spot_imgspot_img

Quête d’un booster pour les assurances et réassurances au Gabon

assurancesLe séminaire de formation sur «l’Audit de portefeuille d’une compagnie d’assurance Non Vie», initié depuis le lundi 23 septembre 2013 par de la Société gabonaise de réassurance (SCG-Ré), en partenariat avec la Société nigériane de Réassurance, Continentale Ré, a permis à la cinquantaine de participants de renforcer leurs capacités techniques, mais aussi d’échanger sur le développement des activités d’assurance et de la réassurance, notamment au Gabon.

L’organisation de ces assises par ces deux entités visait dans un premier temps à mettre en exergue la nécessité de synergie entre les entreprises du sud, mais surtout pour accélérer et développer ce secteur en plein croissance. Ce qui induit qu’elles s’inscrivaient dans le cadre de l’assistance que les deux compagnies de réassurance africaines accordent aux cédantes du marché de la Conférence Interafricaine des marchés d’assurances (Cima). Le Secrétaire général du ministère de l’Economie, de l’emploi et du développement Durable, Hamidou Okaba, présidant les travaux, a indiqué à cet effet que «La sécurité économique est garantie à travers la dynamique du secteur des assurances et de la réassurance».

Au final, l’objectif est de permettre aux responsables techniques des sociétés d’assurance Non Vie, aux organes de contrôles et aux institutionnels d’aborder, de manière objective, l’audit technique d’un portefeuille d’une compagnie d’assurance Non Vie. Pour la directrice régionale de Continental-Ré Cameroun, Endeley Lety, le séminaire donne l’opportunité aux acteurs des assurances et de la réassurance, de travailler en synergie afin de réunir les capacités techniques et financières visant à booster ce secteur en Afrique.

A noter que cette activité s’inscrit dans les objectifs de la Cima qui a pour rôle de prendre toutes mesures nécessaires pour le renforcement et la consolidation d’une coopération étroite dans le domaine de l’assurance, afin que les marchés des pays membres soient à même de couvrir, par des garanties mieux adaptés aux réalités africaines et tenant compte de leurs possibilités contributives, les risques du secteur agricole et rural ainsi que ceux liées au commerce extérieur dans la mesure où cela est techniquement faisable. Il s’agit aussi d’encourager la coopération, en vue d’accroître la rétention au plan national et régional, la mise en place de facilités permettant aux organismes d’assurances et/ou de réassurance opérant dans ces pays, d’effectuer des échanges d’affaires par des techniques adéquates, notamment par la souscription et la gestion des grands risques dépassant la capacité de conservation d’un marché.

Exprimez-vous!

LAISSER UN COMMENTAIRE

S'il vous plaît entrez votre commentaire!
S'il vous plaît entrez votre nom ici

spot_imgspot_img

Articles apparentés

spot_imgspot_img

Suivez-nous!

1,877FansJ'aime
133SuiveursSuivre
558AbonnésS'abonner

RÉCENTS ARTICLES