La journée a été marquée par des débats et des expositions des différentes radios qui ont permis à chacune de prendre la mesure de la consistance des défis à relever alors que le réseau hertzien est vieillissant et relégué au second plan même s’il permet toujours d’avoir l’information dans les coins les plus reculés.
Les professionnels, hommes et femmes de radio tentent de faire de la radio gabonaise un instrument de développement qui résiste aux TIC et notamment aux réseaux sociaux actuellement prisés par les jeunes.
La radio reste encore selon eux,un vecteur puissant de transmission de l’information au Gabon et à travers le monde, c’est en tout cas le message qu’ils ont tenu à faire passer.