Mesdames et messieurs les journalistes
Chers compatriotes
Dans tout ce que vous avez entendu ces dernières 48 heures, il y a du vrai et du faux.
Et comme je n’ai jamais été un homme de mensonges, mais plutôt de vérité, je vais ici dire toute la vérité comme à mon habitude.
Le faux, c’est que nous ayons été incapables de payer la caution requise pour la validation de notre candidature. Il faut comprendre que quand on vient des Etats-Unis et que les délais sont aussi courts, il y a un certain nombre de tracasseries administratives auxquelles nous avons été confrontés, notamment la nécessité d’obtenir un numéro statistique pouvant nous permettre de verser à temps notre caution. Je vous épargnerai les tracas par lesquels nous sommes passés à être baladés d’un service à l’autre, y compris faire la queue pendant des heures pour demander le moindre petit renseignement, et j’en passe.
Nous sommes heureux de dire aux Gabonais que la caution a bel et bien été payée et déposée à la Cour constitutionnelle dans les délais de recours prévus et que, sauf politisation de ma candidature, je devrais sous peu être confirmé comme candidat à la présidence de la République.
Le vrai, c’est que les rumeurs que vous entendez sont le résultat d’un vaste complot ourdi par Ali Bongo visant à me décrédibiliser. Depuis les Etats-Unis, nous savions un certain nombre de membres de la Coordination nationale du mouvement en intelligence avec, et à la solde de Monsieur Ali Bongo. Nous en avons la preuve la plus directe aujourd’hui.
Laissez-moi vous donner, à ce propos, la genèse des événements qui ont émaillé mon arrivée au Gabon :
Lundi 20 juillet, ma collaboratrice Emmanuelle Nguema et moi arrivons à l’aéroport de Libreville comme prévu à 19h30.
Sous prétexte d’avoir organisé ma sécurité, les membres de la Coordination Nationale du BDP-Gabon Nouveau m’arrachent pratiquement des mains de ma famille pour me conduire à la chambre 256 de l’hôtel Rendama.
D’abord, nous nous étonnons, ma collaboratrice et moi, que les membres de la Coordination Nationale disposent de grosses voitures pour nous transporter. Vu que pour toutes choses à faire, ils ont toujours eu à nous demander des fonds, et vu que nous n’avions pas prévu de rester à l’hôtel, mais bel et bien au quartier dans le cadre des arrangements faits par ma famille, notre présence manu militari à l’hôtel Rendama devint intrigante.
Pire, à l’hôtel, les membres de la Coordination Nationale semblèrent tout faire pour empêcher les membres de ma famille de monter me voir à ma chambre. D’autres membres de ma famille ne savaient même pas où on m’avait emmené. Ma collaboratrice et moi nous retrouvâmes donc ainsi séquestrés à l’hôtel Rendama par les membres de la Coordination Nationale.
10 minutes après notre arrivée à l’hôtel, nous comprîmes pourquoi la séquestration avait été organisée. Un homme du nom de Mathias Otounga, Directeur Général de la Caisse de Stabilisation, entre dans ma chambre d’hôtel. Ma collaboratrice et moi nous retrouvons surpris vu que depuis les Etats-Unis, les membres de la Coordination ne nous ont soumis aucun programme de rencontre avec qui que ce soit.
Ma collaboratrice et moi écoutons donc poliment Monsieur Otounga qui nous informe qu’il est là pour me transmettre le désir d’Ali Bongo de me rencontrer. Sans prendre d’engagement ferme, nous disons à Monsieur Otounga que le principe d’une rencontre n’est pas forcément rejeté, mais que nous voulons d’abord avoir une idée claire de notre programme avant que de pouvoir décider de si oui ou non nous pourrons rencontrer Ali Bongo. Et vu que j’avais une candidature à poser, ma disponibilité ne sera pas forcément garantie.
Tout de suite après le départ de Monsieur Otounga, un certain Ossamy du B2 entre dans la chambre pour me dire que toute la sécurité avait été organisée et que des agents du B2 étaient partout pour me protéger.
Quand ma famille arrive finalement à accéder à ma chambre sur mon insistance, nous sentons le traquenard. C’est vers 4h00 du matin que ma famille nous exfiltre de l’hôtel Rendama pour un lieu secret où nous passons le reste de la nuit.
Le lendemain, je pose la question aux membres de la Coordination Nationale de savoir 1) qui a payé pour la chambre d’hôtel et 2) qui a payé les grosses voitures qu’ils conduisaient, ils me répondent que ce n’est pas un problème, de ne pas m’inquiéter et que tout a été organisé par la Coordination Nationale pour me mettre à l’aise et organiser ma protection.
Les sachant d’habitude fauchés, j’ai du mal à croire à cette vague explication.
Je leur reproche alors de ne pas m’avoir demandé mon opinion avant de prendre des engagements et que je n’irai point dormir au Rendama. Je leur demande alors de décommander tout le dispositif qu’ils ont mis en place.
Quand, donc, ils me proposent de rencontrer Ali Bongo mercredi 22 juillet à 10h00, je refuse, leur rappelant l’importance de la conférence de presse du même jour et que je ne pouvais rencontrer Ali Bongo alors que j’avais tant de choses à faire. Apparemment, certains membres de la Coordination Nationale avaient déjà pris un rendez-vous ferme avec Ali Bongo sans m’en informer au préalable. Ils furent déçus.
Le lendemain, ils essayèrent d’organiser un autre rendez-vous avec Ali Bongo, mais cette fois, nous leur offrîmes une fin de non redevoir absolue car nous avions désormais confirmation de l’implication directe d’Ali Bongo dans ce processus.
Nous avions en effet, pour en avoir le cœur net, envoyé notre collaboratrice rencontrer Ali Bongo le 22 juillet et lui dire mon indisponibilité. Le lendemain, j’ai répété l’opération en envoyant des cousins dire de nouveau que je ne pouvais pas rencontrer Ali Bongo.
Qu’est-ce qui ressort de tout ceci ?
1) Que Monsieur Ali Bongo est très gravement impliqué dans ma séquestration, je dirais même kidnapping à l’hôtel Rendama, où il m’a fait conduire manu militari par les membres de la Coordination Nationale dans le but de solliciter une rencontre avec moi.
2) Que Messieurs Paskhal Nkoulou, Edgard Moussavot, Heinz Essongué et Orphée Rekoula, les meneurs de cette arnaque, et qui n’en sont pas à leur premier coup vu qu’ils firent déjà le même cinéma en 2004 avec les frères Bessacque quand ils créèrent le fameux BDP-Démocrate mort-né, et que pour ce coup-ci, ils ont reçu d’Ali Bongo l’assurance de sommes considérables s’ils réussissaient à déstabiliser le BDP.
3) Que le plan de décrédibilisation du BDP Gabon Nouveau s’axait sur trois stratégies majeures :
– Loger Daniel Mengara au Rendama et faire courir le bruit que son séjour était payé par Ali Bongo. Sur ce plan, ils ont échoué.
– Faire rencontrer Mengara et Ali en prenant des photos de la rencontre et par la suite faire courir le bruit que Ali aurait corrompu Mengara. Sur ce plan également, ils ont échoué.
– Ne pas préparer la Conférence de presse du 22 juillet et tout faire pour qu’il n’y ait pas grand monde. Là encore, ils ont échoué.
Sur cette base, en tant que Président et fondateur du BDP-Gabon Nouveau, je déclare exclus du mouvement Paskhal Nkoulou, Edgard Moussavot, Heinz Essongué et Orphée Rekoula et tous ceux qui ont participé à cette mascarade avec eux.
Aux membres de la Coordination Nationale qui n’ont pas participé à cette mascarade, je demande de prendre contact avec moi le plus rapidement possible.
A Monsieur Ali Bongo, je dis simplement ceci : il n’était pas nécessaire pour vous de me kidnapper et de rentrer dans des plans tordus avec des malfrats pour me rencontrer. Kidnapper vos adversaires politiques pour leur parler ne me semble pas être la méthode la plus indiquée pour commencer le dialogue national dont ce pays a besoin pour le redressement national. Si vous désirez tant me voir, je vous invite à un débat télévisé dans lequel nous pourrons échanger nos vues, opinions et visions du Gabon, avec comme témoin le peuple dans son entièreté.
Si donc vous êtes un homme avec le minimum d’intégrité, venez confronter votre vision du Gabon avec la mienne. Les méthodes de kidnapping que vous êtes en train d’utiliser nous rappellent trop les 42 dernières années de meurtrissure au Gabon. Nous osons espérer que ce ne sont pas avec de telles méthodes que vous comptez diriger ce pays !
Au peuple Gabonais, je demande de ne pas vous laisser distraire par ces manigances. Les bongoïstes sont aux abois et savent que mon discours de vérité ne les laissera pas vous mentir une fois de trop. Sachez que Daniel Mengara est un homme intègre qui ne jouera jamais le jeu de la mafia au pouvoir et avec vous, nous disons que nous ne nous laisserons plus faire. Plus jamais. Plus maintenant. Pas cette fois.
Je vous remercie.
Fait à Libreville, le 26 juillet 2009
Daniel Mengara
Président, BDP-Gabon Nouveau
L’homme gabonais est semblable à une bete qu’on voudrait detacher du piege ,à vouloir l’aider elle fini par s’attaquer à vous et par vous mordre.
L’homme gabonais est comme le dollar,il est changeant et fortement depreciant.C’est Mengara que vous traitez maintenant de la sorte aujourd’hui,celui que nous avons toujours tous appreciés,il est devenu menteur,corrompu,traitre.Le souhait de la plupart des gens qui interviennent sur ce site a toujours été que ce dernier rentre au gabon,maintenant que c’est fait vous trouvez autre chose à dire…franchement au lieu de l’encourager vous le vilipendez,c’est tres ingrat de votre part.
Le constat est le meme chez certains qui demandaient le depart de bongo hier,ils sont pret à voter pour le fils aujourd’hui,franchement qu’est ce que les gabonais veulent à la fin?
Ne vous trompez pas d’adversaire, nous savons tous qui nous devons combattre,alors laissez Mengara preparer sa campagne au lieu de chercher à l’affaiblir à moins que vous soyez partisans de la monarchisation du gabon et de la mort de la republique chere à nous tous.
reponse au Patriote!!
eh toi c’est comme sa que tu regler les choses au pays,avec des appels a la violence ? je paris que tu n’ai meme pas au gabon tu dois être un de ces étudiants qui vis a l’étranger a
squatter chez des amis et qui ne veut plus rentrer de peur de vivre ceux que vit les gab’s au pays. Ne t’en fait tu es le seul a avoir entre les jambes conard tu ira te battre contre je ne sais qui tout seul avec ta famille chien toi qui es le vrais gabonais !
O mon Pauvre Gabon …..
Okoukoué,c’est très courageux et honnête de ta part,j’espèrent qu’ils te pardonneront.
LE PATRIOTE,je comprends ta colère,j’avoue que la situation du bled ne peut laisser personne indifférent.Mais je pense que malgré ça,on peut toujours choisir les mots justes pour répondre aux gens comme (Ossougha)sans tomber dans l’injure(J’appelle cela, domination symbolique). Tout comme toi,je pense que la pauvreté et la maladie peuvent être parfois plus meurtrières qu’une guerre.
Et j’ai toujours pensé que la pacification des rapports sociaux entre Gabonais, n’a jamais été l’oeuvre d’Omar.la paix est l’oeuvre des Gabonais eux mêmes,cette paix n’est pas tant une construction politique,mais plutôt,la volonté et le résultat des interactions et de la cohabitaion entre les Gabonais.Car à l’école,on a toujours un voisin ou un ami Qui n’est pas forcément de la même ethnie que soi,au quartier, au travail,en plus notre pays est caractérisé par le brassage des relations matrimoniales interthniques.
ce qui fait que l’on a toujours un parent (germain ou non)dans différentes ethnies:neveu,nièce,oncle,tante,frère,soeur etc.
La confection de cette paix n’a jamais été l’oeuvre du PDG comme le prétendent les bongoistes.Je pense que Ossougha est même la bienvenue sur ce site, malgré ses dires, ainsi que Batouri je pense qu’on n’a pas besoin de prouver sa gabonité pour discuter ensemble des problèmes du pays.
Bonjour, je me permets de vous adresser cette correspondance suite au mail que vous avez reçu ces derniers temps et qui concernait quatre de compatriotes qui sont :
Alain Essone
Aubin Igoué
Lévi Bounda
Leatitia Ibrahim
Dans un élan d’inconscience et sans porté la gravité de cette entreprise, j’ai vous ai envoyé un mail qui relatait les pratiques prétendument obscure de ces compatriotes dans le but de tripatouiller les listes électorales et j’ai aussi parlé, dans un langage virulant de leur vie privée. Je me permets donc de dire ici, que ces compatriotes n’ont pas reçu d’argent j’ai purement et simplement inventé cette information.
C’est pour cela que je veux m’excuser auprès d’eux, pour les préjudices qu’ils ont subit tout au long de cette cabale. Les mots me manquent pour exprimer mon regret, car je sais que cela n’effacera certainement pas les idées préconçues que les gens vont se faire d’eux. J’avoue que les mots utilisés à leur égard étaient d’une violence incommensurable. Je le regrette énormément et je leur présente toutes mes excuses. Je comprends s’il ne l’accepte pas, je comprends aussi les démarches qu’ils ont entamées. Le but de ce courrier est de rétablir la vérité sur les prétendus sommes d’argents, ils n’ont rien reçu, c’est une invention pur et simple de ma part. D’autres part, je regrette profondément les propos que j’ai dis et de manière individuel sur eux., sur leur vie privée. Mon action n’a été commendité par personne, c’est une démarche purement personnelle.
Thierry MADIBILA Manzamba
TEL 0667661863
Résidence Alice Chatenaud
Marseille
Réponse à ossougha,
dis toi, de quelle planert viens-tu? Qu’est ce que t’apelles le calme toi? C’est le calme qui soigne nos compatriotes au CHL?
ou les gens meurent chaque seconde comme les mouches foautes de structures adaptées et de moyens,un pays aussi riche que le notre avec une population d’à peine 1,2million d’habitants???
je crois que des idiots comme toi le gabon n’en a pas besoin.
Ceux qui parlent de calme et de paix,en ma connaissance,le GABON n’a jamais été en guerre,alors j’aimerais qu’on m’explique cette paix dont on parle au Gabon!!!!
Il ne peut pas avoir de changement au GABON sans révolution,c’est comme ça,regardez vous meme les grandes démocraties de ce monde sont toutes passée par là,et aujourd’hui c’est notre tour.
Alors j’appelle ts les gabonais qui ont quelque chose entre les jambes de dire Non à ce « bianfra » et cela quelque soit le prix à payer. Il vaut mieux mourrir dans la dignité que dans la misère,personnellement je préfère mourrir dans la dignité.
Ali ne fera rien de bon pour le Gabon,alors mes frères et soeurs ouvrez les yeux et agissons tous ensemble,il est temps que le peuple gabonais, bayonné et traité comme du bétail pendant un demi siècle par une poignée de criminels,réagisse en masse,si le nigérian veut nous tuer,qu’il nous tue tous,trop c’est trop.
l’heure est grave ..
on change pas la province qui gagne,les altogoveens gouverneront le gabon a jamais
mengara
je doute fort de votre prohibité morale
Bonsoir à tous les « camarades » et à tous les bédépénautes;
Avant toute chose, de quelle légitimité puis-je me prévaloir pour contribuer au débat politique ici? Aucune si, pour avoir le droit de débattre, il faut avoir la nationalité gabonaise. En effet, je n’en ai pas. Mais, ceci ne saurait constituer la raison de ma non légitimité. Tout en ayant pas la nationalité, je suis intimement lié au Gabon qui est aussi mon pays. Je refuse de donner ici toutes les raisons qui m’amènent à affirmer que, tout en n’ayant pas la nationalité, je suis un vrai Gabonais. C’est justement à ce titre que je revendique le droit de donner mon point de vue et de présenter mes analyses.
Si l’on s’en tient aux faits présentés par D. Mengara, j’avoue que c’est très grave et que cela augure des façons avec lesquelles si Ali Ben devenait par la force des choses Président de la République, les Gabonais seront traités. En somme, il a hérité des pratiques criminelles de son père. Par contre, cette version de D. Mengara n’est pas sans appeler quelques réflexions dont je suis sûr qu’en homme « intègre », Dany nous apportera des réponses.
Ce n’est pas au Gabon que celui qui se présente comme le dieu du BDP a découvert qui sont ses kidnappeurs. Pourquoi d’abord avoir accepté les suivre quand sa famille était venue les accueillir? Ceci me rappelle l’arrivée au Gabon de Mba des bois qui avait laissé les membres de la coordination du HCR qui étaient venus l’accueillir pour aller avec d’Ali Ben. On a vu la suite. Je ne dis pas que Dany est ou va faire la même chose. Je trouve simplement troublant cette incohérence. C’est quoi au juste le BDP? Si c’est une organisation politique pourquoi Dany ne s’applique pas les principes dont il reproche le manquement aux autres? La décision d’exclure des membres d’une organisation ne peut être une décision individuelle. Comment mode gestion je trouve que cela fait froid dans le dos. J’ai peur que Dany soit aussi bongoïste; non pas qu’il ait des accointances avec cette autocratie criminelle; mais au sens où il partage les mêmes modes de perception de l’art d’être au monde. Je trouve Dany très imbu de lui-même, condescendant et méprisant vis à vis du peuple gabonais. Il se désigne toujours comme Docteur. Pourquoi? Ce n’est pas qu’on lui conteste quoi que ce soit; je tiens seulement à souligner que tous ceux qui dans l’histoire était imbu d’eux sont devenus de pires criminels: Bongo, Sassous, Mubutu, Biya, Ahidjo, Obiang, Hitler, Lénine, Staline, Mao, Mussoloni, tous les présidents américain, les présidents français de la 5è république et bien d’autres comme Suharto en Indonésie, Pinoché au Chili. La liste est très longue.
J’attends impatiemment que Dany nous présente, comme tous les autres d’ailleurs, son projet de société. Qu’il sorte des généralités qui n’avancent pas les débats. En somme, nous voulons qu’il dise au peuple( les makayas qui représente 90% de la population) gabonais pourquoi il faudrait que le 30 août, il vote pour lui.
Merci à tous.
«un pauvre restera toujours ……. un pauvre»
Désolé pour ceux qui ne comprenne pas cet adage. Aux autres fanatiques à la vue obstruée par un virtuel Mengara Minko Daniel … poursuivez vos beuglements car comme plusieurs l’ont dit ICI, vous faites le jeu de ceux dont vous voulez nous convaincre que vous haissez tellement.
Dommage car, même lorsque la lumière … la chance et … l’histoire se penchent sur le Gabon … nous gabonais et nos «tintins» de candidats … on va tout gaspiller !!!
Webby, normal de faire du ménage … mais lorsqu’un message n’est pas rédigé contre ton patron Mengara : publies-le quand même pour allimenter le débat.
ali b rigolo tu pensais que Mengare est un bassesse comme toi mon petit tu es un pede tu penses que tu peux etre president non voyou repars au nigeria tu sera president des braqueurs nigerians du gabon et les enleveurs de sex
SOS les etudiants gabonais de cuba reclament leur droit de vote en effet en cette date du 28 juillet 2009 aucun d entre eux n a ete inscri sur les listes electorales. faute de representation diplomatique dans ce pays , la delegation des affaires etrangeres chargees de le faire ne fait aucun signe de vie .vu leur passage a cuba il ya moins d une semaine il n ont pas voulu rencontres les etudiants .svp nous devons voter comme tout gabonais car c est une eleccion hitorica pour le gabon
faites circuler ce message svp dans les medias gabonaise
merci
Chères frères et soeurs
Je crois que que nous ne sommes pas encore sorti de l’auberge avec toutes les exactions que nous vivons,je voudrai attirer votre attention sur le choix des gabonais quand à notre prochain président, le camp des soit disants oppsants vous remarquerez qu’il y’a comme « une guerre contre les fangs » vous ne trouverez aucun fang derrière mamboundou et çà simplement parceque tous les candidats potentiels qui puisse exister réellement sont fang a savoir cam la classe et eyeghe ndong dans son franc parlé tout les autres ne sont que des fugurants, troubleures de foules ayons une vision net l’avenir du gabon dépendra de nous même.
Dans le monde entier on sait que lorsqu’on est candidat on démissione sauf au gabon à cause de la constitution truquée par bongo père et son équipe, Avant que mba obam ne nous donne sa vision pour le gabon futur qu’il nous explique d’abord comment fonctionne la machine de fraude du PDG après ses 13 ans de ministrat car c’est bien lui qui gérait ce navire après le varent national.