« L’année 2011 est considérée comme bonne par les responsables de la Sogara. Tout simplement parce que la société n’avait jamais dépassé le cap de 900 000 tonnes d’hydrocarbures », a souligné Reteno N’diaye.
Il a ajouté que « le coût d’accès au brut en 2011 a augmenté par rapport à 2010 ».
La Sogara a observé un arrêt réglementaire de sa production en hydrocarbures qui a pris fin le 18 mars et qui a permis de faire la révision complète de l’outil de production.