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Gabon: URGENT: Edith BONGO serait morte ou dans le coma ce 7 février 2009 au Maroc

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Edith Bongo

Le BDP-Gabon Nouveau vient d’apprendre la rumeur qu’Edith Bongo Ondimba, fille du président Denis Sassou Nguesso du Congo (Brazzaville) et épouse du chef d’état gabonais Omar Bongo Ondimba, serait décédée ou tombée dans un coma profond ce 7 février 2009 au Maroc.

Edith Bongo n’avait plus été vue au Gabon depuis un certain nombre d’années et des rumeurs persistantes faisaient état d’une maladie incurable (SIDA ou autre) qui la maintenait dans l’agonie la plus totale et dans le besoin d’attention. D’autres rumeurs la disaient atteinte de maladie mentale. Le régime Bongo a fait de la situation d’Edith Bongo un vrai secret d’état depuis que la première Dame a été atteinte de son affliction. De France où elle se faisait soigner, elle avait été secrètement amenée au Maroc où elle serait finalement décédée ou tombée dans un coma profond ce jour. La famille Bongo tout entière s’était récemment rendue au Maroc pour, probablement, être au chevêt d’Edith Bongo dans ce qui serait ses derniers moments si la rumeur se confirme.

Sassou Nguesso, son père, se serait lui aussi rendu récemment au Maroc, probablement pour la même raison.

Nous soulignons que cette nouvelle reste du domaine de la rumeur (ou presque). Nous reviendrons avec plus d’information dès que nous en avons.

Exprimez-vous!

  1. L’action gouvernementale au GABON ?

    Elle n’est, en soi, ni bien ni mal, parce que c’est tout simplement de n’importe quoi. Un mélange de capharnaüm et « d’auto-sabotage ».

    Le pouvoir gabonais ?

    Un sac de nœud de vipères. Plus de véritable gouvernement, mais un conglomérat d’ambitions concurrentes et d’égotismes antagoniques. Chacun pour sa pomme ! Pas de projet, mais chacun le sien, dont la promotion exige, évidemment, la démolition des projets concurrents ; pas de ligne, mais une succession chaotique d’allers et retours, de pas de deux et d’entrechats : Conséquence, un État défaillant, un régime en faillite. Il est le garant d’un système social inique, aberrant, dans cet « émirat » singulier, producteur de misère, de précarité et d’insécurité pour la majeure partie de la population

    Une part du revenu pétrolier de notre pays a toujours servi essentiellement à maintenir de prétendus « équilibres sociaux », par la distribution de quelques privilèges à une élite politico-administrative chargée de servir de relais « politique » auprès des couches les plus faibles de la population, pour lesquelles aucune perspective d’avenir n’est sérieusement envisagée.

    Et si la solution à la plus grave crise économique de l’histoire du pays passait avant tout, par le départ du président Omar Bongo ? …le pouvoir Bongo devrait tirer sa révérence.

    Comment expliquer que, après 42 ans de stabilité dans la « paix du Bongoland » et avec une rente pétrolière, qui aurait dû les hisser au niveau de vie des habitants de Dubaï, la très grande majorité des 1200000 habitants du Gabon vivent dans la pauvreté la plus extrême

    Notre peuple et notre société sombrent dans une crise sans cesse plus profonde, une crise très grave et très dangereuse, Cette crise se nourrit de la peur, de la corruption, de l’apathie et de l’indifférence chez les populations.

    C’est une erreur de penser que les temps modernes, en détruisant peu à peu la crainte de certains phénomènes magiques (sorcellerie, envoûtement, etc.) aient affermi et armé les âmes jusqu’à leur permettre de résister au danger de la magie actuelle…. Le peuple va devenir le champ d’application de la Magie fascinatrice tendant à y inventorier, sélectionner, rassembler, perfectionner, et manier des êtres et des groupes par une sorte d’élevage savant, hiérarchique et dynamique.

    Ce que nous aimerions élaborer est une vision. Nous aimerions que les gens voient et comprennent pourquoi un système concerne la vie quotidienne. Pourquoi nous ne pouvons pas ignorer la politique et nous intéresser uniquement à l’économie, comme les autorités aimeraient que nous fassions. Nous voulons qu’ils comprennent que notre lutte pour la démocratie est une lutte pour notre vie de tous les jours. Nous devons y travailler constamment, car elle retentit constamment sur votre vie. Vous ne pouvez jamais séparer le système politique d’un pays de la façon dont vous menez votre vie quotidienne.

    Ce pourquoi nous luttons, c’est le changement dans nos vies de tous les jours. Nous voulons être libérés de la peur et du besoin. Certains aujourd’hui jouissent de la sécurité matérielle, mais ils ne peuvent jamais avoir la certitude qu’elle ne leur sera pas retirée.

    la dominance exclusive, intolérante, rageuse et ravageuse, inhumaine et sectaire d’une caste qui a impunément pratiqué la corruption, la criminalisation, l’exclusion de la différence, la médiocrité, le clientélisme et le népotisme, oui, cette tyrannie devenue insupportable à la très grande majorité de notre peuple arrive à son terme.

    Ouvrir une perspective nouvelle à l’opposition au système actuel passe par l’affirmation d’une force politique et une stratégie de rupture. La convergence sera ainsi construite et non proclamée. Ces campagnes communes doivent s’accompagner d’un travail collectif sur le projet de transformation sociale. C’est indispensable pour combattre le doute profond qui s’est partout insinué : comment faire autre chose qui ne soit pas pire que le système que nous combattons.

    Depuis 1990, nous avons acquis une très grande expérience des méthodes du système Bongo, mais aussi une connaissance des comportements des uns et des autres. Nous savons comment les regroupements ou les tentatives de regroupements de ceux qui se réclamaient de l’opposition, depuis le FUAPO jusqu’au HCR en passant par les différentes CODE, ont été soit manipulés par le pouvoir, soit trahis par les participants eux-mêmes. Depuis toujours, le président Bongo a fait du mensonge et de la corruption sous toutes les formes le moteur de son art de gouverner, et sa méthode la plus efficace pour neutraliser la volonté du peuple gabonais au changement. Cette stratégie à la limite satanique a conduit les Gabonais à perdre toute confiance dans les responsables politiques, et surtout en ceux qui dirigent le pays et bradent notre patrimoine national depuis bientôt 42 longues années. Ce qui a conduit les Gabonais à l’impuissance devant le mal, et à l’apathie : « Qu’est-ce qu’on peut encore faire, » se lamentent-ils aujourd’hui, face à la situation qu’ils endurent.

    l’opposition réelle, le rejet du système par les Gabonais s’est généralisé. Il a atteint toutes les couches et toutes les structures de la société, y compris au centre même du système.

    Bongo a toujours pensé qu’il lui est nécessaire de tromper les uns et d’humilier les autres, et même de se mentir à lui-même, afin de se sentir à l’aise dans sa mission de fossoyeur de notre jeune nation, et se maintenir à vie au pouvoir. C’est un manque total d’intégrité politique. Et notre peuple en est resté complètement déboussolé, pire, il a perdu sa confiance dans le discours politique des opposants.

    Aujourd’hui, fort de cette dure expérience, et face à la nécessité pressante pour une mobilisation générale, guidée par des patriotes véritables. Nous avons un devoir sacré d’organiser un regroupement tactique, pour relever la gageure du redressement de notre pays, apporter une alternative à la faillite retentissante du système Bongo. Il faut que les patriotes se lèvent pour engager avec notre peuple un nouveau débat, le mobiliser pour le conduire à une prise en mains de son propre destin.

    « Les responsables commettent un crime contre leur peuple s’ils hésitent à affûter leurs armes politiques quand elles sont devenues moins efficaces. »

    Selon un verset coranique : « Dieu ne changera pas en ce qui concerne une communauté si chacune des composantes de la communauté ne change elle-même. Un travail de conversion individuelle qu’il nous faut chacun accomplir, avant de prétendre parler de conversion collective ».

    Agir avec audace pour que s’écroulent les murs du totalitarisme. Notre devoir est de libérer aujourd’hui notre nation retenue en otage pour ses ressources naturelles. Et nous mènerons courageusement ce combat en faveur de la justice, de la liberté et de la démocratie.

  2. Seven Markus

    Je suis en desaccord avec vous lorsque vous dites que bongo ne mérite pas le respect. Premièrement apprend a faire la différence entre l’action politique d’un homme et sa condition humaine.
    Si on devrait respecter les hommes par rapport a leurs jugements je pense qu’on ne respecterait plus personne dans ce monde. Ensuite en tant que Gabonais on devrait plutôt être avec notre compatriote dans le malheur sans nous tromper de combat, nous sommes contre la gestion de Bongo, mais pas dépourvu d’humanité a son égard ou de ses semblables. Pourquoi les gabonais doivent-il toujours s’hair entre eux. Nous avons déjà suffisamment de problèmes avec nos voisins, la France. Bref respectons la douleur de l’autre, ce qui arrive a l’autre peut nous arriver.

  3. ESSONE
    je t’ai parcouru un temps soit peu,mais je constate avec beaucoup d’amertume que tu es prisonnier d’une absurdité outrancière qui n’est plus de notre siècle.tu ferais mieux de te déniaiser pour le bien du reste de ta vie….tu te mets en spectacle pour peut etre te faire une place au soleil,mais cet excès de zèle fait de toi une victime de ta propre frivolité.

    denature ta malheureuse facon de reflechir car il y va de ta santé mentale.

  4. Sieur ESSSONE
    Je discute avec des gens de conviction et non avec des personnes en quête de reconnaissance , je vous trouve très limité dans votre argumentation un debat ne se limite pas à demander à vos interlocuteurs de vous livrer des projets de sociéte de je sais ou
    vous êtes pathétique.Vous voulez aborder des questions qui sont largement au dessus de vos compétences , il ne suffit pas de venir
    debiter des bouts de tuyaux lu à gauche et à droite pour se prévaloir detenir la verité . De quelle sphère sortez vous pour venir nous miroiter un gabon ou tout marche comme sur des roulettes si bongo vous a permis de venir faire vos études à grenoble est ce c´est le cas de tous les jeunes gabonais , qui étudient dans une indigence notoire !!!! Pourquoi le régime que vous defendez bec et ongles ne vous pas contruits des universités
    modernes afin d´eviter de venir en occident?

  5. A ESSONE MBA ANDRE
    Mon frere tu es du mauvais coté de lhistoire,sauves toi stp.
    car la conscience est une tyrannie hypnotisée par ses préjugés (Bongo et Toi) et le corps une démocratie d’organe qui souffrent d’etre considérablement comme de bouts de viande ou des agglomérats de cellules sans conscience collective( PDGistes).le corps est un sanctuaire,je ne le dirai jamais assez,ne lui faites pas supporter le poids de vos pensées parasites.

  6. sven markus,

    Il est quasiment impossible de discuter avec vous. Je croyais qu’au BDP on avait des idées ou des projets pour l’avenir du Gabon et des Gabonais. Ce qui vous rassemble tous c’est la haine envers le président. Les Gabonais sont libres de choisir leur leader politique, meme si c’est bongo.

    A lire les dernieres lignes de votre intervention, je pense que vous êtes un grosier personnage. J’ai de la peine pour vous. Comment on peut être aussi mal poli?

    Profonds respects.

  7. Parce qu’on supporte une cause on ne peut plus être objectif.
    Monsieur Essone Mba pourtant l’école a ceci de fondamental, elle nous aide a transcender notre subjectivité.

    En avant frappe fort. Attention de ne pas manger la feuille du match comme le disent les port-gentillais.

  8. Sieur ESSSONE

    Je ne savais pas que j´excellais dans l´injure je viens juste de l´apprendre de vous soit ! Retenez au moins une chose des oiseaux de mauvais augures de votre espèce doivent être erradiquer avec méthode , si vous avez l´intention de faire la propagande du régime en place rendez vous sur les sites du PDG . Ici la plupart des intervenants aspirent à un changement politique au gabon , vos arguments frises le ridicule car un gabonais serieux ne saurait faire l´apologie d´un régime qui a contribuer à la misère des gabonais , si vous cherchez des promotions à votre retour au gabon c´est pas ici qu´il faut venir mettre en exergue votre devouement pour bongo , vous avez plusieurs options soit aller donner vos f… aux hommes du pouvoir de libreville ou porter leurs valises lors des campagnes .

  9. ESSONE MBA
    Dieu m’a donné des mots dont j’en fais des armes
    Il m’a donné des phrases et j’en fais d’elles des bombes
    donc une rame de papier et une armée de feuillets me permettent d’abattre ton dictateur et vous y compris,de vos stupides préjugés qui font du Gabon une imposture.

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