En ce qui concerne les remarques, les séminaristes ont relevé entre autres « l’incompatibilité du logiciel avec certains système d’exploitation, la forte technicité des termes employés dans le Draft du guide de montage de projets, gênant ainsi l’appropriation du processus par les participants ».
Cependant, ils ont reconnu que « la mise en place du Guide est un élément d’efficacité dans la programmation budgétaire, rompant avec les procédures classiques qui consistaient à inscrire les dotations en face d’idées de projets. Cet exercice permet aux sectoriels de s’approprier véritablement l’outil et de présenter en conséquence de véritables projets pouvant être présentés aux partenaires au développement.
S’agissant des recommandations, le rapporteur général a souligné « la nécessité d’approfondir le volet mise en œuvre et de même le volet institutionnel pour prendre davantage en compte les aspects juridiques ; approfondir la partie rentabilité pour faire ressortir, le retour sur l’investissement et intégrer les questions d’amortissement d’emprunt destinés aux financements de projets.
Aussi, les séminaristes insistent sur le fait qu’il est important d’amener l’ensemble des participants à maîtriser le logiciel, tout en intégrant les différentes remarques et recommandations pour une utilisation optimale et dans l’optique d’atteindre l’objectif assigné par le guide.
Pour sa part, le Directeur général Yves Fernand Manfoumbi qui a clos les travaux, a également tenu à féliciter les participants pour l’intérêt consenti sur ces assises mais surtout sur le bien fondé de ce projet de Guide de montage de projets.