spot_imgspot_img

Ali Bongo Ondimba récompensé pour son action en faveur de l’environnement

Ali-Bongo-300Ali Bongo Ondimba, le président de la République est le lauréat 2014 en compagnie d’autres personnalités de la planète, du Grand prix Green Ribbon Political, une distinction décernée par l’organisme caritatif Chartered institution of water and environmental management (Ciwem) pour son combat pour la préservation de la nature.

En signe de reconnaissance pour son implication accrue dans le domaine de la protection de l’environnement et la préservation des espèces menacées, le chef de l’Etat, Ali Bongo Ondimba s’est vu décerner, mardi 18 novembre, le Grand prix Green Ribbon Political de la Chartered Institution of water and environmental management (Ciwem).

Dès son accession à la magistrature suprême en 2009, le président de la République a lancé une politique volontaire de préservation des écosystèmes naturels au Gabon consigné dans le volet « Gabon vert » du Plan Stratégique Gabon Emergent (PSGE) qui comprend notamment une lutte acharnée contre le braconnage.

En 2012, pour matérialiser en acte ses ambitions, il avait alors ordonné la destruction de 5 tonnes d’ivoire, une première en Afrique centrale. La même année, pour élargir son combat en dehors du Gabon, Ali Bongo Ondimba avait interpellé la communauté internationale sur la question de la défense des espèces menacées.

« Les éléphants du Gabon sont en état de siège en raison d’un marché illégal international qui a entraîné la hausse du prix de l’ivoire dans la région jusqu’à 750% en seulement 12 mois. J’appelle la communauté internationale à nous rejoindre dans cette lutte. Si nous ne renversons pas cette tendance rapidement, les éléphants d’Afrique seront exterminés, etc. Au Gabon, nous avons une tolérance zéro pour le crime lié à la faune sauvage » avait-il alors déclaré.

En mai 2013 à Marrakech dans le cadre du Wildlife trafficking event, une rencontre conjointement organisée par le Gabon et la Banque de Développement Afrique (BAD) pour la prévention contre l’insécurité faunique, Ali Bongo Ondimba, posant les jalons d’une politique généralisée contre les crimes liés à l’environnement avait à cet effet affirmé « les pays qui ont perdu le contrôle de leurs ressources naturelles finissent presque inévitablement à rentrer dans cette spirale infernale (de crimes sauvage). Aujourd’hui, le crime sur la faune sauvage est devenu une grave menace pour la souveraineté et la stabilité de certains de nos pays. Ce qui s’est passé récemment en République centrafricaine en témoigne ».

Cet appel a également retenti lors du sommet de l’Elysée en décembre 2013 axé sur les conflits et l’insécurité en Afrique. Ce fut le cas également en février 2014 lors de la Conférence de Londres sur le commerce illicite des espèces sauvages et durant le Sommet Etat-Unis-Afrique qui s’est déroulé à Washington en août 2014 avec la mise en place d’une nouvelle loi de tolérance zéro contre le braconnage.

Ces mêmes ambitions furent également réitérées lors du Clinton Global Initiative organisé en septembre 2014 aux Etats-Unis. Ali Bongo Ondimba, le défenseur de l’environnement avait invité à cette occasion, l’Organisation des Nations Unies à nommer « un envoyé spécial pour les crimes de la faune et de la flore, qui sera chargé de superviser la réponse mondiale à ce problème urgent ».

Lors du Congrès mondial des parcs organisé du 12 au 19 novembre 2014 à Sydney en Australie, le chef de l’Etat gabonais, par ailleurs co-parrain de l’évènement a annoncé à cette occasion la création d’un réseau de parcs marins et une augmentation de 22% des eaux territoriales gabonaises protégées.

Consciente de toutes ces actions, la Chartered institution of water and environnemental management (Ciwem) a décerné le prix Green Ribbon Political Awards 2014 au président de la République, Ali Bongo Ondimba dans la catégorie « meilleure action environnementale ».

« Le président de la République Ali Bongo Ondimba du Gabon est un exemple rare de chef d’Etat qui a accordé à la conservation la priorité requise dans la gouvernance de son pays. Il a réévalué sa stratégie de développement pour mettre l’accent sur la durabilité et une croissance faible en carbone, etc. La qualité de son leadership sur les questions environnementales est de première nécessité dans les pays développée comme dans les pays en développement » a déclaré un représentant de l’organisme caritatif.

Exprimez-vous!

LAISSER UN COMMENTAIRE

S'il vous plaît entrez votre commentaire!
S'il vous plaît entrez votre nom ici

spot_imgspot_img

Articles apparentés

spot_imgspot_img

Suivez-nous!

1,877FansJ'aime
133SuiveursSuivre
558AbonnésS'abonner

RÉCENTS ARTICLES