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Gabon: URGENT: Edith BONGO serait morte ou dans le coma ce 7 février 2009 au Maroc

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Edith Bongo

Le BDP-Gabon Nouveau vient d’apprendre la rumeur qu’Edith Bongo Ondimba, fille du président Denis Sassou Nguesso du Congo (Brazzaville) et épouse du chef d’état gabonais Omar Bongo Ondimba, serait décédée ou tombée dans un coma profond ce 7 février 2009 au Maroc.

Edith Bongo n’avait plus été vue au Gabon depuis un certain nombre d’années et des rumeurs persistantes faisaient état d’une maladie incurable (SIDA ou autre) qui la maintenait dans l’agonie la plus totale et dans le besoin d’attention. D’autres rumeurs la disaient atteinte de maladie mentale. Le régime Bongo a fait de la situation d’Edith Bongo un vrai secret d’état depuis que la première Dame a été atteinte de son affliction. De France où elle se faisait soigner, elle avait été secrètement amenée au Maroc où elle serait finalement décédée ou tombée dans un coma profond ce jour. La famille Bongo tout entière s’était récemment rendue au Maroc pour, probablement, être au chevêt d’Edith Bongo dans ce qui serait ses derniers moments si la rumeur se confirme.

Sassou Nguesso, son père, se serait lui aussi rendu récemment au Maroc, probablement pour la même raison.

Nous soulignons que cette nouvelle reste du domaine de la rumeur (ou presque). Nous reviendrons avec plus d’information dès que nous en avons.

Exprimez-vous!

  1. cet article pour avoir une idée de ce qui nous attends on attaquant ces regimes monarchiques

    ce qui se passe au congo bville doit nous rendre determiner

    le courage de mathias dzon, sa pugnacité,malgré les attaques du pouvoir sont preservés grace a la marée humaine qui le soutien

    LES CONGOLAIS ONT COMPRIS QUE POUR SE DEBARASSER DE SASSOU, TOUS DERRIERE MATHIAS

  2. Lu pour vous sur le site UPG:
    Billet d’Afrique N° 177 février 2009 – GABON – (Association Survie France)

    bongodictateurOmar Bongo, l’agonie de la bête ?

    La répression de membres de la société civile menée, en décembre dernier, par l’entourage présidentiel cachait peut-être un autre dessein. Un « complot du réveillon » qui visait à pousser vers la sortie un Omar Bongo de plus en plus fatigué.

    C’est donc une simple lettre ouverte signée par Bruno Ben Moubamba au nom des acteurs libres de la société civile gabonaise et publiée sur Internet fin décembre qui aura mis le feu aux poudres à Libreville il y a quelques semaines.
    Au-delà de l’arrestation inacceptable des principaux leaders de la société civile gabonaise, finalement libérés dans la nuit du 12 janvier, cette lettre ouverte, réquisitoire en règle d’un régime prévaricateur, aura eue le mérite d’éclairer d’une lumière crue la situation politique, sociale et économique du Gabon.

    Un état des lieux sans concessions après quarante années de pouvoir du président Omar Bongo dilapidant les ressources naturelles du pays, notamment le pétrole, mais aussi la forêt, pour son enrichissement personnel et celui de son entourage.
    La réaction d’un clan du pouvoir à cette dénonciation de ses turpitudes a, en effet, donné la mesure de la bataille qui se joue à Libreville (et à Paris) pour la succession d’Omar Bongo. Un président affaibli, à la santé de plus en plus incertaine et dont on dit, à Paris, qu’il ne passera pas l’année.

    Un trio infernal

    La mise en place (voir encadré) et l’arrestation, dans une mise en scène anti-terroriste qui n’a trompé personne, des principales figures de la société civile ont été mené par un trio infernal : l’héritier auto-désigné, par ailleurs ministre de la Défense, Ali Bongo, André Mba Obame, ministre de l’intérieur et Alaba Fall Bosco, procureur de Libreville. Celui-là même contre qui une plainte pour corruption avait été déposée devant la Commission contre l’enrichissement illicite [1] par les animateurs des ONG dans le collimateur du pouvoir.

    Un clan déjà à l’offensive depuis l’automne après la visite d’Ali Bongo à l’Elysée et le limogeage de plusieurs gradés de l’armée pas assez dociles. Ce sont eux également qui ont pris en main le traitement du dossier de la plainte dite des biens immobiliers mal acquis, relancée, à Paris, par les ONG Sherpa et Transparency International.

    La lettre ouverte des acteurs libres de la société civile est donc venue perturber la marche triomphale du fils Bongo et ses lieutenants vers le pouvoir en cristallisant la frustration et le ras-le-bol des gabonais horrifiés de la perspective de voir un des rejetons d’Omar accéder à la tête du pays.

    Il faut dire que leur voracité à se payer sur le bien public, leurs méthodes, à bien des égards pires que celles d’Omar Bongo, agit comme un répulsif efficace. En témoigne, le 19 janvier, le « traitement » brutal de la mutinerie de la prison de Gros Bouquet, et le bilan des victimes bien au-delà de celui présenté par le ministre de l’Intérieur. Construite en 1956 pour 300 personnes, la prison de Gros Bouquet compte aujourd’hui environ 1400 prisonniers entassés dans les conditions que l’on imagine et dont peuvent témoigner les leaders de la société civile arrêtés en décembre dernier.

    Mais outre la mise en lumière, chiffrée et argumentée, aux yeux de l’opinion gabonaise des détournements massifs d’argent public, c’est aussi quelques informations contenues dans la lettre ouverte et ne pouvant qu’émaner de l’entourage présidentiel qui a provoqué la colère du clan d’Ali Bongo et de sa sœur Pascaline Bongo, directrice de cabinet de son père et grande argentière du régime.

    Leur prise programmée du pouvoir s’appuie sur un groupe aux rôles bien répartis. Outre Pascaline, la marraine, et Ali, rêvant de lumière parce que depuis trop longtemps dans l’ombre de sa sœur et de son père, le groupe dit des « rénovateurs » compte également le ministre de l’Intérieur et copain d’enfance, André Mba Obame, Bosco Alaba Fall, le Procureur de la République et neveu du président, toujours prompt à embastiller sans jugement les contestataires et Blaise Louembet ancien Trésorier payeur général (TPG), ministre de l’Economie et qui à ce titre détient une clef du Trésor gabonais. L’entourage présidentiel a donc vu, dans la lettre ouverte, la main d’une des deux autres « chapelles » concurrente dans la course à la succession.

    Une concurrence pour le pouvoir qui les anime certainement plus que l’intérêt général alors qu’aujourd’hui encore, les citoyens emprisonnés en décembre dernier restent inculpés de « détention d’un document en vue de sa diffusion dans un but de propagande » et de « propagande orale ou écrite en vue de l’incitation à la révolte contre les autorités ». Celles-ci se gardant bien de répondre aux questions qui fâchent : où sont donc passées les recettes budgétaires de 2008 d’un montant de 2700 milliards FCFA (entre 4 à 5 milliards d’euros) ? Où sont donc passés les 14 000 dollars de PIB par habitant dans un pays peuplé d’un million d’habitants et dont plus des 2/3 ne vivent qu’avec moins de deux dollars par jour ? Dans les palaces les plus prestigieux de la planète où la famille a des comptes à l’année ? Dans des biens immobiliers, des jets privés et des bijoux aussi inutiles que somptueux ?

    La tradition de la Françafrique

    Quant à la France, les réactions publiques à ces arrestations se sont faites à minima. Le ministère des Affaires étrangères s’est contenté « de suivre attentivement la situation » malgré l’illégalité manifeste des arrestations. C’est davantage en coulisses que l’on s’est activé dessinant, une fois de plus, les lignes de forces existant dans la diplomatie française. En clair, c’est l’Elysée qui est à la manœuvre, dans la plus pure tradition de la Françafrique quand il s’agit d’organiser une succession dans un de ses bastions. Un territoire, qui plus est idéalement situé en bordure d’une région, le golfe de Guinée, riche en gisements pétroliers et théâtre d’une guerre économique mondiale. Gageons d’ailleurs, qu’à l’heure des choix, la France préférera fermer sa base militaire de Dakar plutôt que celle de Libreville.

    Nicolas Sarkozy a donc envoyé, le 24 décembre, au Gabon, son conseiller Afrique, Bruno Joubert pour des entretiens avec Omar Bongo mais aussi avec deux opposants, Zacharie Myboto et Pierre Mamboundou. Deux figures politiques, pas vraiment virulentes, reçues à l’ambassade de France en présence de l’inévitable avocat Robert Bourgi (La Lettre du Continent n°556). Ce qui malheureusement laisse présager d’un petit arrangement entre amis françafricains sur le dos des gabonais. En tous les cas, il semblerait que l’Elysée garde plusieurs fers au feu alors qu’il se chuchote à Paris qu’Ali Bongo n’a pas la carrure pour succéder à son papa. En tous les cas, le ballet des émissaires se poursuit avec la visite récente à Libreville, le 27 janvier, de Louise Avon, chargée de mission de Sarkozy.

    Bref, pour le Gabon, tous les ingrédients de lendemains désenchantés voire sanglants sont réunis après quarante ans d’un pouvoir clanique et kleptocrate, branché et perfusé par le meilleur de la Françafrique alors que Pascaline et Ali se targuent publiquement du soutien de l’Elysée. C’est l’immense gâchis dont parle cette fameuse lettre ouverte et que les Gabonais, engagés dans des mouvements sociaux toujours plus importants, refusent, avec force de voir se perpétuer. La France le sait-elle alors que 300 militaires du 1er Régiment des chasseurs parachutistes de Pamiers ont été envoyés au Gabon pour une mission de quatre mois ? A ce sujet, La Lettre du Continent (n°556) s’interroge : « Coïncidence des rotations sur les bases en Afrique ou principe de précaution ? ». Dans une interwiew à Ariege.news, les chefs du régiment ne cachent pourtant pas la nature de leur mission : « la protection des ressortissants français ».

    Raphaël De Benito

    Les devinettes franco-gabonaises

    La Lettre du Continent : « Quels sont les Français qui ont concocté la stratégie d’embastiller les leaders des ONG gabonaises, le 18 décembre, avec le ministre de l’intérieur, André Mba Obame ? » Billets d’Afrique ajoute quelques indices : le 1er est un célèbre avocat parisien, pénaliste et avocat de la défense dans le récent procès Ferrara, le 2ème est auteur de nombreux best-sellers et spécialiste du terrorisme et à ce titre, expert auprès des pays membres du Conseil de sécurité de l’ONU et du Conseil de l’Europe.
    Au rayon des devinettes franco-gabonaises nous rajouterons celles-ci :
    Quel est l’avocat français qui a ouvert une galerie d’art fantoche à Paris et qui blanchit l’argent de la corruption au Gabon en achetant à prix d’or de pseudo-œuvres d’art gabonaises pour financer le train de vie de Pascaline Bongo ?
    Quel est l’aéroport français par lequel transitent des masses d’argent gabonais vers les paradis fiscaux ?

    [1] Commission mise en place à la demande des institutions financières internationales auxquelles la société civile africaine reproche de donner de l’argent à des régimes africains sans aucun mécanismes de contrôle.

  3. Le candidat Mathias Dzon serait victime de persécutions orchestrées par la présidence.
    par Chris Mbembe | samedi 31 janvier 2009 | (30) Commentaires

    Vue de l’assistanceNDLR : Un correspondant que nous ne connaissons pas nous a posté cet article. Une partie se trouve confirmée par un papier d’APA (à la suite) qu’un autre correspondant nous a transmis. Vous retrouverez à la suite le reportage de Chris Mbembé sur l’investiture de l’ex ministre des finances de Denis Sassou Ngesso.

    Les provocations de Denis Sassou Nguesso à l’égard du candidat de l’opposition Mathias Dzon
    La situation à moins six mois de l’élection présidentielle de juillet 2009 devient de plus en plus tendue, le pouvoir de Brazzaville, multiplie les provocations. Non seulement, il achète les armes en chine et en Corée qu’il fait circuler en plein jour entre Oyo et Brazzaville, Denis Sassou Nguesso a formé à Tsambitso dans les environs de son village natal Oyo, une milice privée de plus 3000 hommes qu’il distille dans l’armée par des pseudos recrutements qui n’obéissent à aucune logique militaire.

    Depuis quelques jours, les provocations de Denis Sassou Nguesso sont de plus en plus orientées vers Mathias Dzon, candidat d’une grande coalition de l’opposition congolaise A.R.D, regroupant une vingtaine de partis et associations. En effet, alors que l’A.R.D avait placée sur les artères de la capitale congolaise Brazzaville les banderoles et affiches pour la tenue le 25/01/2009 de sa première convention pour l’investiture de son candidat, Mathias Dzon. Les populations Brazzavilloises ont pu constater que dans la nuit du 23 au 24 janvier 2009, des équipes qui circulaient dans les Pick-up que l’ont pouvait facilement reconnaitre comme appartenant à la présidence ont simplement arraché les banderoles et déchiré les affiches de l’Alliance pour République et Démocratie (A.R.D). Dans la journée donc de Samedi, les langues se sont déliées, les groupes qui ont fait le sale boulot la nuit étaient constitués de :

    Les jeunes de la garde Républicaine que dirige le général Théophile Adoua, le même de l’affaire des disparus du Beach ; Les jeunes du « front 400 » une frange de la milice cobra de la guerre de juin 1997, qui n’a jamais était désarmée et dirigé par le ministre Okombi Salissa qui cache l’existence de celle-ci dans une association ; Les jeunes du mouvement d’OBA Blanchard, cet ex Directeur de l’ office Nationale des Postes et Télécommunication (ONPT) puis de la Société des télécommunications du Congo (SOTELCO), neveu de Sassou Nguesso qui a mis toutes les sociétés publiques qu’il a dirigé en faillite et s’est permis sans être inquiété de dire qu’il a dépensé pour les législatives bidouillées par son oncle, la somme colossale de deux milliards de Frs CFA.

    Le dimanche 25/01/2009, pendant que la convention de l’A.R.D se tient au palais du parlement à Brazzaville, l’équipe de la sécurité mise en place pour cet événement, a constaté que les éléments des services de sécurité de la présidence en civile mais armée ont tentés de pénétrer la salle. Mais pourquoi faire donc bon Dieu ?

    Dans le temps, un autre groupe avec deux banderoles sur lesquelles on pouvait lire « les amis de Denis Sassou Nguesso, Dzon voleur », payé pour organiser un contre événement et diriger par un certain Yvon Bantsiri semble t-il lieutenant du ministre de l’information et porte parole du gouvernement Alain Akouala, tentait en vain de semer le désordre. C’est l’ambassadeur des USA en personne qui de passage au boulevard Alfred Raoul certainement pour constater par lui-même la mobilisation, aurait constaté de lui-même et fait appel au président Sassou et le général Ndenguet pour faire retirer le groupe de Bantsiri des lieux. C’est sans oublier le fait que les organisateur de la cérémonie étaient obligés d’apposer à la dernière minute, une signature sur les marinières à l’effigie de Mathias Dzon que portaient ce dimanche les membres et sympathisants de l’A.R.D pour éviter toute confusion.

    Avant-hier, ce sont les habitants de la zone de la pointe hollandaise à Poto-poto qui ont vu leurs maisons perquisitionnées semble t-il pour chercher les armes que Mathias Dzon aurait caché dans ce quartier.

    La nuit d’aujourd’hui, c’est-à-dire celle du 28 au 29 janvier 2009, un groupe de gens muni de lampes torches a tenté de mettre feu au siège de campagne de Mr Dzon, situé au croisement de la Rue MOULEKE et l’avenue de l’intendance à Ouenzé, quartier populaire de Brazzaville. C’est donc grâce au gardien et à la mobilisation des habitant du quartier que l’incendie a été maîtrisé sans faire de dégâts majeurs. Faut-il encore croire que l’incendie qui a coûté la vie à la compagne et aux deux filles de notre ami Bruno Ossebi soit vraiment un accident ? C’est évident, Sassou Nguesso et sa bande cherchent donc désespérément l’incident qui leur permettrait de semer à nouveau la mort et la désolation dans les familles congolaises et d’éviter la sanction populaire en juillet 2009. Si non, pourquoi continue t-il de se procurer des armes à coût de milliards auprès des chinois et des coréens et pourquoi en qualité de président de la République a-t-il besoin d’une milice privée mieux équipée que l’armée régulière ?

    L’élection présidentielle n’est pas un pugilat, c’est une compétition démocratique qui doit être libre, transparente et apaisée, de façon à ce que le vainqueur le soi de la manière la plus loyale possible. C’est justement dans cette logique que le Peuple demande la mise en place de façon consensuelle des conditions d’organisation du scrutin de 2009.

    Le Peuple Congolais a eu le temps de voir Sassou Nguesso proposer au pays ce qu’il en était capable. Le résultat est aujourd’hui sans appel, en plus de 25 ans d’exercice de la fonction suprême, cet homme n’a pas été en mesure de réaliser même 5% des attentes du Peuple congolais. Alors, qu’il pense qu’en usant des armes, il arrivera à conserver un pouvoir qui lui échappe, c’est vraiment manquer de discernement, car le peuple mobilisé ne lui laissera pas le temps d’accomplir son macabre dessein.

    Le Peuple congolais dans sa profondeur lance un appel à Mr le président de la République de respecter son serment et d’épargner le peuple congolais d’une énième guerre civile.

    Clotaire Tsono Adoua

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    L’article d’APA :
    Le siège du candidat Mathias Dzon échappe à un incendie ce Vendredi soir 30 Janvier 2009

    APA Brazzaville (Congo)

    Le quartier général (QG) de campagne du candidat de l’Alliance pour la République et la démocratie (ARD) à l’élection présidentielle de juillet 2009, Mathias Dzon, a failli être incendié à Brazzaville, dans la nuit du mercredi à jeudi, a appris APA

    « Dans la nuit du 28 au 29 janvier, des individus non identifiés ont tenté d’incendier le siège de campagne du candidat Mathias Dzon, à Brazzaville », a indiqué l’ARD, dans un communiqué publié dans la capitale congolaise. Les pyromanes seraient passés par une parcelle attenante pour pénétrer dans le QG de campagne de M. Dzon. Ils ont grimpé sur un arbre qui leur a permis d’accéder à la toiture et de pénétrer dans le bâtiment, indique le communiqué.

    « Ils ont utilisé des morceaux d’éponge et des chiffons aspergés d’essence pour allumer l’incendie qui a été rapidement maîtrisé par les gardiens de la maison et les voisins, alertés par les flammes incandescentes qui sortaient des lieux. Ancien ministre de l’économie, des finances et du budget, de 1997 à 2002, M. Dzon, âgé de 62 ans, a été investi dimanche dernier par l’ARD, un regroupement de dix formations de l’opposition.

    Selon l’ARD, le jour de l’investiture de son candidat, 200 personnes faisant partie d’un groupe dénommé « les amis de Denis Sassou Nguesso » auraient organisé une manifestation pour perturber la cérémonie d’investiture.

    Au moins cinq personnalités ont déjà annoncé leur candidature à l’élection présidentielle congolaise

    Présidentielle : Meeting du candidat Mathias Dzon au Palais du Parlement
    Quand la moindre réunion d’opposants a le plus grand mal à se tenir , Mathias Dzon obtient pour son meeting le Palais du Parlement. « Poupée du Sire, poupée de Dzon » ?

    Mathias Dzon : « Je suis prêt sur tous les plans, humain, matériel et financier à en découdre avec Denis Sassou Nguesso. »

    La sortie officielle de Mathias Dzon, a eu lieu, dimanche 25 janvier [1] 2009 au Palais du parlement, à Brazzaville. Cette cérémonie marquée par la convention pour l’investiture du candidat de l’ARD (Alliance pour la République et la Démocratie), à l’élection présidentielle, s’est déroulée en présence des délégués venus de tous les départements du Congo, du délégué de France, des militants et sympatisants, des responsables des partis politiques de l’opposition et des députés de l’opposition siégeant à l’assemblée nationale.

    La particularité de cette cérémonie est que, avant l’arrivée de Mathias Dzon, des prospectus à l’effigie du candidat à l’élection présidentielle, ont été distribués dans une salle archi comble. On pouvait y lire : « Chers compatriotes, le moment est venu de changer le cap. Une nouvelle politique à travers des hommes nouveaux est notre seule chance pour l’unité véritable, la pais réelle et la prospérité. Il est donc grand temps que le Congo se renouvelle, qu’il débatte de son avenir, qu’il prenne en main les problèmes de son peuple et particulièrement ceux de sa jeunesse. Ensemble, organisons-nous pour gagner le pari qu’impose la situation d’aujourd’hui afin de bâtir un avenir propice. Avec la participation de toutes les intelligences et de toutes les compétences, je m’y engage et vous propose donc de conduire ensemble ce changement profond. »

    Les militants portaient des tee-shirts frappés des ces écrits « Alternance, rupture, changement » Sur la banderole placée à la tribune, on pouvait lire : « Le Congo, un défi – Mathias Dzon ».

    L’arrivée de Mathias Dzon a été très ovationnée par l’assistance. Après le mot du modérateur et celui du président de l’ARD, Jean-Jacques Bouiti, le candidat à l’élection présidentielle a été présenté au public.

    Dans son discours, le chalenger a déclaré : « Mesdames, Messieurs, chers amis. C’est avec une très forte émotion que je prends la parole devant ce noble rassemblement des forces du changement et de la rupture, des patriotes et démocrates, tous unis pour un seul idéal, celui de créer des conditions objectives et subjectives pour mettre fin de façon démocratique à un régime monarchique, anti démocratique, anti social, inhumain et impopulaire qui a plongé plus de 70 % des Congolais dans une pauvreté extrême, de faire reculer le Congo de 20 ans au moins. » (la salle était en délire).

    Mathias Dzon pour avoir été sous la présidence de Sassou Nguesso, ministre de l’Economie, des Finances et du Budget est un averti connaisseur des arcanes du pays . Il l’a confirmé au cours de son discours : « plus 70 % des Congolais dans une pauvreté extrême, le tout dans une conjoncture pourtant marquée par une croissance économique forte : 9,4 % en 2008 et une situation économique florissante : 10.000 milliards au titre du Budget de l’Etat et des excédents budgétaires depuis 2003. Hélas ! la crise financière actuelle dont du reste le gouvernement ne fait rien pour limiter et endiguer les conséquences désastreuse sur la vie des Congolais. »

    La situation du Congo est catastrophique a-t-il martelé. Pour Mathias Dzon, elle se caractérise entres autres, par l’aggravation du sous développement, l’absence d’une politique cohérente dans tous les secteurs de la vie nationale, la gestion néo patrimoniale et partisane des affaires de l’Etat, la mal gouvernance, le développement de l’arbitraire et de l’intimidation, la caporalisation des médias de l’Etat, la propagande politique, le culte de la personnalité, la pensée unique et la manipulation des consciences comme au temps du monopartisme, l’indifférence hautaine aux problèmes des populations en général, des jeunes et groupes vulnérables en particulier, l’appauvrissement continu des populations, lié à la suite sévère du pouvoir d’achat avec des salaires des misères du reste bloqués depuis des années, la montée vertigineuse du chômage, la corruption généralisée, l’aliénation à outrance du patrimoine de l’Etat au profit des parents, amis, maîtresses, compagnons, clients etc. l’impunité dirigée en système, une crise de morale sans précédent, le règne de l’argent facile, le vagabondage des acteurs politiques. Bref, le Congo est à son niveau le plus bas, a-t-il dit parce que tous les indicateurs sont au rouge, en dehors de la littérature où les écrivains congolais se distinguent par l’obtention des prix internationaux prestigieux.

    En conséquence, « le Congo a besoin d’une autre politique et d’un changement en profondeur touchant les hommes, les mentalités, les pratiques politiques et sociales. » Mathias Ndzon entend agir en se fondant sur la conviction que « le Congo par une autre politique retrouvera son chemin et ses marques ».

    En se portant candidat à l’élection de 2009, son objectif principal est de reformer profondément la société congolaise, de la rendre plus juste, d’y rendre les hommes toujours plus égaux dans l’exercice de leur liberté. Dans ce sens, l’un des défis majeurs de Mathias Dzon, est la construction d’un Congo plus juste, plus égalitaire, plus libre, sociable et plus solidaire.

    Mathias Dzon à l’assaut du pouvoir est prêt sur tous les plans, humain matériel et financier à en découdre avec le pouvoir de Brazzaville. Wait and see !

  4. Je m’adresse à JR le rock

    Etes vous seulement sérieux? Vous vous préparez à quoi? Le Gabon doit être un exemple de démocratie en Afrique centrale. Nous ne devons pas reproduire ce qui se passe chez nos voisins en Afrique de manière générale. Il faut arreter de faire peur aux Gabonais ou de réveiller des idées qui pourront nous conduire à des situations regretables. Interrogez les Ivoiriens, les Tchadiens, les Angolais, les Rwandais …Vous constaterez qu’ils ne sont pas fiers de ce qu’ils ont traversé. Ils mettront du temps à se remettre des horreurs qu’ils ont vecu, car le traumatisme psychologique reste présent.
    Je reste persuader que les Gabonais ne suivront pas votre petit groupe d’une vingtaine de personnes.
    De menière générale, je trouve le débat peu intellecuel et pas assez enrichissant dans ce site. Vous passez votre temps à vous plaindre et à insulter le président Bongo. Mais quelle est votre vision du Gabon? Une république de sauvages? Un Etat où règne la force. Je vous promets que celui qui prendra le pouvoir par les armes au Gabon ouvrira la porte au chao et à la guerre civile. Il montrera par là aux Gabonais que seule la force compte, mais il devra aussi s’attendre à etre chassé du pouvoir par la force.L’histoire fournit de nombreux exemples en ce sens.
    A lire les différentes réactions dans ce site, je remarque qu’il y a peu de démocrates et de républicains qui s’expriment. J’ai l’impression que vous etes tous des revolutionnaires, mais la révolution est dépassée! Il est trop tard d’etre révolutionnaire. L’heure est aux réformes et non plus à la révoltion qui nous le savons conduit au sang.
    Cordialement

  5. ESSONE MBA
    1. Le problème de l´etat de santé de Mme Edith Lucie Bongo concerne les gabonais parce qu´il s´agit là de la PREMIERE DAME du gabon ( Bongo étant une institution l´etat de santé pas la maladie dont elle souffre se doit d´etre su des gabonais)
    2.Les thematiques que tu soulèvent dans ton posting sont pertinents( crise financière, santé…) MAIS comme le régime de Bongo est asssimilé à du cancer , il faut l´erradiquer D´ABORD et donner des remèdes ensuite .

  6. ESSONE MBA André

    pardon, avec tout le respect…….

    On n’a plus le temps pour la parlote. Cette heritage coloniale que les francais nous ont laissé, parlé, parlé………………….

    LES GENS AIMENT S’ENTENDRENT ET SE SUBLIMENT EN S’ECOUTANT

    c’est la plaie des intellectuels

    pardon, nous on est ailleurs!!!!!!!!!!!!!!!!

    Durant les 40 ans de bongo, vous avez eu le temps de reflechir, penser, rereflechir, rerepenser dans toutes les formes et tous les katas possibles

    l’heure est a l’action

    il ne faut pas venir nous distraire comme ca.

    Tu es a coté de la plaque, ici on recrute des militants, des patriotes, des hommes responsables, conscients et soucieux du devenir de leur descendances.

    Au congo brazzaville, mathias dzon a fait sa declaration officielle malgré les menaces et intimidations

    nous on veut des hommes d’actions, pas des parleurs, des poetes et philosophes

  7. Pourquoi tant d’intérêt pour l’épouse du président Bongo tout d’un coup? Quand elle vivait à Libreville au Gabon et s’adonnait à des activités sociales,il n’y avait personne d’entre vous qui s’intéressait à elle. Quand elle a mis sur pied horizon nouveau où étez vous? Vous aurez quand même pu l’encourager! Son état de santé ne vous concerne en rien. C’est l’affaire du Présient et de sa famille. Cela ne doit pas devenir un sujet public. Vous touchez là à la vie privée du Chef de l’Etat. Si votre épouse était malade aimerez vous que tout le monde en parle? Cessez d’alimenter la rumeur. Ce n’est pas digne.

    Vous critiquez avec davantage de force et d’acuité le président Bongo et son gouvernement.C’est votre droit le plus absolu. Le Gabon est un pays démocratique où la liberté d’expression est tolérée et même encouragée. Cependant que proposez vous? Ce ne sont pas les sujets qui manquent. Il y a eu la crise alimentaire, le gouvernement a défini une stratégie pour réduire notre dépendance alimentaire. Quelle alternative proposez-vous? De même face à la crise économique internationale qui trouve son origine dans les subprimes aux Etats-Unis, que proposez-vous pour que le Gabon puisse faire face? Vous êtes sans savoir qu’avec cette crise, les banques pretent de moins en moins; or ce sont les crédits qui permettent de soutenir l’activité économique et donc de créer des emplois. Les banques ont désormais peur d’octroyer des prêts aussi bien aux particuliers qu’aux entreprises. Que proposez vous pour rétablir la confiance? Que proposez vous pour redonner le pouvoir d’achat aux Gabonais face à la montée des prix des produits de première nécessité?

    Voici au tant de questions sur lesquelles nous devrons nous intéresser que de nourrir ou d’alimenter la rumeur sur l’état de santé de l’épouse de notre président.Je souhaite qu’elle se rétablisse rapidement et par conséquent qu’elle puisse rentrer à Libreville au sein de sa famille et de ses proches.

    Par aillieurs, je souhaite échanger des analyses sur des questions internationales et stratégiques. Par exemple sur la politique étrangère du président Obama (la main tendue aux pays arabes, le retrait progressif des boys d’Irak, l’attention portée à l’Afghanistan et au Pakistant, le désarmement nucléaire, la diplomatie plurielle…), sur le dossier iranien (son projet d’accéder à la technologie nucléaire « civile », son positionnement comme deuxieme puissance spatiale au moyen orient après Israël…), le proche et le moyen-orient (le conflit israëlo-palestinien,…), sur la Russie(qui fait de sa puissance énergetique une arme stratégique de sa politique étrangère… ), sur les pays émergeants (Chine, Inde, Bresil, Afrique du Sud).

    Aussi, suis-je également passionné par des questions de communication politique et de marketing éléctoral. Si parmi vous, il y a des personnes qui accordent de l’intéret à ces questions, je vous prie de me faire part de vos analyses. Je suis avec fièvre et énergie la communication du président Sarkozy dirigée par son conseiller en communication et presse Franck Louvrier, du président Obama via son porte-parole Robert Gibbs (porte-parole de la Maison-Blanche est l’équivalent du poste de Secrétaire à la presse au même titre que le secrétaire aux affaires intérieures, au commerce) qui est un excellent spin doctor…
    Cordialement.

  8. sven markus

    tu commence a me plaire!

    tu commence a avoir un discours constructif! c’est ca un homme

    mais sache que la france se tape de nos couriers. je suis metisse et je peux te dire que les blancs meprisent les noirs a un point que tu ne peux imaginer.

    nous devons manifester devant l’ambassade de france pour demander le depart de l’armée francaise ou faire une petition signée par plus d’un million d’habitants qu’une delegation remettra a l’elisée

    il faut qu’un exemplaire de la lettre soit envoyé à l’union européenne et a toutes les agences de presse et a la maison blanche. en chine,partout dans le monde.

    le monde entier doit savoir que si bongo a fait plus de 40 ans au pouvoir, c’est grace aux soutiens de l’armée francaise, soutient puissant au dictateurs africains francophones

  9. DON CARLITO

    REVIENS!

    C’EST TOI L’HOMME DE LA SITUATION.

    NOUS SOMMES AVEC TOI.

    C’est par ta main que viendra la liberation de ce pays si elle ne faiblit pas.

    Ne t’expose pas dans l’illégalité. Crée le cadre legal d’un parti officiel

    nous allons t’envoyer les sous. Ne regarder pas ta situation, ton statut social

    Le salut peut venir d’un jardinier, d’un simple soldat; Dieu utilise qui il veut, comme il veut.

    kaddafi venait d’une famille tres pauvre.

    qu’importe ton niveau scolaire, qu’importe ton statut social, mais avec la force de la determination on peut soulever des montagnes.

    bongo aussi etait un vrai villageois, niveau scolaire zero. l’ancien president du cameroun etait un facteur avant d’etre president. Mais regardez comment il a construit son pays. Biya vit sur les vestiges de haidjo.

  10. Alors comme ca on est pret à prendre le pouvoir derière les claviers de vos ordinateurs!!!! Les enfants arrêtez de prendre vos rêves pour la réalité.Beaucoup d´entre vous sont à l´exterieur
    du gabon donc très vindicatif. Aucun d´entre vous n´a pas encore fait un séjour au B2 moi oui avec un certain ella nguema G , la force de Bongo c´est des armes qu´il dispose, ces services de renseignements . Pour faire partir Bongo du pouvoir il faut commencer par couper ses ailes c´est à dire demander le départ de l´armée francaise du gabon , pour ce faire rediger une lettre
    que les compatrites qui sont en france se chargeront d´aller deposer à l´assemblée nationale francaise ou au ministère des affaires étrangères . Nous qui sommes au gabon irons également déposer une lettre à l´embassade de france à libreville .
    Act 2 : nous allons faire circuler des tractes à libreville invitant les librevillois à se rendre à un endroit qui serait communiqué .
    J´attends vos propositions PAS seulement votre engagement virtuel.

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