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Gabon : L'oraison funèbre des prétendants

Quatre personnalités clés du dispositif institutionnel mis en place depuis la disparition du président Bongo ont promis au disparu, à travers leurs oraisons funèbres, de poursuivre son oeuvre. La teneur de chacune de ces oraisons révèle les ambitions d’au moins trois prétendant à la succession. Premier à prendre la parole pour le compte de la famille Bongo Ondimba, Ali Bongo Ondimba, fils aîné du défunt président et ministre de la Défense nationale, a rendu un vibrant hommage à l’oeuvre de son défunt père, artisan de la paix et de l’unité nationale.

«Tu étais l’homme de toutes les sociétés, de toutes les circonstances, de toutes les cultures. (…) ton arme c’était le dialogue. Le havre de paix que tu as construit et que tu nous lègue, l’a été grâce à ton esprit d’apaisement, ta culture de la tolérance et du pardon. (…) cet édifice va nous permettre d’aborder sereinement l’avenir des enfants de notre pays», a notamment rappelé le fils aîné.

Et de poursuivre comme un avertissement que «grâce à toi et à tes choix et à ta vision, le Gabon s’est affranchi de tous les conflits, préservant ainsi ce bien sacré qu’est la paix et maintenant la douceur de vivre sur cette terre».

Personne n’aura manqué de relever dans l’oraison funèbre d’Ali Bongo un semblant de justification du départ précipité du chef de l’Etat, quand le fils témoigne que «lorsqu’à l’issue des obsèques de ta chère épouse, nous tous avons dû te supplier de prendre du repos, en pensant là encore à ton peuple tu nous as dit : Que vont penser les gabonais de mon absence ?».

Le fils aîné du président terminera par un message d’espoir, aux allures prophétiques, en promettant que «nous tes enfants, ta famille, prenons l’engagement solennel de garder allumer avec l’aide de nos concitoyens, la flamme sacré de l’harmonie familiale, de la concorde républicaine et de l’unité nationale».

Le tour a ensuite échu au premier ministre de prendre la parole devant l’assemblée, des officiels gabonais aux chefs d’Etats français et africains, qu’il laissera perplexe avec des paraboles franches et audacieuses, avec en trame de fond une campagne qui ne dit pas son nom.

Et de commencer en rappelant la place qu’il occupait dans le coeur du défunt président, «Monsieur le président Omar Bongo Ondimba, quand vous avez su que le père de l’indépendance, qui a été votre père spirituel, était mon père par les œuvres de nos ascendants, vous avez su me faire comprendre que ce que la différence d’âge et la distance politique ne pouvait effacer, le sentiment pouvait l’assouplir, ou pouvait le tempérer».

Après un rappel «gabonocentré» de l’accession du défunt chef de l’Etat à la haute magistrature, Jean Eyeghe Ndong revient encore sur ce que Bongo Ondimba lui aura laissé entre les mains, témoignant qu’«avec vous et grâce à vous, j’ai pu approcher l’Etat et en comprendre le fonctionnement. En 1997 et en 2002, les missions de secrétaire d’Etat puis de ministre délégué aux Finances auxquelles vous m’avez nommé m’ont placer au coeur des structures permettant à l’Etat d’assurer son plus grand attribut, à savoir lever les impôts. Mais monsieur le président vous étiez très loin pour moi, même quand je bénéficiais de vos geste qui traduisaient le sentiment profond, d’affection, que vous portiez à ma modeste personne».

«Puis en 2006, vous me nommez premier ministre chef du gouvernement après l’élection présidentielle de décembre 2005 et vous me renouvelez cette gradne marque de confiance par la suite contre vents et marées», rappelle-t-il, expliquant «c’est alors que j’ai pu observer la méthode Bongo Ondimba, intellectuelle, politique, sociale. Et cette méthode a comme sous bassement la tradition dans sa constitution comme dans son système de valeurs. La modernité est dans cette méthode un véritable outil».

Jean Eyeghe Ndong de conclure cette parenthèse comme un avertissement envers qui de droit, «c’est pourquoi le titre de commandement se dit : Président de la République, et la responsabilité s’exerce en aîné».

Faisant face au président français Sarkozy et son prédécesseur Chirac, le chef du gouvernement poursuit ses paraboles aux allures d’avertissements en déclarant qu’«auprès de vous j’ai vu avec quelle force le vent des intrigues souffle dans les allées et les couloirs du pouvoir, qui contrecarre la nationalisation des formations sociales premières de notre pays parce qu’ici et là la recherche de la puissance personnelle pour conquérir une position ou conserver un soi disant acquis en visant la domination au sein d’un état multiculturel comme le nôtre».

«Est ce l’objectif des apprentis sorciers ? Vous êtes parti M. le président, avant que j’ai obtenu de votre bouche ou par quelle qu’autres indication, la réponse à cette question», lance le premier ministre, estimant que «cette réponse va commander le chapitre qui vient de l’histoire politique et nationale du Gabon».

La teneur des propos du premier ministre s’éclaircit crescendo, prenant la triple teinte du conseil paternaliste, de l’avertissement et de la candidature.

«La première génération politique qui inclus le père de l’indépendance, a été une introduction à l’histoire de notre pays, histoire de la construction nationale et histoire des institutions de l’Etat. Vous, Omar Bongo Ondimba, vous constituez le chapitre premier. De l’introduction à vous, la liaison s’est faite sans heurts, parce que l’appel à l’unité du peuple et le fonctionnement de l’Etat étaient fortement imbriqués, les institutions et les agents de ces institutions étant tournés vers le peuple gabonais. Il n’y eu donc pas de rencontres obscures de quelques uns, de promesses de parrainage, de mesures annoncées sans concertations gouvernementales préalables, qui sont ensuite attribuées à la décision du chef du gouvernement», poursuit-il.

Passage biblique à l’appui, Eyeghe Ndong rappelle que «le livre des Rois rapporte que lorsque Robohan succéda à Salomon, il se rendit à Sissem pour entendre les doléances de l’assemblée d’Israël. Les ayant entendu, il consulta les vieillards qui avaient été auprès de Salomon. Ceux ci lui dirent : «si aujourd’hui tu rends service à ce peuple, si tu leur cède et si tu leur répond par des paroles bienveillantes, ils seront pour toujours tes serviteurs». Mais Robohan délaissa les conseils des vieillards et ils ‘adressa aux jeunes gens qui avaient grandi avec lui. Sur leurs conseils, il dit au peuple : «Mon petit doigt est plus gros que les reins de mon père. Maintenant mon père vous a chargé d’un joug pesant, et moi je vous le rendrais plus pesant. Mon père vous a châtié avec des fouets, et moi je vous châtierais avec des scorpions». C’est ainsi qu’Israël se détacha de la maison de David», à bon entendeur salut!

«En France, en 1974, dès l’annonce de la mort du président Pompidou, un gaulliste, et non des moindre, sans attendre les consultations à l’intérieur de son parti, le parti gaulliste bien sûr, annonça sa candidature et commença presque aussitôt sa campagne. La discorde s’installa dans le camp gaulliste pour le plus grand bien de l’adversaire centriste que nous connaissons. Les gaullistes ne retrouvèrent l’Elysée que bien plus tard, en 1995. 21 ans de traversée du désert», poursuit l’orateur.

Clôturant son audacieux propos sur le vibrant et exemplaire hommage rendu par la Nation entière au défunt président, le premier ministre affirme encore que «c’est à ces jeunes, c’est à ce peuple, qu’il revient de rejeter les dissensions, les gueguerres et les luttes effrénées, personnelles ou autres, l’avenir du Gabon est entre leurs mains».

Rappelant encore les propos du chef de l’Etat : «La Constitution, rien que la Constitution», Jean Eyeghe Ndong conclura : «ma position de premier ministre me permet et me commande de le dire ici et maintenant, le Gabon est un pays uni grâce à vous, il nous faut l’unité nationale, il nous faut la paix».

Le troisième intervenant, le président de l’Assemblée nationale, Guy Nzouba Ndama, a rappelé l’oeuvre immense accomplie par le défunt chef de l’Etat, cet homme d’Etat qui a parcouru le monde pour semer la paix, la tolérance et le dialogue.

Son oraison funèbre se s’est située à équidistance de la première et de la seconde intervention, ouvrant la voie à celle de la présidente par intérim, Rose Francine Rogombé, qui a pris l’engagement de respecter la voie tracée par Omar Bongo Ondimba et de perpétuer son héritage afin que le Gabon demeure un havre de paix.

Si l’intérimaire ne peut prétendre au fauteuil présidentiel, les trois précédents orateurs ont toujours été cités aux côtés des autres, comme des prétendants à la succession d’Omar Bongo Ondimba. Dans cette perspective, chaque mot, chaque phrase, de leur oraison funèbre, sonnent comme les prémices des premières page de la IIIe République.

Exprimez-vous!

  1. bravo PM
    J espere que tout ce qui est BONGO et famille proche BONGO ont compris. Nous voulons desormais le changement a la tete du pays.
    Avec tout ce que vous avez a moins que vous ne soyez des pietres gestionnaires, vous pouvez vivre des generations sur generations. Mettez vous dans votre coin, creer des entreprises pour montrer reellement l amour que vous pretendez avoir pour le GABON au lieu de penser encore aller vous servir du gabon et de son peuple. Creer l emploi aux gabonais, construiser les cites pour loger les gabonais. Ne vous fier pas a la compassion qu ont les gabonais face au deces de votre pere. Ils n oublieront jamais, que le seigneur me pardonne pour ce que je dis, que le systeme Bongo (42 ans) est a l origine des problemes dont font face les gabonais.
    Suiver mes conseils, faites profil bas, poser les actes socio economiques avec l argent que vous avez ainsi vous contribuerez a la paix dans ce pays, vous vous feriez aimer, on ne sais jamais de quoi demain sera fait: KEREKOU etait revenu au pouvoir sur election grace a son humilite.

  2. Au fait la paix, la paix c’est tout ce que j’ai entendu dans le bilan de feu Président Bongo. Et
    si la paix ce n’était pas seulement les fusils et et les canons qui résonnent ni le sang et la terreur. Est-ce que le petit gabonais qui souffre la nuit à cause de la piqûre des moustiques dans les « matitis » de Libreville vit en paix? Est-ce le gabonais qui vit au quartier Venez-voir ou autre qui angoisse lorsqu’il entend le tonnerre grondé pour annoncer un orage de peur de voir sa maison s’inondée vit en paix? Est-ce que la mère de famille qui compte sur la vente des sardines fumées du jour pour pouvoir acheter un kilo de riz à ses enfants vit dans la paix? Est-ce que le père de famille qui attend avec une certaine appréhension la rentrée scolaire parce qu’il n’a pas assez de moyens pour préparer la rentrée des classes de ses enfants vit dans la paix? Est-ce que la jeune femme qui vient de décrocher un emploi mais qui ne sait qui gardera son nourrisson par manque de structures d’accueil vit en paix? Est-ce que le gabonais atteint d’une pathologie même bénigne nécessitant des soins les plus élémentaires et qui se sent impuissant et délaissé dans nos hôpitaux-mouroirs par manque de moyens vit en paix? Si je comprends bien la paix, la paix dont prônent les partisans du Président Bongo consistait seulement à laisser Bongo lui-même en paix avec sa clic… Et si les gabonais avaient refusé cette paix si chère à Bongo, n’aurait-il pas dégainé lui aussi? Et Martine Olabou qu’en dites-vous?

  3. Libreville — La Dépouille mortelle d’Omar Bongo Ondimba avait été transportée par l’armée espagnole avant son rapatriement par l’avion du roi d’Espagne sur Libreville le 11 juin. Au sein du sérail politico-familial gabonais, les langues commencent se délier sur la vraie date de la mort de l’ex numéro Un gabonais. Pourquoi ce montage ?
    Bien qu’il avait été admis par toutes les parties concernées par la succession d’Omar Bongo Ondimba que Rose Francine Rogombé, présidente du Sénat devait assurer la transition, les intrigues et les marchandages politiques battent le plein et c’est ainsi que certaines personnes, n’ayant plus rien à perdre, ont décidé de parler et de livrer des informations jusqu’ici connues par un cercle très restreint, écrit le site Visionafricaine.

    On apprend ainsi que c’est depuis le 7 mai 2008 qu’Omar Bongo serait décédé. La nouvelle a été tenue secrète par la France et la famille de Bongo.

    Tpoujours selon le site visionafricaine, « toutes les personnes qui ont assisté aux funérailles d’Edith Bongo (fille de Sassou Nguesso) on remarqué l’état dans lequel se trouvait le président gabonais.

    Et ce n’est pas seulement le décès de sa bien-aimée qui l’affectait ainsi, cette extrême souffrance provenait aussi du cancer qui le menait vers la mort. Plusieurs personnes disent l’avoir vu par moments, grimacer sur sa chaise et donner l’impression qu’il perdait connaissance ».

    Et selon des sources d’informations venues de l’intérieur du cercle familial et politique, « c’est le 7 mai dernier dans les airs, entre le Maroc et l’Espagne, que le Président Omar Bongo a rendu l’âme dans l’avion médicalisé dépêché par la France et qui le conduisait en Espagne… ».

    Alors que son décès est constaté par les médecins qui étaient dans l’avion avec lui, l’Elysée et sa cellule Afrique, en accord avec Pascaline Bongo, Directrice du Cabinet et fille de Bongo maintiennent la destination « Barcelone » et imposent le silence total.

    Pourquoi ? Parce que dit-on, l’Elysée tient à récupérer un certain nombre de documents que possédait (puisqu’il est déjà mort) le Président gabonais. Parmi ceux-ci un dossier sur le financement de la dernière campagne électorale en France.

    En retour la famille Bongo (Pascaline Bongo et son époux Ntoungui- membre du gouvernement-, Ali Ben) mais aussi, apprend-on, Jean Ping l’actuel Président de l’Union Africaine (qui a des enfants avec Pascaline Bongo) et Mba Obame (le puissant ministre de l’administration territoriale, issu de l’ethnie Fang, majoritaire au Gabon-40%-) … tout ce monde demande à la France un certain nombre de choses dont notamment la levée des saisies de compte de la famille en France.

    En plus, Ali Ben exige son adoubement par la France comme successeur immédiat, ce à quoi Pascaline est opposée et continue à s’opposer.

    C’est ainsi qu’on comprend mieux « l’hospitalisation » médiatisée d’Ali Ben à Paris. Devant l’opposition de sa soeur et de ses partisans, il aurait fait appel aux deux Congo et a menacé de faire « sauter les légionnaires sur Libreville ».

    Nicolas Sarkozy et ses conseillers de la cellule africaine ont frappé du point sur la table et décidé d’exfiltrer Ali Ben du Gabon – officiellement alors on annonce qu’il est hospitalisé à Neuilly à l’hôpital américain – mais personne ne confirme sa présence dans cet hôpital.

    Après les discussions parisiennes, Ali Ben est retourné au Gabon pendant que Sarkozy dépêchait en Espagne Brice Hortefeux avec pour mission de convaincre la famille Bongo du soutien de la France.

    Au moment où le Premier ministre français François Fillon arrive à Yaoundé, au Cameroun, nous sommes le 20 mai – il fait alors cette étrange déclaration « Je sais que le président est soigné. Je sais qu’hier soir encore et ce matin sa santé était satisfaisante. Je formule mes voeux de prompt rétablissement à M. Bongo en espérant naturellement qu’il sera remis sur pied le plus vite possible ».

    Pour ceux qui connaissent Fillon, le fils du Mans, catholique pratiquant, on le voit mal à l’aise avec ces africanités teintées de Francafrique, il ne comprend pas pourquoi l’on ne veut pas rendre la nouvelle officielle.
    Le 6 juin soit presque un mois après le décès de Bongo, l’Espagne somme la France de prendre ses responsabilités – le premier ministre espagnol le socialiste Zapatero un ancien religieux jésuite demande à son ministre des Affaires étrangères sous la pression des médecins qui ne comprennent pas qu’on garde dans une chapelle ardente un corps aussi longtemps, et qui en plus n’a pas trouvé la mort dans leur établissement – de rendre la nouvelle publique – le Gabon dit n’être pas prêt et pour les problèmes de sécurité intérieure – L’Espagne refuse de reculer – Comme cela se fait toujours quelques journalistes reçoivent des instructions et c’est alors que le journal Le Point lance un ballon d’essai .

    On décide de dépêcher un avion à Libreville en mission commando avec une conseillère de l’Elysée avec pour mission de ramener en Espagne le premier ministre gabonais – ce qui est fait -. Avant la conférence de presse, les témoins, présents affirment que les membres de la famille Bongo l’auraient menacé de mort : « Salaud ! Si tu dis un mot de travers on te pend haut et court ».

    Le premier ministre Jean Eyeghe Ndong annonce donc que Bongo est en vie ; pendant ce temps, des dispositions sont prises pour rapatrier le corps au Gabon avant que le décès ne soit annoncé. Las d’attendre, l’Espagne annonce le décès et le premier ministre gabonais est contraint de confirmer la nouvelle.

  4. moi jai tjrs cru a cet homme ecoutez ce discour de grande envergure sa veux tout dire le pdg est diviser la chute sera tres grave jai meme peur kil s entretue car tout les coups seront permi big respect a eyeghe ndong et je crois que chirac et sarko on compris que les gabonais ont bien des tetes pensante et eyeghe leur a demontrer cela dans ce discour a nous de regler nos problemes a nous de respecter la constitution pour que vive le gabon

  5. Depuis le décès du Président Bongo, les médias occidentaux désignent M. Ali Ben comme successeur de son père. Et pourtant dans l’oraison funèbre de M. Eyeghe Ndong le Premier Ministre gabonais il y a un passage où il dit ceci en s’adressant à feu le Président Bongo: « Le Gabon est un pays démocratique et uni grâce à vous M. le Président Bongo, vous qui avez dit avec force, notamment ces derniers temps: »LA CONSTITUTION, RIEN QUE LA CONSTITUTION ». »
    Même du haut de ses 41 années de règne sans partage au Gabon, le Président Bongo connaissait l’importance de la constitution, cela signifie en d’autres termes qu’il ne voulait pas que sa descendance s’accapare le pouvoir après sa mort. Il voulait que le prochain Président de la République gabonaise se fasse élire lors d’un suffrage universel. Il a refusé la jeune monarchie que M. Ali Ben et les français veulent établir au Gabon.

  6. J’espère que la référence biblique (dans le livre des rois ) que M. Jean Eyeghe Ndong le Premier ministre du Gabon a introduit dans son oraison funèbre interpellera M. Ali Ben Bongo l’assoiffé du pouvoir qui, au lieu de se préoccuper de l’état de santé de son père, se préoccupait plus du fauteuil présidentiel qu’il convoitait depuis longtemps. Heureusement qu’il ne sera jamais le prochain Président de la République gabonaise.

    Bravo M. le Premier Ministre!!!

  7. Je crois qu’il faut bien relire le premier ministre pour se rendre compte de son mecontentement vis à vis de ali ben.

    « De l’introduction à vous, la liaison s’est faite sans heurts, parce que l’appel à l’unité du peuple et le fonctionnement de l’Etat étaient fortement imbriqués, les institutions et les agents de ces institutions étant tournés vers le peuple gabonais. Il n’y eu donc pas de rencontres obscures de quelques uns, de promesses de parrainage, de mesures annoncées sans concertations gouvernementales préalables, qui sont ensuite attribuées à la décision du chef du gouvernement»,

    ,à titre de rappel le pere de leon mba et le pere de eyeghe ndong sont de meme pere meme mere,

    LE PM VEUT DIRE A ALI BEN QUE QUAND TON PAPA A PRIT LE POUVOIR TOUT S’EST PASSER TRANQUILEMENT.IL N’Y A PAS EU DE MESURE PRISE SANS CONSULTER LES SUPERIEURS.JE CROIS QUE LE PM FAIT ALLUSION A LA FERMETURE DES FRONTIERES DECIDE PAR ALI BEN APRES LA CONFIRMATION DU DECES.C’EST UN SERIEU AVERTISSEMENT QU’IL FLANQUE A ALI BEN.

    ET A LA FIN JEAN EYEGHE NDONG A REMERCIER MADAME ROSE FRANCINE ROGOMBE DE L’AVOIR ACCORDE LA PAROLE.FRANCHEMENT EYEGHE EST UN MONSIEUR TRES INTELLIGENT.C’EST UNE FACON DE FAIRE PASSER SON MESSAGE QUE IL Y A DES GENS QUI NE VOULAIENT QU’IL PRENNE LA PAROLE.QUI CA PEUT ETRE:ALI BEN JE PENSE

    BRAVO JEAN EYEGHE NDONG.CE DISCOURS SERA HISTORIQUE ET CAVA DETERMINER TON AVENIR POLITIQUE.ON PEUT TE FAIRE CONFIANCE.

  8. bravo mr le premier ministre vous confirmer tout le bien que je toujours penser de vous mais malheureusement le systeme en place ne vous permettait pas de montrer de quoi vous etes capable dommage……

  9. un coup de chapeau au premier ministre et surtout il faut que cette pensée plus durer de sa bouge car ns voulons un Gabon meilleur pas un Gabon ou il y a élection présidentielle mais c la même famille royale qui veut encore le pouvoir c fini ça

  10. Bien joué Eyeghe Ndong!Tu as montré à ts ses français et clan Bongo que tu en avait entre les jambes!Il faut quelqu’un pour dire la vérité aux gabonais!

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