Pour les organisateurs de la marche pacifique, « l’éducation est un droit » et l’avenir de la jeunesse gabonaise est en « danger et il est urgent et nécessaire de mobiliser la communauté internationale, afin de sauver le système éducatif gabonais. La problématique du respect des normes internationales de validations d’une année académique se pose. Nous devons agir pour l’avenir de la jeunesse gabonaise ».