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Le rapport de l’étude sur la création d’un réseau contre la corruption validé

Le rapport sur l’étude de faisabilité pour la création d’un réseau des institutions nationales anti-corruption (INAC) en Afrique centrale a été adopté, mercredi à Libreville, par les représentants des ces structures au terme de deux jours des travaux en atelier.

Les responsables des institutions et les structures chargées de la lutte contre la corruption de la sous- région d’Afrique central ont examiné et adopté le rapport de l’étude de faisabilité portant sur la création d’un réseau des institutions nationales de lutte contre la corruption (INAC) au terme de deux jours des travaux en atelier.

La recommandation formulée par les participants sur l’établissement du réseau et la validation de la feuille de route pour sa mise en place s’articule autour de la rédaction des textes fondamentaux du réseau, du code d’éthique, des statuts et règlement interne et financier, avant le 31 décembre prochain.

Ces textes seront ensuite validés, avant le lancement officiel du réseau dans les institutions, nationales anti-corruption. Il est également prévu l’élaboration d’un plan stratégique et du budget opérationnel pour le fonctionnement du réseau, le recrutement du personnel du secrétariat du réseau, qui sera implanté à Libreville, et la formations des points focaux.

Le rapporteur général, Jean Marie Mulumba, a rappelé que la mise en place d’un réseau sous-régional résulte du fait qu’une ‘’bonne coopération entre les institutions nationales de lutte contre la corruption de la sous- région, peut faciliter l’échange d’expériences, enrichir les connaissances et les efforts des institutions nationales de lutte contre la corruption, notamment dans le domaine de la corruption transfrontalière’’.

‘’Combattre la corruption réclame une synergie d’action, devant la complexité de ce phénomène, qui représente une menace sérieuse pour la stabilité et le développement économique de l’Afrique en général et de la sous région d’Afrique centrale, en particulier’’, ont reconnu les différents participants.

Cet atelier était co- organisé par la Commission économique pour l’Afrique (CEA), le Bureau sous-régional de la CEA pour l’Afrique centrale (BSR-AC), la Communauté économique des Etats de l’Afrique centrale (CEEAC) et le Conseil consultatif sur la corruption de la Commission de l’Union africaine (AU-BAC), et avait le but t de répondre à leur engagement en faveur de la lutte contre la corruption en Afrique centrale.

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