Identifier et promouvoir les ressources forestières mondiales encore disponibles étaient les buts de l’atelier organisé dernièrement dans la capitale gabonaise, Libreville par les responsables de l’Organisation des Nations unies pour l’Alimentation et l’Agriculture (FAO).
Un atelier sur l’identification et la promotion des ressources forestières disponibles et répondant aux besoins mondiaux à long terme a tenu ses assises dernièrement dans la capitale gabonaise, Libreville, à l’initiative de l’Organisation des Nations pour l’Alimentation et l’Agriculture (FAO) en collaboration avec les pays membres.
Cette évaluation qui se fait tout les cinq ans permet d’obtenir des données fiables et des informations essentielles des ressources forestières afin de mettre en place des politiques générales, des décisions et des négociations dans tous les domaines où les forêts et la foresterie jouent un rôle prépondérant.
En effet, la rencontre de Libreville qui était axée sur le thème « l’harmonisation des initiatives relatives à la collecte et le rapportage des données du secteur forêt-environnement en Afrique Centrale » avait également pour but de confronter les expériences et les approches des participants pour trouver les points de convergences et dresser les passerelles nécessaires pour une collaboration future » comme l’a expliqué Raymond Ndomba Ngoye, coordonnateur national de la Commission des Forêts d’Afrique Centrale (Comifac).
Il s’agissait aussi de voir comment améliorer la connaissance des différents processus de rapportage liés à la forêt-environnement aux niveaux international, régional et national, de consolider les réseaux nationaux autour de processus Fra 2015 pour améliorer la diffusion des rapports au niveau national.
Notons que la rencontre qui s’est achevée sur plusieurs recommandations a permis d’identifier les possibilités de collaboration entre les différents points focaux, y compris les responsables de télédétection au niveau national.
