Ils exigent, en effet, que, comme cela se fait à l’Université des sciences et techniques de Masuku (USTM), la gestion de cet argent ne soit plus dévolue au rectorat, mais plutôt à une Commission paritaire enseignant-décanat afin d’éviter les retards et les manquements souvent observés dans le paiement de ces vacations. Ce mouvement est appuyé par les chercheurs du Centre National de recherche en sciences et technologies (CENAREST).
A noter aussi, au sein de cette académie de l’arrêt de travail depuis près d’un mois, des agents des œuvres universitaires qui réclament des arriérés des salaires et des primes de prestations techniques.