A l’aveu du président français, une enveloppe d’un milliard d’euro sera, notamment, affectée à l’Agence française de développement (AFD) en vue de soutenir des domaines stratégiques comme l’innovation, les nouvelles technologies, les infrastructures en faveur des pays africains.
S’il est vrai que les parts de marché des pays émergents à l’instar de la Chine vont crescendo sur le continent noir, il n’en demeure pas moins que la France reste le premier pourvoyeur d’aide publique au développement de l’Afrique. Fort de cette position, la France a, tout au long de ce sommet, réaffirmer son engagement d’accroître ses investissements en Afrique.
Avec une croissance supérieure à 5,5% pour l’année 2013, le continent africain s’impose sur l’échiquier international comme la ‘‘nouvelle frontière’’ des investisseurs. La France a pris conscience de ce potentiel et le sommet de l’Elysée récemment organisé en est la démonstration.