Report sine die de la grève des agents de la RTG1

Le Syndicat de la Première Chaîne de radiotélévision gabonaise (SPC) a reporté sine die son assemblée générale qui devait se tenir lundi à Libreville pour décider de la conduite à suivre, afin de faire aboutir les revendications de ses adhérents qui portent notamment sur le paiement des primes de risques et vestimentaires.

Le 30 mai dernier, une précédente assemblée générale du syndicat avait également décidé de reporter un mouvement de grève qui devait se résumer au respect, par les professionnels des médias, de la journée continue de travail en vigueur au Gabon depuis un an.

Le secteur de la communication n’est pas astreint à la journée continue de travail décrétée par le président Ali Bongo Ondimba lors du premier conseil des ministres délocalisé qu il a présidé en mars 2010 à Port-Gentil, la capitale économique (sud-ouest).

Le gouvernement avait alors décidé que la journée de travail au Gabon débutera désormais à 7H30 (6H30 GMT) pour s achever à 15H30 (14H00 GMT). Auparavant, la journée de travail allait de 8H00 (7H00 GMT) à 12H00 (11H00 GMT) et de 15H00 (14H00 GMT) à 18H00 (17H00 GMT).

Lors de l’Assemblée générale du 30 mai, le bureau et les adhérents du SPC ont refusé l’entrée en vigueur immédiate de la journée continue dans le secteur de la communication.

Ils ont estimé que celle-ci pouvait commencer à s’appliquer à partir du lundi 6 juin, une fois terminée la tournée du président Ali Bongo Ondimba dans la province de l’Ogooué-Lolo (centre sud-est).

Le report avait pour but de permettre à la première chaîne de la RTG de couvrir la tournée du chef de l’Etat (23-25 juin) qui s’est achevée par la tenue à Koula-Moutou, le chef-lieu de province, d’un conseil des ministres délocalisé, le 5ème conseil du genre, présidé par le président Ali Bongo Ondimba à l’intérieur du pays.

« Nous sommes dit que puisque la première chaîne avait couvert tous les voyages du président dans d’autres provinces, nous allons aussi couvrir celui de l’Ogooué Lolo. Et ensuite organiser une autre assemblée générale le 6 juin pour le démarrage de la grève », a expliquer le président du SPC, Sylvestre Moudounga.

Le versement aux communicateurs gabonais des primes de risques et vestimentaires achoppe depuis plusieurs semaines au ministère du Budget, en dépit d’une intervention du ministre de la Communication

Le 30 mai dernier, une précédente assemblée générale du syndicat avait également décidé de reporter un mouvement de grève qui devait se résumer au respect, par les professionnels des médias, de la journée continue de travail en vigueur au Gabon depuis un an.

Le secteur de la communication n’est pas astreint à la journée continue de travail décrétée par le président Ali Bongo Ondimba lors du premier conseil des ministres délocalisé qu’il a présidé en mars 2010 à Port-Gentil, la capitale économique (sud-ouest).

Le conseil des ministres avait décidé que la journée de travail au Gabon débutera désormais à 7H30 (6H30 GMT) pour s’achever à 15H 30 (14H00 GMT). Auparavant, la journée de travail allait de 8H00 (7H00 GMT) à 12H00 (11H00 GMT) et de 15H00 (14H00 GMT) à 18H00 (17H00 GMT).

Lors de l’Assemblée générale du 30 mai, le bureau et les adhérents du SPC ont refusé l’entrée en vigueur immédiate de la journée continue dans le secteur de la communication.

Ils sont estimé que celle-ci pouvait commencer à s’applliquer à partir du lundi 6 juin, une fois terminée la tournée du président Ali Bongo Ondimba dans la province de l’Ogooué Lolo (centre sud-est).

Le report avait pour but de permettre à la première chaîne de la RTG de couvrir la tournée du chef de l’Etat qui a débuté le 23 juin et s’est achevée par la tenue à Koula-Moutou, le chef-lieu de province, d’un conseil des ministres délocalisé, le 5ème conseil du genre, présidé par le président Ali Bongo Ondimba à l’intérieur du pays.

‘’Nous sommes dit que puisque la première chaîne avait couvert tous les voyages du président dans d’autres provinces, nous allons aussi couvrir celui de l’Ogooué Lolo. Et ensuite organiser une autre assemblée générale le 6 juin pour le démarrage de la grève’’, a expliquer le président du SPC, Sylvestre Moudounga.

Le versement aux communicateurs gabonais des primes de risques et vestimentaires achoppe depuis plusieurs semaines au ministère du Budget, en dépit d’une intervention du ministre de la Communication.

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