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Albert Bernard Bongo, Paul Mba Abessole, Pierre Mamboundou: Triste camouflet d’une génération maudite

1- Un Albert Bernard Bongo toujours bestialement égal à lui-même: animal il fut, animal il restera;
2- Des élections sans autre but que la énième confiscation des valeurs républicaines d’une nation prise en otage;
3- Un gouvernement ingouvernable de par sa pléthore d’ineptes, de tonneaux vides, de malades et d’unicellulaires mentaux
4- Un Mamboundou vaincu par les dolès abandonnant la vraie problématique du combat politique pour s’adonner aux inutiles gesticulations à propos de l’affaire Mbanié, un peu comme le furent ses inutiles gesticulations post-élections présidentielles;
5- Une Université empêtrée dans d’interminables grèves à répétition: toujours les mêmes sons de cloches, vingt-ans plus tard…
6- Un peuple paupérisé qui ne sait plus où donner de la tête?.
Mais que diable se passe-t-il donc dans ce Gabon empêtré dans la broussaille des connivences machiavéliques, la boue du parasitisme politique et le marasme du clientélisme pacificateur? Triste culture, hélas, que celle inculquée aux Gabonais par Omar Bongo, culture qui substitue à l’art de bien gouverner les ignobles principes de l’art du bien bouffer?
Au Gabon, ce n’est plus simplement une question de qui se ressemble s’assemble. Nous avons, dans ce pays, inventé un dicton nouveau: « qui bouffe bien s’assemble mieux ».

Ayant fait le tour de sa harde, et étant à bout de souffle malgré sa dernière soupape de sécurité nommée Mamboundou Pierre alias le dernier joker du dernier dictateur quadragénaire de la planète, Bongomar, l’enfant perdu d’Ondimba, n’a eu d’autre choix que de compter sur les mêmes mendiants et parasites politiques qui ne prient le ciel que pour sa pérennité. Maintenir le roi agonisant c’est s’assurer de continuer à bouffer, même les miettes. A cette allure, ce sera bientôt au squelette de Bongo qu’on fera lire des discours à la nation au 17 août, car il faut à tout prix sauver la paix du ventre des affamés politiques.
Quelle clique d’assoiffés en effet! La Lettre du continent du 08-02-2007 l’a bien qualifiée par le nom de « Bongo Band » gouvernemental. Sous prétexte de ménager les équilibres politiques et ethniques, Albert le petit a reconduit son orchestre cacophonique de malades mentaux, malgré le fait que ce groupe fait de parvenus et de recyclés en tous genres ait depuis longtemps fait la preuve irréfutable de son incompétence. Mais au pays de Bongo, la compétence, on l’oubliait, ne se mesure qu’à la capacité de bouffer plus que tous les autres.
Et que de gesticulations inutiles ! Regardez ce faux gouvernement d’incapables qui, sitôt formé, annonce des grands travaux avec de l’argent’ emprunté !! Regardez aussi le frère Mamboundou saouler ses nouveaux milliards. A peine (dé)nommé par son nouveau (ou ancien ?) « papa Bongo » comme leader sans portefeuille de l’opposition, voici notre jeteur de cartons rouges devenu député honorifique qui implore les Gabonais et leur demande de se plaindre sur l’affaire Mbanié ! Et se plaindre, cela veut dire quoi, Monsieur Mamboundou ? Et se plaindre à qui, où, comment, et pour quel résultat ? Il ne suffit pas de se plaindre, encore faut-il savoir pourquoi on se plaint et ce qu’on attend comme résultat de la plainte. Or, est-il possible de se plaindre au-delà du verbiage, c’est-à-dire par l’action révolutionnaire quand un milliard de F CFA grossit soudain la fente d’une poche soudain remplie ?
Hé ben ! Quel réveil comateux ! Que croyait Mamboundou ? Ou plutôt qui croyait-il tromper, le frère Mambound, en montant son cynique simulacre électoral avec celui-là même qui est à l’origine du micmac de Mbanié, son faux assassin-sauveur qui multiplie chaque jour des tentatives d’assassinats sur son allié, qu’il laisse par la suite libre d’aller à la télé annoncer qu’on a voulu l’assassiner, sans pour autant impliquer celui qui en serait le seul commanditaire possible ? Que de paradoxes !
Allons donc, frère Mambound, soyons clairs. Pour expliquer aux Gabonais la trahison de Mbanié, tu t’attaques aux sous-fifres que son Mba Obame, Paul Toungui et les autres diablotins, que tu accuses d’avoir vendu leur pays. Mais tu sembles soigneusement éviter de mentionner le nom du vrai responsable, c’est-à-dire le très vénéré Yaya Omar Albert Bernard Bongo Ondimba Papa. Mais quand-même, frère Mamboundou : depuis que tu vis enfermé à Ndendé, n’as-tu pas encore compris que dans le Gabon de Yaya Omar, des gens comme Mba Obame, Paul Toungui et les autres avortons ne peuvent pas comme cela décider de par eux-mêmes d’aller vendre leur pays sans la complicité du patron de la mafia lui-même, c’est-à-dire Omar Bongo ?
Ne vois-tu pas, frère Mamboundou, que de la même manière que Bongo, par amour de l’argent, a vendu Air Gabon et Gabon Telecom aux Marocains et le Gabon aux Français et aux Chinois, c’est exactement de la même manière qu’il aura vendu à la Guinée équatoriale l’îlot de Mbanié ? Alors, pourquoi gesticules-tu si fort à vouloir faire croire au peuple que ce sont des trouffions comme Mba Obame et Paul Toungui qui, seuls et sans en avertir leur commanditaire, auraient d’eux-mêmes, décidé d’aller vendre l’île Mbanié à nos frères de Guinée équatoriale ?
Non, frère Mamboundou, tu n’es pas clair. Quand il y a crime, il faut nommer les vrais responsables. Mba Obame et Paul Toungui ne peuvent pas prendre une telle décision tous seuls. La preuve : depuis que tu gesticules en les accusant, est-ce que Bongo les a virés du gouvernement ? Non ! Ils sont toujours là, n’est-ce pas ? S?ils y sont toujours, c’est que Bongo est satisfait de leurs « services » de vente. Alors, pourquoi accuser le chien alors que ce chien a un propriétaire ? Si tu te fais mordre par un chien, est-ce le chien que tu poursuis en justice ou son propriétaire ? Paul Toungui et André Mba Obame sont les toutous chiens-chiens de Bongo : ils accomplissent les basses besognes au seul nom et pour le seul compte de Bongo. Alors, pourquoi évites-tu soigneusement de t’attaquer au seul vrai responsable et demander, par exemple, la démission immédiate d’Omar Bongo du pouvoir pour crime de haute trahison envers la nation gabonaise ?
Non, frère Mamboundou. Tu te trompes de cible et de combat. Ne laisse pas le milliard du dédommagement et les milliards de l’ombre t’assombrir cet esprit si vif de cartons rouges que les Gabonais te connaissaient. Il fut un temps où, en 2005, tu appelais encore chat tout ce qui était chat, et chien tout ce qui était chien. Mais depuis que tu as toi-même donné inexplicablement la victoire à Bongo après deux élections successives, et depuis que tu as hésité à lui balancer ton fameux carton rouge en plein visage, on ne te reconnaît plus.
Vois-tu, frère, nous au BDP-Gabon Nouveau, nous sommes clairs et nous l’avons toujours été. Notre constat a toujours été simple car basé sur quatre principes de base très clairs :
1)      Omar Bongo est un imposteur. Il n’a jamais gagné d’élections démocratiques au et ne peut donc pas être reconnu comme président du Gabon ;
2)      Omar Bongo est le premier responsable de la ruine du Gabon et des crimes commis contre la nation gabonaise par les ennemis internes et externes de la nation.
3)      Rien de bon ne peut plus se passer au Gabon tant qu’Omar Bongo est au pouvoir.
4)      Par conséquent, Bongo Doit Partir, et avec lui tous ceux qui de près ou de loin ont contribué à la mort du Gabon, par tous les moyens possibles.
Alors, devant des principes aussi clairs, où sont les tiens, frère Mamboundou ?
1)      Avant hier tu nous disais que Bongo devait partir.
2)      Hier matin tu nous disais aussi que tu étais le nouveau président élu du Gabon
3)      Hier soir, tu vas rencontrer Bongo pour lui demander de partir, mais tu ressors tout K.O. groggy par le milliard qu’il t’avait promis et tu nous dis tout d’un coup qu’après tout, tu t’es trompé, que Bongo est maintenant ton « papa », comme hier il est devenu le papa de parasites célèbres comme Mba Abessole ;
4)      Et maintenant, tu parles de Mbanié comme si « papa » n’était pas impliqué dans cette trahison ? Ekié, frè Mambound, c’est comment même?
C?est à croire, ô frères Gabonais, que Mamboundou commence à vivre le tournis du milliard dans lequel il s’est gracieusement jeté. Un tournis qui va l’emporter dans les abysses du parasitisme prévus pour lui par Bongo lui-même. Le même sort que Mba déboisé, le bûcheron qui fut abattu par son propre arbre. Anwa !
Mais doit-on s’en étonner ? Mba Abessole fut le joker de Bongo lancé dans l’arène en 1989 pour canaliser les énergies révolutionnaires vers le cul de sac des espoirs déçus, de l’abandon et de la passivité. Près de deux décennies plus tard, au moment où se sentait de nouveau le vent des révolutions, un autre pigeon fut sorti du chapeau du prestidigitateur. Et voilà !
Sérieusement, vous pensez, vous Mamboundou, que c’est en braillant du haut d’un chapiteau de l’Assemblée parasitaire comme vous le faites dans vos meetings rougement trompeurs que vous viendrez à bout d’une gangrène généralisée comme celle du « Bongo-Band », si vous y avez pensé un temps soit peu ?
Nous sommes pourtant ici dans une situation si avérée, si chronique, si irrémédiable qu’on s’étonne encore de voir un fameux leader autoproclamé de l’opposition, qui ne dispose que de 8 députés sur les 120 bongoïsés que compte l’Assemblée nationale manioc, faire croire au peuple que c’est avec cette piteuse représentation qu’il démocratisera le Gabon. Mais, si le frère veut se masturber ainsi, nous ne pouvons, quant à nous au BDP, le rejoindre dans ce type de fantasmes. Il demeure que nous sommes aujourd’hui en présence d’un pays de fous, où ne sont la règle que l’arbitraire, la falsification des institutions, la corruption, le mensonge, les compromissions et les connivences machiavéliques.
Mais nous savons tous, du moins ceux qui ont le don de l’observation savent tous que les apparences et gesticulations actuelles ne sont que la face cachée du monstrueux iceberg gabonais. Après les jeux de la cour de récréation, papa Bongo a distribué les « bonbons ministriques » à 50 de ses mwanas, et les enfants sont contents. Ils peuvent repartir en classe pour ronfler et paresser en attendant la prochaine récréation ! Et le jour où ils seront en danger de perdre le bonbon, il suffira d’aller sur un plage la nuit noyer un malheureux à qui ont arrachera les couilles et le sexe pour donner au marabout du quartier. Il parait que c’est comme cela qu’au Gabon on s’assure désormais les postes de ministres. Quelle carence, quelle petitesse !
Un certain Michel Blongolo serait entrain d’écrire une biographie sur Bongo l’unicellulaire incompétent en chef. Que pourrait bien contenir ce livre quand on sait à la lanterne comme au projecteur que ce ne fut, ou ce n’aura été, qu’une très mauvaise prestation, avec à son actif une multitude de cadavres et de squelettes dans le placard ?
Un « président » non élu démocratiquement, donc imposteur ; une créature foncièrement inhumaine, incompétente, corrompue, obtusément malade du mental (il faut l’être pour rester au pouvoir 40 ans durant sans rien de bon à présenter comme bilan), septuagénaire croulant sous le poids de l’âge et de méninges fatiguées et dictateur de son règne : quelle biographie peut-on bien étendre sur lui ? Un gros zéro au milieu de la seule page du livre devrait résumer l’?uvre hautement inexistante d’Omar Bongo, sauf si on veut se contenter de compter la pléthore de bambins pondus un peu partout dans le pays, dont certains ne sont même pas de lui.
D?aucuns ont toujours avancé l’épouvantail de la guerre civile pour justifier la paix des ventres. Mais ils ont oublié, en faux psychiatres qu’ils sont, de dire que dans un environnement carcéral exemplifié par la prison, la paix existe aussi, mais la liberté n’est nulle part. Comme quoi paix ne veut pas dire absence de prison ou présence de liberté. Les Gabonais vivent dans une prison qu’on essaie de leur faire supporter en leur offrant l’illusion de la paix. Mais pendant qu’on célèbre la paix, Omar Bongo et sa ribambelle de parasites volent l’argent qui aurait pu permettre d’éduquer et de soigner les Gabonais. Dans un pays où un enfant sur cinq ne voit pas son premier anniversaire à cause du manque de structures sanitaires et hospitalières adéquates, où 62% des Gabonais vivent sous le seuil de pauvreté, la prison est permanente. Le deuil aussi.
Autrement dit, paix au royaume du mépris des institutions n’est que paix à la matraque et avec menottes, paix du chantage politique et du terrorisme d’état, paix par la corruption des âmes et des valeurs cardinales qui régissent les hommes. 
Regardez vous-mêmes. Au moment où le prix du baril de pétrole a presque triplé, c’est-à-dire rapporte au Gabon trois fois plus de revenus qu’en 2000, sept ans plus tard, on ne voit pas où tout cet argent est passé. Du baril à 25 dollars au baril à près de 75 dollars de ces dernières années, on ne voit nulle part l’amélioration du quotidien des Gabonais qui aurait dû en découler. Pire, le Gabon en est encore aujourd’hui à emprunter de l’argent pour construire des routes qui, une fois de plus, ne seront jamais construites. Sur un programme de construction de routes et autres types d’infrastructure de base s’élevant à près de 161 milliards de F CFA, l’état a emprunté près de 140 milliards de ladite somme. Mais ce n’est pas tout. Non seulement les Bongo et tous leurs acolytes bouffent l’argent issu de la manne pétrolière, ils finissent aussi par détourner les quelques milliards empruntés au nom des Gabonais pour de faux programmes routiers et autres qui ne verront jamais le jour. Et ce type de manèges dure depuis 40 ans. Quel drame !
Il n’y a donc que ceux qui ignorent réellement le Gabon qui se poseront encore des questions sur le médiocre inventaire du règne du dictateur septuagénaire du Gabon, homme irrémédiablement atteint du virus de l’incompétence et de la malhonnêteté !
Un pays riche qui compte 62 % de sa population vivant sous le seuil de pauvreté, un chômage qui frappe 61 % des femmes et 39 % des hommes, une mortalité infantile plus qu’inexplicable, voilà la piteuse image du Gabon, pays de contradictions et d’excès en tous genres. Oui, ce Gabon des paradoxes qui occupe le 122e rang sur 177 au classement mondial de l’indice de développement humain ! Un tableau d’autant plus scandaleux que ce classement a encore baissé, avec un Gabon pourtant considéré comme une puissance minière pleine d’essences de qualités, sans oublier le pétrole qui fut fief traditionnel d’Elf, puis de Total,  alors que le pays ne compte même pas, en réalité, plus d’un million d’habitants !!!!!!
A défaut, donc, de progrès, d’améliorations et autres indices prometteurs, c’est le naturel animal de Bongo et de sa clique qui revient simplement à grands galops, car au Gabon, les parasites qui sévissent dans le pays ne se sont pas encore affranchis de leur animalité phylogénique. Evidemment, quand un pays est dirigé par un individu qui n’a qu’un seul neurone pour gérer autant d’équations pourtant simples, bien évidemment il sature très vite et se livre, faute de frein moral, à l’arbitraire et aux loisirs bassement primaires. C?est alors qu’au lieu de gérer l’état, on gère des prostitués en tous genres et on fait des tentatives de kidnapping de Miss Pérou. Et parce que c’est tout ce qu’on sait faire, on devient incapable, à l’ONU, de prononcer un discours sans les papiers, et on se met à balbutier un horrible « Gabon y en a, pétrole y en a ». Quelle honte.
Aux étudiants gabonais mécontents aujourd’hui du manque de dignité auquel les accule le régime intellecticide de Bongo, au peuple gabonais agonisant sous le mépris du dictateur, nous demandons l’esprit du devoir et le devoir de l’esprit. Que tous ceux qui se prétendent différenciés intellectuellement, socialement ou culturellement gravent dans leur mémoire la réflexion suivante : L?inféodation d’un citoyen qui se fait, par conviction ou par nécessité, chantre d’une opposition mensongèrement radicale ou d’un régime basant toute son existence sur la promotion du crétinisme politique d’un gourou incompétent, est toujours le résultat d’une profonde carence d’objectivité et d’esprit critique. C?est ainsi que, même devant des faits et chiffres démontrés universellement, l’on trouvera encore au Gabon, surtout parmi les musiciens de l’orchestre philharmonique du bongoïsme, nouvelles recrues y compris, des unicellulaires en train de faire croire aux naïfs que le changement au Gabon pourra encore survenir sur la base du simple débat démocratique. On s’obstine encore au Gabon à vouloir faire entretenir l’illusion aux yeux des jeunes et des pauvres qui ne voient pas encore. Mais combien de crimes, de vols, de viols et de méchanceté faut-il encore que Bongo déverse sur les Gabonais pour que nous comprenions que le Gabon ne sera jamais démocratique du vivant de Bongo, et encore moins du vivant de ses descendants qui comptent bien pérenniser l’?uvre diabolique du roi nègre ?
Le BDP-Gabon Nouveau a choisi le camp de la révolution, seule voie vers le changement véritable. Qu?avez-vous choisi, vous ? Surtout ne nous dites pas que vous avez choisi la paix, car alors nous comprendrons que vous ne savez pas du tout ce que veut dire ce mot.
Rendons-nous donc à la seule évidence possible. La seule solution au bongoïsme, aujourd’hui, demeure dans le refus catégorique de la bêtise illusionniste que les ennemis du peuple sont en train de servir actuellement aux Gabonais. Et pour être de la plus haute efficacité, ce refus se devra d’être révolutionnaire.
Dr. Bruno Ella
Porte-Parole du BDP-Gabon Nouveau.

BDP-Gabon Nouveau
P.O. Box 3216 TCB
West Orange, New Jersey, 07052

USA

Tel: 973-447-9763 / 973-655-5143
Fax: 973-447-9763 / 973-655-7909
Site: https://www.bdpgabon.org

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Le BDP-Gabon Nouveau (« Bongo Doit Partir, pour la Construction d’un Gabon Nouveau ») est un mouvement politique gabonais de libération nationale en exil dont le siège se trouve dans le New Jersey aux Etats-Unis. Le BDP-Gabon Nouveau (https://www.bdpgabon.org) recherche la suppression du régime Bongo et le départ d’Omar Bongo du pouvoir par tous les moyens possibles. Le Mamba (https://www.lemamba.org) en est la branche armée.

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