« Au Gabon, les langues maternelles constituent une source fondamentale de notre patrimoine culturel. Elle est la traduction de la poésie de toute une civilisation, en même temps qu’elle est porteuse de sens et de valeurs. Il faut donc partager cet héritage culturel à nos enfants nés ici en France », nous a confié le président du CGF, Istovant Nkoghe.
Plusieurs manifestations ont été organisées un peu partout en France notamment, l’Association des Gabonais d’Amiens (AGA) qui a animé une conférence sur le thème : « Diaspora gabonaise de France et langues vernaculaires: enjeux et perspectives de développement ».
L’association des Gabonais de Rennes (AGR) et l’Association des Gabonais de Lorient (AGL) ont animé à leur tour une conférence sur « Les Cris des langues » sans compter de nombreux ateliers en langues gabonaises.
D’autres Associations à l’instar de l’Association des Gabonais de Toulon-Var, celles des Gabonais de Dijon, Gabonais solidaires de France et l’ONG Ezango, ont marqué les 21 et 22 Février d’un geste symbolique, qui traduit l’attachement de tous les gabonais à leurs racines, à leurs langues maternelles.
Chers administrateurs,
Je viens par la présente vous faire remarquer que l’image qui accompagne cet article n’est pas appropriée. Le Conseil des Gabonais de France que je préside, n’est ni le PDG, ni l’UFPDG. Votre article que vous indiquez avoir repris de gabonews n’est même pas conforme à celui rédigé par gabonews. En procédant de la sorte vous entretenez sciemment la confusion et les suspicions qui entourent le CGF et nous empêcher d’atteindre nos objectifs: Rassembler les gabonais de France autour des valeurs Républicaines.
Je vous prie par conséquent de prendre toutes les mesures pour procéder à la modification de votre article.
Vous remerciant par avance.
Respectueusement,
Istovant NKOGHE
Président du Conseil des Gabonais de France