L’ORGANISATION prochaine, à Libreville, de la « loi » américaine sur la croissance et les opportunités, autrement dit l’Africa growth and opportunity act (Agoa), est favorablement accueillie dans les milieux d’affaires gabonais. Notamment chez les acteurs non étatiques, promoteurs de petites et moyennes entreprises ou industries, qui y voient une belle opportunité pour nouer des partenariats en vue de dynamiser leurs activités.

Cette perspective a d’ailleurs été longuement évoquée la semaine dernière, au cours d’une réunion à la chambre de commerce, présidée par Rachel Ebaneth, première secrétaire générale adjointe du ministère du Commerce, des PME, de l’Artisanat et du Développement des services. Cette rencontre lui a permis, ainsi qu’au chargé de la société civile à l’Agoa, Anthony Caroll, d’édifier leurs interlocuteurs sur les objectifs fondamentaux de cette initiative.

Les acteurs non étatiques présents à la réunion de la chambre de commerce sont unanimes quant aux opportunités qu’ils doivent saisir lors de ce forum qui en sera à sa 14e édition.