Le communiqué du gouvernement malien donne des détails précis : l’ancien président ATT est accusé d’avoir violé son serment, en « facilitant la pénétration et l’installation des forces étrangères sur le territoire national, en ne leur opposant aucune résistance. Il a détruit l’outil de défense ».
ATT est actuellement en exil à Dakar au Sénégal, et le communiqué ne précise pas si le Mali a demandé son extradition ou s’il a l’intention de le faire.