Dans les exposés de motifs de textes à valider, ils on dégagé les avantages qui en découleraient notamment : Pour les partenaires économiques, la garantie d’une source de production à moindre coût de facteur au bénéfice des marchés publics, en rapport avec son domaine d’activité et de partenariat avec des centres de recherches et de développement ainsi que le bénéfice de la valeur ajouté tirée des innovations et des inventions pour une meilleure compétitivité.
Pour l’Etat et les collectivités publiques partenaires, l’atténuation des charges financières destinées à la charge régalienne de l’éducation et la formation.
S’agissant des établissements universitaires et de la formation professionnelle, le développement des sources de financement pour une meilleure qualité des enseignements et de la formation.
Enfin pour l’étudiant et l’élève, la garantie d’un lieu de travaux pratiques et des stages prédéterminés pour les formations à la fois diplômante et qualitative, prédisposant à l’embauche et à l’auto-emploi.
Et pour y parvenir, les experts ont trois jours durant, axé leur réflexion sur la validation des trente cinq (35) projets de décrets portant réorganisation sous les nouvelles modalités d’orientation et de réorientation scolaire et universitaire. Ces modalités intègrent parfaitement les ambitions du système éducatif Gabonais dont les carences ont été analysées pendant la tenue des états généraux de l’Education ainsi que des Forums organisé à cet effet l’an dernier.