L’Unicef et la société civile ont signé, mercredi à Libreville à l’occasion de la journée internationale des droits de l’enfant, des accords de partenariats pour mieux assurer la survie de l’enfant.

Dans son allocution de circonstance, Le représentant de l’Unicef au Gabon, Aboubacar Saidou a rappelé, dans son allocution les droits de l’enfant en indiquant qu’il ‘’s’agit du droit à un nom et à une identité (…), du droit à la survie, au développement et à la protection’’.

‘’Les acteurs de la société civile ainsi que les médias de proximités peuvent jouer un rôle moteur dans la mobilisation sociale, l’information et la promotion des comportements essentiels, favorables à la survie de la mère et de l’enfant’’, a-t-il insisté.

Pour le ministre de la ministre de la Justice présente à la cérémonie (…), Mme Ida Reteno Assonouet ‘’les droits réservés à l’enfant sont tout à fait naturels (…), l’enfant à le droit à la protection, c’est un don précieux et un don humain quelque soit la culture et la religion’’.

Le père Patrick Nguema Edou, au nom de l’archevêque de Libreville Basile Mvé Engone, a indiqué que ‘’les enfants sont un don de Dieu à l’humanité, ils doivent donc être l’objet d’un soin particulier de la part de leurs familles, de l’Eglise, de la société et des gouvernements, car ils sont une source d’espérance et de renouvellement dans la vie’’, a-t-il dit.

Dans un message fort captivant, le représentant des enfants s’est dit ravi qu’un enfant prenne la parole pour donner son avis sur ‘’les choses des grands’’.

Pour lui, ‘’les choses des grands font beaucoup de victimes chez les enfants, surtout lorsqu’ils ne sont pas associés à leur élaboration’’.