Les syndiqués dénoncent notamment les conditions de travail qui iraient du mauvais à l’exécrable. Ils décrient, entre autres, le fait que les bureaux soient dépourvus de climatisation, les exposants à une chaleur insoutenable qui les rendraient quasiment incapables de produire ce que leur imposent leurs fonctions au sein de leurs différents départements.
Un cahier de charges à été déposé sur la table du premier responsable de cette administration. Il contient en tout trente-quatre (34) points qui touchent essentiellement les conditions de travail et les questions administratives.
« Le mouvement se poursuit jusqu’à satisfaction des revendications et nous n’abandonnerons pas », ont affirmé les responsables de cette organisation syndicale.