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Gabon : L’UPNR frappe à la porte de la majorité présidentielle

Le président de l’Union pour la nouvelle République (UPNR), maître Louis Gaston Mayila, a été reçu par le chef de l’Etat le 17 novembre à Libreville, suite à la légalisation officielle de son parti par le ministère de l’Intérieur. Le président de l’UPNR a manifesté son intention de rallier la majorité présidentielle, au sein de laquelle il compte apporter une analyse complémentaire en se gardant des positions partisanes fertiles pour le développement du pays.

Après un laborieux processus de légalisation de son parti, qui l’aura privé des élections locales d’avril dernier, l’Union pour la nouvelle République (UPNR) souhaite intégrer la majorité présidentielle afin d’en enrichir ses positions.

Le président du parti, maître Louis Gaston Mayila, a été reçu par le chef de l’Etat le 17 novembre dernier au Palais présidentiel de Libreville, pour aborder la signature par son parti de la charte de la majorité présidentielle.

«Le président vient de consacrer le parti, il vient de consacrer son entrée dans la majorité présidentielle», a expliqué le président de l’UPNR.

«J’ai toujours dis que nous étions dans la majorité présidentielle, car la majorité présidentielle n’est pas un syndicat de partis qui ont signé un programme politique entre eux, mais c’est la relation de tous les chefs de partis qui ont des relations avec le président de la République», comme le stipule la charte de la majorité présidentielle, à précisé maître Mayila.

«Créer un parti, c’est regrouper les forces qui regardent dans la même direction et qui, auprès de cette majorité présidentielle, énoncent certaines orientations, énoncent certaines idées», a poursuivi le chef de file de l’UPNR.

Lors de cet entretien avec le chef de l’Etat, le président du parti a fait un «tour d’horizon des grandes lignes que le parti entend défendre à ses cotés, (…) et des questions politiques de l’heure», a rapporté Louis Gaston Mayila.

«Ce que je peux apporter au président de la République c’est une analyse, se sont des orientations, ce sont des suggestions, c’est cette façon de voir et de dire ce qui ne va pas», a estimé le président de l’UPNR.

«Ce que je peux apporter au pays, c’est ce complément indispensable dans l’analyse des situations. (…) Ce que j’ai toujours apporté avec ma formation politique», a poursuivi monsieur Mayila.

Le leader du parti a déploré que certains acteurs politiques fassent «semblant d’être avec le père [Bongo Ondimba], et pensent autre chose», avant de conclure en affirmant vouloir rejoindre la constellation présidentielle «en disant ce que je pense, en disant ce que le pays attend moi, en faisant une analyse exacte».

Le président de l’UPNR a planifié avec le chef de l’Etat la signature prochaine de la charte qui régit les partis de la majorité présidentielle, qui devrait se faire prochainement avec le secrétaire général du Parti démocratique gabonais (PDG), Faustin Boukoubi.

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  1. maitre mayila parle si bien,mais les gabonais n’ont que foutre de gros parleurs qui ont gérés sans apporter des réponses aux problemes des gabonais qui ne font que s’acroitres;avec la crise presente les gabonais attendent un signale fort du gouvernement comme en 2006 de la part du premier ministre jean éyegue ndong nous pensons que s’il a pu le faire une fois il peut encore le faire,avec cent mille francs de salaire on ne peut plus manger a sa fin quand on n’a une nombreuse famille.les syndicats sont partisants des interets personnels +les nominations.les gabonais se posent la question de savoir si le president de la république connait les conditions sociales des gabonais moyens qui vivent dans les matitis de libreville et dans les villages rétirés ou bien il se contante d’écouter les rapports de ses collaborateurs égoistes qui font le tour des villes en grosses cylindrées avec vitres fumées ..merci

  2. maitre mayila comme politciens de notre pays sont á virer car ce sont des hommes sans principes ni valeurs. á la place de leurs enfants j’aurais honte d’avoir de tels geniteurs. bon au gabon c’est tel père tel fils, la meme merde.

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