Le Gabon dirigé par des Congolais ? Maman Dabany et bébé Ali avouent : « Nous les Bongo Ondimba, nous ne sommes pas Biafrais, nous sommes Congolais »

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Ces Kongolais qui dirigent... et pillent... le Gabon?

Drôle de cinéma que celui qui se passe actuellement au Gabon. Les « Bongo Ondimba » seraient-ils tombés sur la tête? A moins que ce soit le ciel qui leur soit tombé sur la cabosse ? Fiston Bongo « l’Ali pas Mohamed » et l’ancienne « Mama Bongo » jadis répudiée avec des valises d’argent aux USA semblent s’être tellement acharnés à se sortir d’un trou déjà profond qu’ils se sont, sans s’en rendre compte, enfoncés dans un autre trou, celui-ci encore plus profond que le premier. En voulant tellement prouver aux Gabonais qu’Ali le fiston Bongo n’est pas, comme la rumeur le maintient depuis qu’Ali existe, un Biafrais adopté par les Bongo, « Mama Dabany » et « Bébé Ali pas Baby Doc » ont avoué devant Gabonais ébahis qu’ils sont, en fait, Congolais. Que l’on cesse d’appeler Ali « Biafrais » a martelé avec fureur « Mama ». Il est Congolais !!! a-t-elle finalement avoué.

On se serait cru dans un de ces films américains où l’avocat malin, à force de cuisiner le témoin, le pousse tellement à bout que le témoin, hors de lui, finit par avouer larmes aux yeux: « Oui, c’est moi qui l’ai tuée, ma femme !! » A la chaîne 1 de la radio-télévison gabonaise (RTG1), Mama Dabany, cuisinée par la rumeur devenue insoutenable, a finalement lâché le morceau : « Nous y en a pas Biafrais ! Nous y en a Congolais !! Cessez de nous appeler Biafrais ! Nous y en a descendants dé la famille royale dé Mani Kongo !! Nous pas Gabonais, mais Gabon ya bon car nous pleins dé CFAs cadeau oh !»

Tout a commencé samedi 25 avril dernier lorsque Monsieur le Ministre de la Défense Nationale Ali Ben Bongo (ABB comme Albert Bernard Bongo ou Alain Bernard Bongo-Mon Dieu comme cette famille change de noms !!) décide, une bonne fois pour toutes, de mettre fin aux rumeurs qui accablent sa vie et le rendent misérable depuis que sa misérable enfance gabonaise fut gâchée par la « biafrité » que les mauvaises langues ont cultivée tout autour de lui. Furieux, le petit Alain Bernard devenu Ali Ben déclare samedi : « Certaines prétendent que je serais nigérian? (…) Tout ce que je sais, c’est que je suis né à Brazzaville en 1959. Ceux qui disent ce genre de choses ne connaissent pas l’histoire. La guerre du Biafra a commencé en 1967 et moi je suis né en 1959. Quand je suis né, le Nigeria n’était même pas indépendant avant de l’être l’année suivante. Donc, quand la guerre du Biafra commence, j’avais déjà 8 ans ».

Jusque-là, pas grand-chose à redire, notre « péti » ABB « Ben béni » par les dieux connaît bien l’histoire, et il le prouve aux yeux de tout le monde ébahi par tant de connaissance. Donc, Ali dit vrai : comment peut-on être Nigérian quand le Nigeria n’existe même pas encore et qu’on est né hors ?

Sauf que, pauvre Ali (quel chagrin !!), nous voilà au courant d’un fait qui n’est pas non plus très reluisant pour notre bonhomme. Apparemment, notre « Minisse » de la Défense n’y comprend rien. On ne sait pas vraiment, en fait, s’il a compris pourquoi la rumeur biafraise a fait tant de bruit au Gabon. On a l’impression que ce qui fait le plus mal à Ali, c’est le mot «Biafrais », qui semble lui sonner dans la tête comme une insulte. Dans sa tête, il semble plus acceptable d’être considéré « Congolais » que « Biafrais ». Cependant, ce que notre bonhomme « Ben béni » ne comprend pas, c’est que ce n’est pas, en fait, le fait d’être « Biafrais » ou « Congolais » qui soit le problème des Gabonais. Ce qui fait tiquer les Gabonais, c’est le simple fait d’avoir un « étranger » imposteur à sa tête (l’Omar) et un autre « étranger » imposteur (le Ben) pour contrôler l’armée d’un pays où il n’est pas né, pays dont il n’a pas non plus la nationalité puisque né, de son propre aveu, Congolo-Français, mais pas Gabonais du tout…

Ce que les Gabonais ne veulent pas, c’est de ces mensonges qui durent depuis 49 ans !

Comme si un seul aveu ne suffisait pas, voilà que Maman Dabany vient, ce mardi soir, en rajouter pour clarifier, clouant finalement au pilori toute la famille Bongo qui, de par sa bouche, avoue finalement aux Gabonais son imposture de 49 ans. Ecoutons « Mama Patience » (encore un faux nom !!) : « Mon fils, moi et mon mari qui était sous le drapeau [congolo-français ?] depuis trois ans, libéré [de quel asile ?] et ayant refusé de demeurer à Brazzaville [il a refusé son pays ?], la capitale congolaise, suite à la guerre civile, arrivons à Libreville le 29 octobre 1960 (…). Je suis Batéké [du Congo ?], Bongo est Batéké [de Brazza ?], nous ne sommes pas Nigérians [vraiment ?]».

Ok, on a compris. La seule chose que les Bongo ne sont pas, c’est Gabonais. Ils ont tout été et ils ont tout fait dans leur vie, y compris changer mille fois de nom et de pays, mais ce qu’ils ne reconnaissent pas, c’est leur « gabonité ». Voilà qui est clair (Ah les pauvres bongoïstes qui défendent Bongo becs et ongles en croyant qu’il est Gabonais ! Ils vont se manger les ongles et se couper le bec comme des oisillons avec cette douche froide !).

Alors, donc, revenons à nos moutons : force est de constater que dans leur défense, ni Ali ni Mama Dabany n’ont à aucun moment revendiqué leur citoyenneté gabonaise. Ils ont tout affirmé, sauf leur « gabonité ». C’est bien étrange, non ?

Ce n’est quand-même pas gentil de leur part. On nous enlève un « Biafrais » pour nous donner quoi à la place ? Un « Congolais » ? Mince, c’est pas juste ! Nous voilà mieux servis. Les Nigérians eux au moins, ils savent bricoler quelques vieilles télévisions et réparer les frigos. A quoi va nous servir Ali, maintenant que nous savons que s’il devenait président, il ne pourra rien bricoler comme un vrai Nigérian sait si bien le faire ? On pourrait au moins faire du bon business « clando » et acheter des iPhones trafiqués et bon marché venant des filières « clando » du Biafra. Non, c’est pas juste du tout, zut ! Que va bien pouvoir nous apporter un Congolais vu que les Congolais sont aussi paresseux que les Gabonais, et qu’ils ne connaissent que la sape et les fesses des femmes et le « soukouss » ? Mais bon, laissons ça de côté sinon Aurlus Mabélé que nous aimons bien va se fâcher.

Les Bongo devenus « Ondimbas » sont donc tout-Français, Batéké (du Congo), Congolais-mais jamais « Gabonais » ni « Batékés du Gabon ». Ils s’en défendent devant tout le monde. C’est ce qui sort de leur propre bouche, pas de la bouche trop bavarde du Kongossa. Qu’est-ce que les gens vont encore dire ?

Mais une question demeure : quelle est la belle jambe que cela fait aux Gabonais qu’Ali soit « Biafrais » ou « Congolais » ? Les Gabonais ont-ils une préférence pour l’un ou pour l’autre ? Rien n’est moins sûr.

Depuis toujours, il a toujours couru deux rumeurs indicibles au Gabon. La première rumeur a toujours été que Bongo n’était pas Gabonais, mais Congolais. Cette rumeur, Bongo l’a toujours démentie avec la plus grosse énergie, au point de mettre en prison les quelques Gabonais qui avaient osé le dire. La deuxième a toujours été qu’Ali Bongo n’était pas Gabonais, mais Biafrais. Celle-là aussi pouvait jeter quelqu’un au caveau.

Or, voilà que, pour démentir la rumeur de la « biafrité » du fils, la Mama Dabany monte au créneau et lâche la plus grosse des bombes : elle confirme sans rougir (bon, ok, elle est noire, d’accord) la rumeur de la « congolité » de toute la famille Bongo, famille qui apparaît tout d’un coup comme une famille habituée à l’imposture non seulement des pouvoirs et des noms (trop de noms changés dans cette famille), mais aussi des nationalités (qui sont-ils vraiment, nos chimpanzés ?).

Parlons un peu de leurs impostures, juste pour avoir les idées un peu plus claires :

Imposture No. 1 : Contrairement à ce que Bongo a souvent raconté, « Mama Dabany pas Patience » vient enfin d’avouer que les Bongo ne sont venus au Gabon que le 29 octobre 1960, soit trois mois et demie APRES l’indépendance du Gabon (Ils ne se sont même pas battus pour l’indépendance du Gabon (Mais comment donc, les voyous !)  On se posera donc toujours la question de savoir comment quelqu’un qui est né hors du Gabon (au Congo) en 1959 et qui arrive au Gabon APRES l’indépendance du Gabon peut être autre chose qu’un « étranger » ? Ali et sa famille ne semblent pas capables de comprendre que ce qui dérange les Gabonais n’est pas le fait que notre Ali défenseur national soit Nigérian, Biafrais, Turc ou Eskimo. Ce qui dérange les Gabonais, ce sont les mensonges, les impostures et les entourloupes qui ont toujours entouré les origines de la famille Bongo. Or, de l’aveu de la mère et du fils eux-mêmes, nous venons d’avoir la confirmation que Monsieur Ali Bongo Ondimba est tout sauf Gabonais. Il ne pourra plus nier ses propres paroles ni celles de sa « Mama ». Ah, « lé pauvre péti ».

Mais voilà où Ali a fait la plus grosse erreur de sa « biafrité », pardon, de sa « congolité » : Il n’y a pas de différence aux yeux des Gabonais qu’il soit « Biafrais » ou « Congolais ». Ce qui est important c’est que les Gabonais aient eu la confirmation, et sachent désormais sans l’ombre d’un doute, qu’Ali Bongo est un étranger et que la famille Bongo a toujours été une famille étrangère qui a toujours fait usage de faux et d’imposture pour s’immiscer dans la vie politique gabonaise et prendre le Gabon en otage. C’est donc là terrible imposture et elle est inacceptable pour les Gabonais, surtout si « Bébé Ben » décide de s’imposer aux Gabonais après son père. Nul n’acceptera une telle imposture de plus au Gabon.

Imposture No. 2 : La deuxième imposture des Bongo devenus « Omars » est le fait de se retrouver à la tête du Gabon après avoir été finir le pauvre vieux Léon Mba en France avec l’aide des Français. C’est parce que les Français savaient Bongo étranger qu’ils l’ont installé au pouvoir au Gabon. Ils savaient qu’un étranger comme Bongo ne pourrait jamais aimer son pays comme un vrai Gabonais. La preuve en est aujourd’hui faite : pendant 42 ans, Bongo a pillé le Gabon comme les Français ont pillé le Gabon. Le Gabon n’étant pas son pays, il ne pouvait que le considérer comme un « pilloir » et le détrousser sans merci comme un pirate pillageur le ferait. Bongo pratique au Gabon une politique de la terre brûlée. Il décime et brûle tout sur son passage et ne laissera que cendres et pleurs pour les pauvres Gabonais.

Gabonais par imposture, donc Président et leaders du Gabon par imposture, sans oublier les élections truquées par l’imposture politique, voilà, mesdames et messieurs, la vérité sur les Bongos: Le Gabon est dirigé non pas par des « Biafrais », mais par des Congolais.

Quand la Mama Bongo répudiée par Papa Bongo depuis des années vient mentionner les Batékés à la télé, elle veut nous jouer le même vieux jeu ethnique par lequel son ancien mari a toujours voulu diviser les Gabonais. Ils veulent faire croire aux Batékés du Gabon que les autres Gabonais leur en veulent. La vérité, aujourd’hui, est pourtant limpide. Ce sont les Bongo qui, étant nés Batékés congolais, se sont installés parmi les Batékés du Gabon par imposture. Dès lors, quand les Gabonais disaient à Bongo qu’il n’était pas Gabonais, mais Congolais, Bongo utilisait cela comme une arme ethnique pour faire croire aux Batékés du Gabon que les autres Gabonais les accusaient d’être Congolais. Or, cette stratégie de Bongo était indécente car le Gabon a d’autres ethnies comme les Fangs qui ont des attaches ethniques en Guinée Equatoriale et au Cameroun. Ce n’est pas pour autant qu’on va dire des Fangs du Gabon qu’ils sont Camerounais ou Equato-guinéens. On ne peut pas donc dire que les Batékés du Gabon soient Congolais car les frontières coloniales ont décidé que certains Batékés seraient du Gabon et d’autres du Congo, tout comme certains Fangs sont du Cameroun et d’autres du Gabon. Mais comme les Bongo sont machiavéliques, ils ont fait l’amalgame et ont confondu leur imposture avec le peuple Téké du Gabon et inventé des divisions ethniques là où il ne devrait pas y en avoir. Les Tékés du Gabon sont Gabonais et les Tékés du Congo sont Congolais. C’est aussi simple que cela.

Les Gabonais refusent donc de retomber dans ce piège ethnique que les Bongo aiment à nous tendre.  La « congolité » des Bongo n’engage point et n’a jamais engagé les Batékés du Gabon. Elle concerne les Bongo et uniquement les Bongo. C’est aussi simple que cela.

Mais attention! Nous au Gabon, nous n’avons rien contre nos frères congolais qui souffrent actuellement sous l’imposture politique des Sassou au Congo comme les Gabonais souffrent sous la double imposture des Bongo au Gabon. Mais reconnaissons quand-même que cela nous en bouche un coin que ce soit maintenant un enfant congolais, arrivé au Gabon APRES l’indépendance du Gabon, qui soit maintenant pressenti pour remplacer son propre papa congolais sur le trône du Gabon !!

Nous ne le disons pas par hasard. Si l’on donne le bénéfice du doute à Ali et accepte son explication, force est de constater que cela ne change pas du tout son problème car tout ce que sa maman et lui-même ont réussi à faire, c’est échanger une nationalité étrangère pour une autre. Ce qui revient exactement au même : Ali est étranger, par conséquent, il ne peut briguer la présidence du Gabon. Regardez vous-même :

Le Congo Brazza est devenu indépendant le 15 août 1960, soit deux jours AVANT le Gabon. Donc, en arrivant au Gabon le 29 octobre 1960, soit trois mois et demi après l’indépendance du Congo, Ali Bongo était bel et bien un Congolais avéré car né au Congo AVANT l’INDEPENDANCE du Congo, donc automatiquement Congolais quand le Congo devient indépendant le 15 août 1960. Autrement dit, quand Ali Bongo arrive au Gabon avec sa mère et son père Albert Bernard Bongo trois mois plus tard APRES l’indépendance du Gabon, ils sont tous Congolais depuis trois mois et demi.

Or, il n’existe nulle part au Gabon un seul papier montrant quand Ali Bongo et Omar Bongo se sont naturalisés Gabonais. Ali Bongo n’étant pas né au Gabon, il ne peut, au vu de la Constitution actuelle, devenir Président du Gabon. Son père lui-même aussi, n’étant pas né au Gabon et n’étant arrivé au Gabon qu’après l’indépendance du Gabon, ne peut pas non plus prétendre au trône du Gabon. Aucun des deux ne disposant d’aucun papier de naturalisation, et aucun des deux n’étant Gabonais de première ni de deuxième génération, leur présidence est illégale. Seuls les enfants et petits enfants de Bongo nés au Gabon peuvent prétendre au trône gabonais, pas Ali Bongo, et encore moins Omar Bongo.

Et comme Bongo lui-même a toujours été « rumoré » comme Congolais, on ne peut que saluer l’honnêteté de Mama Dabany qui, en voulant défendre le fils, a finalement avoué la vérité aux Gabonais. Pire, en disant : « Mon fils, moi et mon mari qui était sous le drapeau depuis trois ans, libéré et ayant refusé de demeurer à Brazzaville, la capitale congolaise, suite à la guerre civile, arrivons à Libreville le 29 octobre 1960 (…).je suis Batéké, Bongo est Batéké, nous ne sommes pas Nigérians », Mama Dabany avoue très clairement un autre fait important : Les Bongo n’ont quitté le Congo que parce qu’ils voulaient fuir la guerre civile congolaise. Autrement dit, si le Congo n’avait pas connu la guerre civile, les Bongo seraient restés au Congo Brazza comme Congolais et personne n’aurait jamais entendu parler d’eux au Gabon. Et puis, ne disait-on pas à l’époque que Patience était stérile et qu’elle ne pouvait pas faire d’enfants? Un autre miracle?

Merci donc les Français pour avoir tué notre président bien gabonais Léon Mba pour nous imposer des imposteurs qui n’ont même pas voulu reconnaître le nom de leur papa et grand papa « Ondimba » pendant toute leur vie, et qui ont tous tellement changé de nom qu’on a fini par s’y perdre. Albert Bernard Bongo est devenu Omar Bongo, puis Omar Bongo Ondimba (Une bien tardive reconnaissance du nom de son père !). Alain Bernard Bongo est devenu Ali Ben Bongo puis Ali Ben Bongo Ondimba (trois fois changé de nom !). Mama Dabany est d’abord née Joséphine Nkama Dabany, puis est devenue Joséphine Bongo, avant d’être répudiée par le Bongo et de se fabriquer la nouvelle identité « Patience Dabany ». Elle encore, on peut la comprendre : étant femme, elle était obligée de prendre le nom de son imposteur de mari, et étant chanteuse, il fallait bien faire « cool ». Mais Ali et papa Bongo, pourquoi ces changements de noms comme on change de chaussettes ?

La vérité est donc enfin là : elle est douce comme bonnet blanc et blanc bonnet. Nous avons, au Gabon, des imposteurs qui se font passer pour des Gabonais depuis le 29 octobre 1960 (49 ans d’impostures !!).

Alors, Bongo et Edith-Lucie, c’était finalement quoi ? Une simple affaire de retour aux sources de papa Bongo ?

Mais pour les Gabonais, une seule question demeure. Ali… Biafro ou Kongolo?

Source: BDP-Gabon Nouveau

Exprimez-vous!

  1. Demande de confirmation

    Sur ce même site j’ai lu une étrange info récente (avril 2009) – (vraie ou fausse?) :

    « La présidente de la Cour constitutionnelle, Marie Madeleine Mborantsuo, a été reçu mardi (28 avril 2009) en audience par le président gabonais, Omar Bongo Ondimba. Officiellement, il s’agissait de faire le point sur les activités de cette haute juridiction. Mais, dans les milieux bien introduits, il se raconte que cette entrevue a essentiellement porté sur le « cas Ali Bongo Ondimba », et la possibilté d’une élection présidentielle anticipée, où Omar Bongo Ondimba, se présenterait lui même, avec un Vice président de la République qui serait son dauphin constitutionnel. D’où une refonte urgente des textes fondamentaux de la constitution gabonaise. »

  2. Bonjour stratégie,
    Merci pour ta contribution. Je continue avec le livre de Jean-François Cope, et je découvre pas mal de choses que je ne connaissais pas. J’ai toujours été persuadée que ce Monsieur sera président un jour. je l’ai beaucoup suivi, surtout pendant les années qui ont précédé l’élection de Sarkozy.
    Je n’ai jamais lu le livre de Myboto, j’en ai entendu parler. J’ai une personne qui va arriver très prochainement du gabon à qui j’ai demandé une constitution de notre pays et je vais mentionner ce livre, merci.

    Je dois rencontrer du monde ce matin, le 6 juin j’organise dans ma ville un après-midi pour les personnes âgées, avec un peu de distraction. J’ai invité un groupe folklorique portugais cette fois-ci, le mois dernier mes amis et moi avions invité un groupe de jazz, suivi d’une exposition de grands musiciens de jazz et j’ai peint un tableau de louis amstrong dont je suis très fière.
    Cette fois, il y aura des contes africains, peut-être gabonais si j’arrive à mettre la main sur un conteur qui lui ressemble. Il y aura une tombola et des échanges. Je compte donc inviter à cet effet, un groupe de jeunes des lycées, interessés par la médecine, car l’échange sera animée par des vieux medecins retraités et des jeunes vieux encore en activité.
    Cette association que j’ai créé a notamment pour objectifs la mise en valeur des acquis de la personne âgée, le maintien de liens entre les générations et la solidarité internationale etc.

    J’ai entrepris des démarches pour obtenir une parcelle au gabon où je pense monter dans un premier temps un foyer qui va servir de lieu de rencontre et d’échange pour nos vieux, j’ai aussi beaucoup de livres et accessoirs de confort, avec le but si Dieu veut de mettre en place une possibilité d’ hébergement pour les vieux avec tout un tas d’accessoirs. Le projet est récent, je t’n parlerai plus amplement en privé.

    L’on s’est beaucoup occupé des mères et enfants etc., Il est temps que l’on s’occupe de ceux qui se sont occupés de nous afin de permettre à nos enfants de s’occuper de nous.
    Dans ma ville, c’est un projet qui rencontre beaucoup d’engouement, étant donnée la situation des vieux que tu connais.

    J’avais pris contact avec le ministére de l’intérieur il y a quelques années pour la proposition d’un projet sur le thème de « sécurité publique et bien-etre social des gabonais », Au début, il semblait inéressé, ils m’ont envoyé un conseiller du ministre avec qui nous avons travaillé et que j’ai finalement hébergé chez moi avec de gros frais à ma charge, puisqu’arrivé ici, celui-ci avait des besoins et il était question que par la suite, je sois remboursée, bref.
    Nous avons fait un travail remarquable et même organisé une rencontre entre le ministre de l’intérieur de l’époque et Sarkozy qui a foiré parce qu’il y avait un problème d’horaire Bref.
    J’avais fait un article pertinament sur l’utilisation de l’aide publique qu n’a pas plu; nous avons aussi parlé « audit » etc.
    Une fois le pauvre conseiller reparti au gabon, les dossiers ont été tout de suite rangés dans les tiroirs et la paternité du projet a commencé à poser des problèmes au sein même de l’équipe ministérielle et quelques temps après, le ministère a changé de ministre.

    Il fallait créer d’autres liens, cela n’a pas été possible et le projet n ‘a plus été suivi. Le conseiller qui avait fait le voyage a été déçu et les personnalités françaises que j’avais impliqué dans le projet ne comprenaient pas, bref. Alors je te souhaite bonne chance pour ton projet.
    Ce n’est pas le premier projet que j’ai tenté de mettre en place au gabon, il y a eu le projet d’une case de developpement pour lequel j’avais obtenu une proposition de financement, arrivée sur place, l’on me posait le problème du baobab. Je me suis rapprochée d’un élu, étant donné que le projet devait avoir lieu dans sa zone. Nous avons fait le tour ensemble, et il m’a adressée un dévis pour l’installation des panneaux solaires seulement, y ‘en avait pour 48 millions cfa, cela dépassait largement le montant du financement qui m’avait été proposée, c’était hallucinant!
    Je ne sais pas, mais j’ai retenu de tout cela qu’au gabon, tu ne peux rien faire de toi-même, à défaut de faire parti du pouvoir. Si tu as un projet, il faut absolument le passer à quelqu’un qui va le réaliser à son compte. En plus le député en question a commencé par me soupçonner de vouloir me présenter aux élections.

    Je me réalise mieux dans les associations en france et j’ai beaucoup de mal à mettre quelque chose en place au gabon.

    J’éspère que ma proposition sera bien acceptée et que j’aurai de la terre pour commencer quelque chose dans ce sens, à l’entrée de 2010. Si tu as une contribution pour moi dans ce projet, il sera important que tu y réfléchisses et que tu me dises comment je peux pour le faire aboutir.
    Si cette fois-ci, ils me le refusent, je serai résolue à m’occuper des vieux de france, bonne journée à toi.

  3. Robert,
    C’est une injure!!! Requin ne peut pas être un pédegiste. Tu n’as rien compris à mes propos ou alors tu es vraiment bien contaminé par ces rénos???
    Demande au BDP de vérifier si je suis des leurs. Je suis Requin et je n’ai pas besoin de me déguiser pour m’exprimer. Ne sème pas la confusion pour rien.
    Nous avons beaucoup à dire comme ce faux deuil que Bongo veux faire avaler aux Gabonais pour cacher son état de santé afin de nous rejouer le tour d’Edith et permettre à son rejeton de bien préparer son putsch.

  4. Bof. Ne faites pas attention à ces personnes qui disent des conneries sur le Dr. Mengara. C’est la meme personne qui écrit à partir de cet IP: 217.77.78.2

    Cette persnne avec l’IP 217.77.78.2 écrit sous les pesudonymes suivants:

    – SE
    – Corneille Ollomo
    – Pierre
    – Koumbanogye
    – Jeannot
    – De_LE

    Et j’en passe.
    C’est Siméon Ekoga qui s’amuse comme un gamin. Il est actuellement au Gabon pour manger le CFA.

  5. Ce sont nos ainés intellectuelles qui sont revenu de chez les blancs avec des gros diplomes qui ont tué le pays.Ils ont appliqué tellement de théories économiques,sociologiques,philosophiques et financière que le pays n’a pu en supporter le choc.Aujourd’hui, nos ainés ne sont plus des exemples;alors,la jeunesse se pervertis dans la regab et le sexe.Le Gabon est en train de mourir en ce sens que nous avons perdu l’Amour du pays.Nous ne nous aimons pas et nous n’aimons pas notre pays.Aucune nation ne peut voir grand si elle n’est pas patriotique.Lorsque je croise des compatriotes en ville(à l’étranger) on se regarde du coin de l’oeil;on ne se dit pas bonjours:c’est le manque d’amour!

  6. Apres une recherche approfondit par moi meme, il ressort ce qui suit:
    Le S.E, jannot, requin, c’est le meme personne!
    t’a été decouivert mon cher vas te cacher!
    il s’agit d’une seule et meme personne! donc si vous voyez ses coms ici, chercher juste a lire dans quel commentaire il est le plus sensé!
    hihihi! haahhhhaa!

  7. Corneille ollomotondo koi la!
    On s’en fou de tes problemes avec mengara! on ne veux pas savoir ce qui s’est passé entre vous! ya trop d’imposteur ici alors qui nous dit que tu est le messi?
    donc de grace arrete nous ça..tu peux monter une histoire de toute piece comme tu le veux mais pas a nous!

  8. domage mon cher ami pierre!
    La tu as raté ta cible! je suis dans la profonde douleur de te dire que si tu penses que c’est le doteur mengara qui ecrit avec le pseudo « robert » la tu as raté ta cible! c’est bien moi robert éudiant au sénegal! c’est belle et bien moi qui m’exprime de la sorte! tu veut des preuves? vas sur LBV groove le site gabonais, rend toi sur l’emission consacrée a Massassi du groupe hay’oe et tu cherches il ya une réaction de moi labas je dirait pas avec kel pseudo..on vous connait! tu vera que les expresions sont les memes je m’exprime ainsi et c’est domage que tu puisse me faire passer pour le docteur mengara!
    voila une preuve concrete! au lieu de raconter n’importe quoi..verifie tes propos avant d’affirmer des bétises! si tu veux discreter mengara, trouve des choses plus persuasives!
    tu as raté ta cible! imbécile!

  9. la france n a rien fait de mal au gabon
    ils ont tout donné :permis de travail,bourse d etude,assistance militaire,tout mais le gabonais pareusseux et ivrogne n a pas su en profiter.au gabon comme en afrique il faut tjrs un bouc emissaire

  10. Madame Magnogni,

    Je vous encourage à lire le nouveau livre de monsieur Copé. C’est quelqu’un de très ambitieux et de très pragmatique. Mais si voulez vous vraiment connaitre l’homme qu’il est, il faut lire un de ses anciens livres: « J’arrete la langue de bois ». Ce qui est intéressant dans ce livre c’est qu’il montre que les grandes écoles et notamment l’ENA n’apprennent pas à faire de la politique contrairement à ce que l’on pense. Jean François Copé est l’un des hommes politiques français que j’admire. J’espere qu’il réalisera son reve: être candidat à l’Elysée et surtout se faire élir par les Français et les Françaises.

    Par ailleurs, je vous recommande de lire également le livre de l’ancien ministre monsieur Myboto: »j’assume ». Ce livre montre comment on peut faire de la politique sans meme être Docteur! Il explique comment il est parvenu à etre l’un des hommes politiques clés du Gabon. En revanche, la partie consacrée à l’actuel ministre de l’Intérieur de notre pays est trop subjective.

    Je terminerai mon intervention en reprenant partiellement une phrase que le président Chirac disait à son dernier premier ministre, monsieur Dominique De Villepin: Arretez de faire la politique dans les livres. Autrement dit, la politique est intimement liée à l’action ET donc aux résultats. Un moment, il faut se lancer dans l’action quotidienne afin d’apporter des réponses aux préoccupations des populations.

    NB: je cherche le livre de notre ancien ministre des Affaires étrangères et actuel président de la commission africaine, monsieur Jean Ping. Merci de me dire si vous avez lu son livre?

    Bonne soirée

  11. A Monsieur Corneille Olomo,
    Je ne pense pas que vos problèmes avec Monsieur Mengara intéressent des gens comme moi par exemple. Je viens sur le net pour échanger avec les autres et savoir comment apporter moi aussi ma pierre à la construction de l’ediffice national. je crois que beaucoup ici sur ce site pensent la même chose. Je suis désolée et irritée par ce genre de comportement. L’on se croirait au PDG. A ce que je sache personne ne vous demande des comptes sur vos problèmes internes, si vous n’avez rien à vous reprocher,pourquoi vous vous fatiguez à vous justifier publiquement? Et pourquoi ne pas laver votre linge sale en famille? Je m’excuse, mais est ce de cette façon que vous comptez diriger le pays et faire mieux que ceux que vous critiquez et qui passent leur temps à faire comme vous, c-à-d à se chamailler et à se dévoiler aux yeux des citoyens? Ajourd’hui, vous n’avez rien d’autre, que ce site à ce que je sache, mais lorsque vous aurez et le pouvoir et le pays entre les mains, comment comptez-vous, vous comporter? Le silence est d’or surtout pour un homme politique.
    Cela ne fait pas longtemps que je viens sur ce site pour échanger, mais je peux déjà vous donner une impression du climat qui règne ici. Je suis quelque peu troublée, j’aime bien rester dans mon nuage, je suis venue ici pour sortir des sentiers battus, si je dois avoir à souper les problèmes de vos désaccord tout le temps, c’est pas la peine!
    Il faut vous discipliner et mettez-vous d’accord, un point c’est tout!

  12. A stratégie
    bonjour, c’est vrai que tu vas faire des propositions au ministére de la défense dans ce sens? c’est très bien! Maintenant que j’ai ton email, tu pourras me l’expliquer plus amplement. Je suis toujours sur le livre de Jean-François COPE, en fait je lis un peu le soir avant de dormir pour me détendre un peu, j’en arrive aux « 577 TRANCHES DE VIE », j’en apprends des choses, merci. je te ferai un petit-compte rendu de ce que j’ai retenu à la fin et je pourrai petit à petit passer au second livre
    J’aime beaucoup la lecture, je voyage beaucoup mais à travers les livres et je ne suis jamais seule. Le débat continue sur le net, chacun apporte ce qu’il peut et c’est important. Et c’est dans la diversité que nous pouvons contruire un monde qui nous ressemble tous. J’avoue que parfois, ce n’est pas facile, mais c’est le jeu démocratique. Il est cependant necessaire de rester poli.

    Je m’intéresse beaucoup à tes interventions, je me donne le temps de les relire, ainsi que celles d’Ikoum, j’ai appris beaucoup de choses concernant le gabon. Alors, certainement bonne soirée.

  13. Toujours les mêmes techniques, vous n’en finirez jamais, vous allez tuer un site où les gens peuvent venir échanger sur des choses serieuses et cela fait du bien! tout ceci pour des problèmes internes. Si vous vous reconnaissez, tous, vous pouvez aller discuter de ces affaire en privé! oh lalala

  14. Mengara attendait beaucoup de moi et inversement. Mengara attendait que je pose des actions ponctuelles pour faire connaître le BDP à Libreville. Il me demandait à cet effet de tenir des causeries, de faire des graffitis, de lancer des tracts dans la ville. En retour, je lui disais que l’environnement politique gabonais actuel n’a plus besoin de ce genre d’actions pour un mouvement politique émergent. Qu’il serait nettement bienvenu de faire le nécessaire pour légaliser le mouvement aussi vrai qu’il me demandait de trouver un local avec eau, électricité et téléphone.

    Pour un parti politique ou une association, me diriez-vous peut-être que c’est à mon nom propre qu’il fallait prendre lesdits engagements en lieu de la personne morale du BDP légalement constituée à cet effet.

    Me rapprochant de mon supérieur politique local en la personne de Hughes Bessacque ci devant ministre du gouvernement de salut national en exil, il me dissuada plutôt de mener la moindre action sur le terrain me faisant croire que les services secrets sont violents quand il s’agit de défendre le pouvoir qui lui-même est violent avec les Fangs, que je ferai mieux de penser à mon emploi et à ma famille, que lui étant du Haut Ogooué avec une batterie de parents haut placés, ne courait pas les mêmes risques que moi !

    Dans sa lancée, j’appris de mon supérieur politique qu’il était le conseiller de Paul Mba Abessole à la mairie centrale de Libreville au sortir de chez Assélé au 3è arrondissement. Ainsi, du CLR au RNB-RPG, j’avais à faire à un homme du pouvoir dans les rangs de l’opposition radicale ! Informant Mengara de cette situation, il me dit « de ne pas trop suivre ça » c’était par téléphone un dimanche après midi alors que j’étais invité à la Petite Poubelle un sous-quartier d’Ozoungue à Libreville.

    Face à toutes mes inquiétudes, Mengara me rassura qu’il me suffirait en cas de menace de me rendre à l’ambassade des USA ou de la Côte d’Ivoire où je serai en sécurité, qu’il réagirait au coup par coup s’il m’arrivait quoi que ce soit. Dans mon esprit, de par cette assurance, j’avais à faire à un Dieu descendu du ciel pour libérer le Gabon.

    Plus tard, Mengara au téléphone m’annonça qu’il devait rencontrer l’Autre (BONGO) qui était en visite aux Etats-Unis.

    En effet, Mengara devait effectivement rencontrer Bongo de passage aux USA, il en était très enthousiaste. Il me promit dans la foulée de parler de moi à Bongo afin que je ne sois pas inquiété sur place quant à ma mission. Grande fut malheureusement sa déception quand Bongo se rétracta au dernier moment parce que selon Mengara, Mba Abessole en aurait été informé alors que Bongo la voulait secrète cette rencontre.

    Dans un message intitulé  » Rencontre annulée » adressé aux cellules BDP, Mengara s’en est pris à tout le monde supposant qu’il y avait des taupes parmi nous. Il a juré de ne plus rien dire à tout le monde du fait de lui avoir fait rater une grosse occasion.

    je suis parti du BDP depuis janvier 2003 en claquant la porte et sans faire d’écumes.

    … Mengara n’a même pas eu le courage d’annoncer mon départ du BDP à l’ensemble des cellules.

    Dans les archives Internet du BDP vous ne trouverez aucune lettre d’exclusion de Corneille Ollomo alors que dans les annexes …., vous verrez bien notifié mon départ volontaire du BDP date et heure d’envoi faisant foi. Il y a des choses qu’on ne peut pas manipuler.

    Corneille OLLOMO
    BP 9204 Libreville
    Tél : + 241 05 30 01 12

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