Copies à :
    – Son Excellence Monsieur le Secrétaire Général des Nations Unies (S/C du PNUD-Cameroun)
    – Son Excellence Monsieur l’Ambassadeur des Etats-Unis d’Amérique au Cameroun
    – La presse nationale et internationale

    ————- Yaoundé, le 05 août 2011
    PLAN B : Message aux nations
    Journée internationale de la démocratie (15 septembre)

    ô peuples,
    En ma qualité de fondateur de l’Internationale démocrate, ONG dont l’objectif est d’œuvrer à la préservation de la paix sociale par la promotion du dialogue inter-religieux, de la culture de la tolérance et la lutte contre la pauvreté ou l’exclusion sociale, j’ai cru devoir lancer un appel au rassemblement des peuples pour la paix à Jérusalem, la ville sainte, et dans le monde.
    J’ai cru également devoir appeler à la mobilisation des citoyens, dans toutes les nations, le 15 septembre 2011 (Journée internationale de la démocratie), contre le terrorisme, le conflit israélo-palestinien, le coup de force, la violence politique et donc contre la guerre.
    Cette initiative admet naturellement la légitime défense et donc le droit de se défendre en cas d’agression.
    J’ai dû organiser « un Sit-in devant les locaux du PNUD », à Yaoundé, le 14 juillet 2011, pour attirer l’attention de la communauté internationale sur la « Journée internationale de la démocratie » et ces manifestations pacifiques.
    Le juge gabonais en exil, militant africain des droits humains, fondateur de l’Internationale démocrate, coordinateur général, père du Manifeste contre la guerre, disciple du prix Nobel de la paix 1964, pasteur Martin Luther King, que je suis, se félicite de la compréhension des plus hautes autorités camerounaises, de la Police diplomatique et de la Représentation du PNUD.
    L’honneur m’échoit de vous exhorter à participer à ces manifestations pacifiques, sous la direction des leaders d’opinion (les leaders religieux, syndicaux, politiques…).
    Les nations sont à un tournant de l’histoire de l’humanité : il y aura un avant et un après 15 septembre 2011. Si Dieu le veut.
    Je voudrais souligner ici que :
    – l’Internationale démocrate est née le 15 septembre 2001, à Bamako, au Mali. Et le 15 septembre, de chaque année, depuis 2008, est la « Journée internationale de la démocratie » : Dieu est le Maître du temps et de l’espace ;
    – l’Internationale démocrate propose un Manifeste contre la guerre : la démocratie ne s’épanouit que dans une société qui a banni la guerre et avec elle la dictature. Et l’Occident est une démocratie parce que justement la guerre a été bannie sur ses terres ;
    – l’Internationale démocrate soutient que la paix au Proche-Orient conditionne largement la sécurité internationale et la paix dans le monde.
    Je voudrais ici remercier infiniment Monsieur Barack Obama, Président des Etats-Unis d’Amérique, prix Nobel de la paix 2009, pour la lettre d’encouragement, en date du 24 juin 2011, qu’il a bien voulu adresser à l’Internationale démocrate, et Monsieur Ban Ki-Moon, Secrétaire Général de l’Organisation des Nations Unies, pour sa sollicitude.
    « Cette nouvelle époque exige de redéfinir la notion de leadership – de leadership mondial. Elle exige une nouvelle coopération internationale entre tous – gouvernements, société civile et secteur privé, travaillant ensemble pour le bien collectif du monde entier», avait déclaré Monsieur Ban Ki-Moon, Secrétaire Général de l’ONU, lors de la séance plénière du Forum économique mondial, le 29 janvier 2009, à Davos, en Suisse.
    Je remercie également les décideurs et les simples gens, dans toutes les nations, pour l’intérêt accordé à mes initiatives pour la paix et donc à l’Internationale démocrate.
    Je saisis cette occasion pour former le vœu de voir de nombreux citoyens du monde adhérer à l’Internationale démocrate.
    Je joins au présent message, la lettre ouverte à Monsieur le Secrétaire Général des Nations Unies et à Monsieur le Représentant du PNUD en République du Cameroun, le programme de la Journée du 15 septembre 2011, la note de présentation de l’Internationale démocrate, le Manifeste contre la guerre et une coupure de presse, une publication du journal « Le Messager », sur l’interpellation de Monsieur le Secrétaire Général de l’ONU.
    Je dédie le présent message aux victimes du terrorisme, du conflit israélo-palestinien, des coups de force, de la violence politique et des guerres, au Révérend pasteur Martin Luther King, prix Nobel de la paix 1964, et à Pius N. Njawé, fondateur de ce journal camerounais.
    Je sais compter sur l’appui, très précieux, de la communauté internationale.
    Ensemble, dans le respect de la différence, nous pouvons, nous devons bâtir un autre monde, « un monde pacifique et ouvert au dialogue ».
    Vive la « Journée internationale de la démocratie », vive la paix sociale.
    Je vous remercie infiniment.

    Ibrahim Bignoumbe-Bi-Moussavou
    Juge gabonais en exil, militant africain des droits humains, fondateur de l’Internationale démocrate, coordinateur général, père du Manifeste contre la guerre, disciple du prix Nobel de la paix 1964, pasteur Martin Luther King

    —————————

    L’Internationale démocrate Yaoundé, le 05 août 2011
    Union-Démocratie-Paix sociale

    Objet : Plan B, pour l’organisation des manifestations pacifiques, dans toutes les nations, le 15 septembre 2011 (Journée internationale de la démocratie), contre le terrorisme, le conflit israélo-palestinien, le coup de force, la violence politique et donc contre la guerre

    Excellences Monsieur le Secrétaire Général de l’ONU et Monsieur le Représentant du PNUD,

    J’ai l’honneur de vous adresser l’hommage de ma très haute considération et vous proposer un Plan B, pour l’organisation des manifestations pacifiques, dans toutes les nations, le 15 septembre 2011 (Journée internationale de la démocratie), contre le terrorisme, le conflit israélo-palestinien, le coup de force, la violence politique et donc contre la guerre.
    Cette initiative admet naturellement la légitime défense et donc le droit de se défendre en cas d’agression.
    Comme vous le savez, en ma qualité de fondateur de l’Internationale démocrate, ONG dont l’objectif est d’œuvrer à la préservation de la paix sociale par la promotion du dialogue inter-religieux, de la culture de la tolérance et la lutte contre la pauvreté ou l’exclusion sociale, j’ai dû organiser « un Sit-in devant les locaux du PNUD », à Yaoundé, le 14 juillet 2011, pour attirer l’attention de la communauté internationale sur la « Journée internationale de la démocratie » et ces manifestations pacifiques.
    Je voudrais ici me féliciter de la compréhension des plus hautes autorités camerounaises, de la Police diplomatique et de la Représentation du PNUD.
    Dans l’hypothèse où mon livre, « Initiatives for peace » (avec le programme de la Journée du 15 septembre 2011) ne serait pas mis en ligne à temps, il serait souhaitable de prendre en considération le Plan B, ci-joint, qui est un ensemble de documents (de moins de 10 pages) : la présente lettre ouverte, mon Message aux nations, le même programme, la note de présentation de l’Internationale démocrate, le Manifeste contre la guerre et une coupure de presse.
    Il est à noter qu’après le 15 septembre 2011, ce livre sera mis en ligne : il sera intitulé « Initiatives for peace – Il était une fois le 15 septembre 2011 ».
    Vous conviendrez avec moi que l’appui des Nations Unies à mon initiative est hautement souhaitable.
    J’ai cru devoir exhorter les leaders d’opinion (les leaders religieux, syndicaux, politiques…) à travailler en étroite collaboration avec les Représentations du PNUD, dans le monde, pour une bonne organisation de ces manifestations, qui s’inscrivent dans le cadre de la « Journée internationale de la démocratie ».
    Vous conviendrez également avec moi que le Message de Monsieur le Secrétaire Général de l’ONU est attendu.
    A cet égard, je vous prie de bien vouloir trouver, ci-joint, un document confidentiel dont une copie a été envoyée à Monsieur Barack Obama.
    Je voudrais encore remercier infiniment Monsieur Barack Obama, Président des Etats-Unis d’Amérique, prix Nobel de la paix 2009, pour la lettre d’encouragement, en date du 24 juin 2011, qu’il a bien voulu adresser à l’Internationale démocrate.
    Avant de terminer, je voudrais rappeler que l’Internationale démocrate propose un Manifeste contre la guerre : la démocratie ne s’épanouit que dans une société qui a banni la guerre et avec elle la dictature. Et l’Occident est une démocratie parce que justement la guerre a été bannie sur ses terres.
    L’Internationale démocrate soutient que la paix au Proche-Orient conditionne largement la sécurité internationale et la paix dans le monde.
    Je sais compter sur l’appui, très précieux, de la communauté internationale.
    Ensemble, dans le respect de la différence, nous pouvons, nous devons bâtir un autre monde, « un monde pacifique et ouvert au dialogue ».
    Très haute considération et profonde gratitude.

    Ibrahim Bignoumbe-Bi-Moussavou
    Juge gabonais en exil, militant africain des droits humains, fondateur de l’Internationale démocrate, coordinateur général, père du Manifeste contre la guerre, disciple du prix Nobel de la paix 1964, pasteur Martin Luther King
    Tél : (237) 70 14 37 55 – E-mail : internationale_democrate@yahoo.fr

    Copies à :
    – Monsieur le Ministre camerounais des Relations Extérieures
    – Monsieur le Ministre camerounais de la Communication
    – La presse nationale et internationale
    —————————
    Mobilisons-nous, dans toutes les nations, le 15 septembre 2011, contre le terrorisme, le conflit israélo-palestinien, le coup de force, la violence politique et donc contre la guerre

    Année 2011

    ANNEE DE LA GRANDE PROTESTATION
    contre le terrorisme, le conflit israélo-palestinien,
    le coup de force, la violence politique et donc contre la guerre
    ———————-

    Une initiative du fondateur de l’Internationale démocrate, disciple du prix Nobel de la paix 1964, Martin Luther King
    —————-
    PROGRAMME GENERAL

    RASSEMBLEMENTS DES CITOYENS DANS TOUTES LES NATIONS

    Le 1er septembre 2011 :

    * Communiqué de presse
    Par les leaders d’opinion, dans chaque pays,
    sur les enjeux et la date de la manifestation et sur la
    confection des affiches et banderoles, par les forces vives
    (ci-joint des modèles)

    Le 14 septembre 2011 :

    * Communiqué de presse
    Par les leaders d’opinion, dans chaque pays,
    sur les enjeux et la date de la manifestation / rappel

    Le 15 septembre 2011 :

    * Rassemblements des citoyens, à partir de 16 heures
    en différents endroits ou en un endroit unique (si possible), dans
    chaque localité, en fonction des réalités locales et des forces en
    présence
    I- Observation d’une minute de silence, à la demande du coordinateur
    de la manifestation, en mémoire des victimes du terrorisme, du conflit israélo-palestinien, des coups de force, de la violence politique ou des guerres
    II- Discours des représentants des forces en présence, dans l’ordre suivant :
    – les représentants des forces vives (autres que les religieux, les syndicalistes et les femmes et hommes politiques) ;
    – les représentants des différentes communautés de croyants (juifs, chrétiens et musulmans) en Dieu, l’Unique, Créateur des cieux et de la terre ;
    – les représentants des différentes confédérations syndicales (des chefs d’entreprises et des travailleurs et assimilés) ;
    – les représentants des différents regroupements ou camps politiques
    III- Fin de la manifestation

    —————
    NB : Les forces qui auront pris l’initiative d’organiser, en un endroit précis, une manifestation (le rassemblement) se chargent de sa préparation, avec le concours de tous, de sa coordination et d’y inviter les citoyens de leur localité, y compris les leaders religieux, syndicaux et politiques (ou leurs délégués locaux) devant prendre la parole.

    ——————————

    AFFICHE 1

    Année 2011

    ANNEE DE LA GRANDE PROTESTATION

    contre le terrorisme, le conflit israélo-palestinien,
    le coup de force, la violence politique et donc contre la guerre

    ———————–

    RASSEMBLEMENTS DES CITOYENS, DANS TOUTES LES NATIONS

    Le 15 septembre 2011, à partir de 16 heures

    Lieu :…………………………………………………………..

    A l’initiative du fondateur de l’Internationale démocrate, disciple du prix Nobel de la paix 1964, pasteur Martin Luther King

    ————

    AFFICHE 2

    Année 2011

    ANNEE DE LA GRANDE PROTESTATION

    contre le terrorisme, le conflit israélo-palestinien,
    le coup de force, la violence politique et donc contre la guerre
    ———————–
    « La démocratie ne s’épanouit que dans une société qui a banni la guerre et avec elle la dictature ». La démocratie doit triompher de la force.
    ——————-
    Les peuples, aux Etats-Unis d’Amérique et en Europe, on ne le dit jamais assez, comme les peuples juif et arabe et les peuples du monde, ont déjà payé un lourd tribut au conflit israélo-palestinien.

    ASSEZ……LA PAIX MAINTENANT
    ———————————————–

    L’Internationale démocrate soutient que la paix au Proche-Orient conditionne largement la sécurité internationale et la paix dans le monde.
    Le temps est venu de rassembler les peuples pour la paix à Jérusalem, la ville sainte, et dans le monde.
    Craignons Dieu et rassemblons-nous pour la paix à Jérusalem (« … Réjouissez-vous avec Jérusalem… Je dirigerai vers elle la paix comme un fleuve et la gloire des nations comme un torrent débordé… Vous serez consolés dans Jérusalem… » – Esaïe 66 : 10 à 24-) et « l’alliance nouvelle, l’alliance de paix, l’alliance éternelle » (Jérémie 31 : 30 à 33 ; Ezéchiel 37 : 24 à 28 ; Hébreux 13 : 20 à 21 et le Coran 5 : 7), promesse de Dieu, l’Eternel des armées. Avant le jugement dernier.

    *****************

    LIBERTE ET JUSTICE pour TOUS

    ——————————-

    L’Internationale démocrate

    Note de présentation

    L’Internationale démocrate est une organisation non gouvernementale (ONG). Elle est née le 15 septembre 2001 à Bamako, au Mali. Son siège est à Libreville, au Gabon.
    Cette initiative est soutenue dans la conclusion du livre intitulé « L’Islam au Gabon », contribution à l’épanouissement harmonieux de l’islam dans un monde pacifique, et à la suite d’une interrogation sur les causes profondes de la violence politique (intolérance et pauvreté) et les solutions à ce problème.
    La situation sociopolitique qui prévaut, notamment au Proche-Orient, dans les Balkans et en Afrique, nous interpelle.
    1- Objectif : Œuvrer à la préservation de la paix sociale par :
    – la promotion du dialogue inter-religieux, de la culture de la tolérance ;
    – la lutte contre la pauvreté ou l’exclusion sociale.
    2- Membres : L’Internationale démocrate a l’ambition de réunir, dans au moins deux pays, les forces de mobilisation des populations, dans les sociétés démocratiques modernes, à savoir les religieux, les syndicalistes, les femmes et hommes politiques et les personnes physiques, sans étiquette ou d’horizons divers, désireuses de promouvoir la liberté et la justice.

    * Les modalités d’adhésion à cette association sont définies dans sa charte et la « lettre ouverte aux démocrates ».

    NB : Le fondateur de l’Internationale démocrate est l’auteur de différentes œuvres de l’esprit : des livres, une pièce de théâtre (sur le droit à la différence), un Cd-rom sur l’hymne de l’Internationale démocrate (et les chansons qui l’accompagnent), un périodique (tribune des membres de l’Internationale démocrate)… Tous les écrits sont à traduire en différentes langues.
    Le périodique (à paraître une fois par trimestre) est la principale source de revenus de l’association pour son fonctionnement régulier.

    3- Organes : Les principaux organes de l’association sont : le congrès, le secrétariat général, les assemblées générales et les sections nationales et locales.

    4- Siège : Libreville / Gabon. Avec « un Bureau de liaison ».
    5- Structure particulière : Le Palais de l’Internationale démocrate, haut lieu de la tolérance, est à construire à Biléngui, au sud du Gabon.

    6- Statut : L’Internationale démocrate, ONG, devrait avoir le statut consultatif auprès du Conseil des droits de l’homme et du Conseil économique et social de l’Organisation des Nations Unies.

    7- Programme d’action :
    1- Culture de la tolérance
    * Promotion et protection des droits de l’homme et organisation des rencontres d’échanges d’expériences entre différentes sections nationales ;

    * organisation à Berlin, en novembre 2012, du 1er congrès ordinaire de l’Internationale démocrate et, en marge de cette réunion, d’une « Conférence sur la culture de la tolérance au Proche-Orient » (avec la participation des intellectuels juifs, chrétiens et musulmans).
    Le congrès ordinaire de cette organisation se tient tous les trois (3) ans, conformément à la charte de cette association, adoptée à Bamako, au Mali, le 15 septembre 2001.
    La paix au Proche-Orient conditionne largement la sécurité internationale et la paix dans le monde.
    En outre, l’Internationale démocrate propose un Manifeste contre la guerre : la démocratie ne s’épanouit que dans une société qui a banni la guerre et avec elle la dictature.

    2- Lutte contre la pauvreté ou l’exclusion sociale
    Cette ONG, qui plaide pour la promotion du développement social, notamment en milieu rural, la création des conditions de vie de nature à favoriser le retour à la terre des populations mal intégrées dans les villes, préconise un appui aux associations de jeunes planteurs, dans toutes les nations. L’Internationale démocrate propose, pour les pays d’Afrique (continent le plus pauvre de la planète), un projet agricole pilote, au bénéfice de ces associations.

    * Ce projet agricole, à réaliser dans différents pays d’Afrique, pourrait servir de modèle, notamment pour les collectivités territoriales et la société civile en Afrique : il appartient aux peuples d’inventer l’avenir.

    L’Internationale démocrate sait compter sur l’appui de tous. Elle compte aussi sur la mobilisation des bonnes volontés au sein de ses organes.

    Berlin, janvier 2003

    Ibrahim Bignoumbe-Bi-Moussavou
    Coordinateur général
    ————————————————————————
    L’Internationale démocrate
    Union-Démocratie-Paix sociale
    E-mail : internationale_democrate@yahoo.fr
    ——————————-
    L’Internationale démocrate

    Manifeste contre la guerre

    Des femmes et des hommes, avant nous, les « martyrs de la liberté », ont fait don de leurs vies pour la liberté et la justice. A l’heure de la démocratisation de nos sociétés, il appartient aux peuples de conforter ce processus irréversible. Et la sagesse commande d’amener les décideurs à admettre que ce processus est effectivement irréversible et que l’objectif à atteindre est l’édification d’un monde pacifique. Pour cela, il faut bannir la guerre, mobiliser les citoyens contre la guerre (et donc contre toute agression extérieure, le terrorisme (de groupe ou d’Etat), les guerres civiles, les génocides ; contre l’arbitraire, l’abus de pouvoir, l’autoritarisme, la conquête du pouvoir par la force, la violence politique, l’intolérance…), avec la signature du présent Manifeste contre la guerre.
    L’Internationale démocrate soutient que l’assassinat politique comme l’attentat terroriste est un crime contre l’humanité. Un pouvoir qui assassinerait un citoyen ou utiliserait les armes contre lui ou les pays voisins ou tiers serait traduit devant la Cour pénale internationale pour « crime contre l’humanité ». De même, une rébellion qui assassinerait un chef d’Etat ou de Gouvernement ou un autre citoyen, serait aussi traduite devant la même Cour pour le même crime. Le règne de la démocratie serait possible. La démocratie serait synonyme de compromis pour la paix sociale, la politique du « TOUT OU RIEN » étant source de conflits et donc incompatible avec la démocratie, et la terre, qui n’est pas un paradis, ne pouvant offrir que ce qu’elle a et tout gouvernement devant garantir à l’être humain, avant tout, ce qui est nécessaire à la vie.
    Le crime contre un citoyen ne serait un crime contre l’humanité que si ce crime a été perpétré en exécution d’un ordre écrit ou d’un ordre non écrit et, dans ce dernier cas, en présence des témoins : les compétences de la Cour pénale internationale (CPI) sont et doivent être claires, nettes et précises.
    Il importe de souligner que la Justice ne confond pas les cas de pertes en vies humaines (à l’exclusion des crimes, des massacres…) survenues au cours d’une intervention régulière, c’est-à-dire conforme à la loi, des Forces de sécurité et de défense, contre des bandits ou des malfaiteurs, et les cas de pertes en vies humaines, survenues au cours d’une intervention d’une rébellion armée contre des dissidents ou des résistants ou des citoyens sans armes.
    En fait, « la préservation de la paix sociale », idéal de l’Internationale démocrate, s’impose comme un impératif moral majeur qui devrait inciter les nations à bannir la guerre pour que règne la démocratie. La guerre est à bannir. Elle ne s’imposerait qu’en cas d’agression, dont les auteurs seraient poursuivis devant la Cour pénale internationale.
    Ainsi, nous devons nous mobiliser, dans nos différents pays, pour cet idéal, celui du démocrate, et amener les décideurs à admettre que le monde est à bâtir, il n’est pas à détruire.
    La guerre est un fléau, le plus grand malheur qui puisse arriver à un peuple, qui n’a pourtant besoin que de deux choses essentielles pour « vivre, vivre libre » : le respect de la différence et la satisfaction de ses besoins fondamentaux.
    La démocratie ne s’épanouit que dans une société qui a banni la guerre et avec elle la dictature. L’Occident est à jamais un monde libre, et donc une démocratie, parce que justement la guerre a été bannie sur ses terres et avec elle la dictature.
    Dans les temps présents où toutes les nations (ou presque), dans le monde, sont indépendantes, et où les peuples, dans tous les continents, ont soif de démocratie, la guerre (imposée ou non), ne débouche plus sur la libération d’un peuple, bien au contraire, et la démocratie ou la consultation du peuple reste la voie du salut.
    Mobilisons-nous et joignons nos mains à celles des autres, sur l’autre rive, pour la liberté, mais aussi pour la justice : « la liberté a les limites que lui impose la justice ».
    En outre, il convient de souligner ici que la démocratie est une affaire du peuple souverain. Aucun peuple ne peut l’imposer à un autre peuple. Et « un peuple a le gouvernement qu’il mérite ». Le processus de démocratisation de nos sociétés est irréversible. Il est plus simple, dans un pays, par exemple, d’instaurer le multipartisme (au moins un parti de la majorité et un parti de l’opposition) que d’instaurer la justice : un esclave, une fois libre, doit encore lutter, toute sa vie, contre toutes les formes d’injustice. Dieu est bon non parce qu’Il est libre, mais parce qu’Il est Juste. Et un gouvernement est bon non parce qu’il est libre, mais parce qu’il est juste.
    Il n’est pas vain d’indiquer qu’il est naturel et vital pour un être humain comme pour un Etat de disposer ou de tirer une satisfaction de ce qui est nécessaire à la vie ; c’est une question de dignité, de considération que l’on doit avoir pour la personne humaine, pour les autres. C’est aussi une question de justice sociale. Et la paix sociale est garantie dans un pays, riche ou pauvre, qui permet à l’être humain de « vivre, vivre libre ».
    D’où la nécessité de respecter le droit à la différence et de satisfaire les besoins fondamentaux des populations, les besoins essentiels de l’être humain pour lequel il est vital de « se nourrir, se loger, se soigner, s’éduquer, s’éclairer, se vêtir » : ce n’est là ni le minimum ni le maximum à faire, mais ce qui est nécessaire à la vie.
    Les peuples ont soif de liberté. Ils ont aussi soif de justice : là où nous nous trouvons, notre voix compte.
    Ensemble, dans un élan de cœur et de raison, bâtissons un monde libre et juste pour la paix sociale.
    Je souscris au présent Manifeste contre la guerre.

    Nom (s) et prénom (s) :

    Pays : / Ville ou village : / Contact :

    Lieu et date de signature : / Signature :

    NB : Contact (E-mail): internationale_democrate@yahoo.fr
    NB : Ce document est extrait du livre (à paraître) intitulé « L’Internationale démocrate / Panorama d’un idéal », par Ibrahim Bignoumbe-Bi-Moussavou, né le 10 mai 1960 à Mouila, au Gabon (en Afrique), juge gabonais en exil, militant africain des droits humains, fondateur de l’Internationale démocrate, coordinateur général, père du Manifeste contre la guerre, disciple du prix Nobel de la paix 1964, pasteur Martin Luther King. Le livre est à traduire en différentes langues.
    ———————-
    (1) La Cour pénale internationale (CPI) a été instituée par le Traité de Rome de 1998. La CPI a compétence dans le monde pour les crimes de guerre, les crimes contre l’humanité et les crimes de génocide. Ces crimes sont imprescriptibles.
    L’Internationale démocrate s’assigne la mission de faire adopter par tous les Etats, avec le concours du Secrétariat Général des Nations unies, le fait pour un pouvoir d’assassiner un citoyen ou d’utiliser les armes contre lui ou les pays voisins ou tiers et pour une rébellion d’assassiner un chef d’Etat ou de Gouvernement ou un autre citoyen, comme un « crime contre l’humanité » : là où nous nous trouvons, notre voix compte.

    (2) L’Internationale démocrate est une ONG née à Bamako, au Mali, le 15 septembre 2001. Libreville, au Gabon, est son siège. Jérusalem, la ville sainte, est son siège provisoire. Et le 15 septembre, de chaque année, depuis 2008, est la « Journée internationale de la démocratie » : Dieu est le Maître du temps et de l’espace.
    L’objectif de cette association est d’œuvrer à la préservation de la paix sociale, par la promotion du dialogue inter-religieux, de la culture de la tolérance et la lutte contre la pauvreté ou l’exclusion sociale.
    Cette organisation a l’ambition de réunir, dans au moins deux pays, les forces de mobilisation des populations, dans les sociétés démocratiques modernes, à savoir les religieux, les syndicalistes, les femmes et hommes politiques et les personnes physiques, sans étiquette ou d’horizons divers, désireuses de promouvoir la liberté et la justice.

  2. Restez tranquille, vous êtes tous faible!!! vous ne ferez jamais rien!!! le gabon ne sera jamais dans les mains de l’opposition. les bongo vous matent bien!! une poignée de personnes dirige le gabon. pitié pour les gabonais, ils ont tellement peur de pousser leur révolution dans les rues. ils préfèrent les miettes de pain que Ali bongo a jeté dans les rues lors des élections. au lieu de vous cacher sur des sites internet pour critiquer le systeme, batez vous en public, devant les décideurs internationaux. la communauté internationale ne peut rien si les gabonais ne font rien. les autres chassent les dictateurs avec les cailloux tunisie egypte, sans armes.
    vous êtes nul les gabonais. tous les opposants n’en valent pas la peine!!!

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