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Solidarité : Ecobank en soutien au Centre d’accueil d’Angondjé

Cette année, les enfants du Centre d’accueil d’Angondjé ont été les bénéficiaires de la journée de service et d’action sociale des employés de cette banque.

Le 24 octobre dernier, Ecobank a organisé sa journée d’action sociale. Pour cette 3e édition, c’est le Centre d’accueil pour enfants en difficultés sociales d’Angondjé qui a reçu cette caravane emmenée par la directrice générale de cette banque. «Il y a trois ans, le groupe Ecobank, réuni autour de son personnel, a pris l’engagement de consacrer une journée de partage, d’amour et de générosité au profit des communautés dans lesquelles il opère», a dit Gaëlle Bitéghé. «Nous sommes dans ce centre pour honorer l’enfant du Gabon», a-t-elle ajouté, soulignant : «Chaque enfant africain mérite un avenir meilleur».

Photo de famille après la remise des dons par la directrice d’Ecobank. © Gabonreview
Photo de famille après la remise des dons par la directrice d’Ecobank. © Gabonreview
Simultanément, cette journée se faisait à Port-Gentil, à Oyem et Franceville. L’opération a également eu lieu dans les 35 autres pays où Ecobank est présent. Ce sont, au total, plus de 1 900 employés «mobilisés pour répandre cette générosité, leur amour auprès des enfants défavorisés ou en situation instable». Ecobank a donc offert des matelas, des lits, des produits alimentaires, des vêtements et autres jouets. On a noté des séances de maquillage, de tir à la corde, des parties de football, de basket-ball, de danse, de course.

Avant que la directrice générale d’Ecobank ne remette officiellement les présents, la directrice du Centre d’accueil pour enfants en difficultés sociales d’Angondjé a présenté cette structure qui encadre une bonne centaine des enfants dont l’âge varie entre 0 et 20 ans. La plupart d’entre eux y arrivent sur décision de justice. Marie-Blanche Mette a expliqué que les motifs qui les y conduisent sont nombreux : si certains ont des parents incarcérés, d’autres sont victimes de traite ou de violence physiques et morales et il y en a dont les parents se disputent la garde. La durée de passage dans ce centre de «transit» ne doit pas dépasser les six mois.

La directrice des Affaires sociales s’est félicitée de l’action de ce centre qui participe de «la mise en œuvre de la politique de solidarité nationale».

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