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Communiqué : Le BDP-Gabon Nouveau dément tout soutien à Ali Bongo Ondimba et dénonce l'imposture des malfrats à la solde d'Ali Bongo

Décidément, le fantasme de la famille Bongo vis-à-vis de Daniel Mengara et du BDP-Gabon Nouveau continue. Cela faisait déjà 11 ans que l’acharnement de Bongo le père a vainement visé à la destruction de ce mouvement et de son leader, sans succès. Maintenant, c’est le fils adoptif Ali Bongo qui s’y met.

Eh bien, qu’Ali Bongo sache que les Gabonais ne laisseront pas s’installer dans leur pays la monarchie du clan Bongo. Pas dans ce Gabon-ci. Pas cette fois.

A ce titre, Le BDP-Gabon Nouveau dément fermement les impostures et les rumeurs colportées et orchestrées par Ali Bongo depuis le 25 juillet dans L’Union et les médias bongoïstes selon lesquelles le Dr. Daniel Mengara aurait été exclu du BDP, le BDP aurait changé de nom et apporté son soutien à Ali Bongo. Tout cela est faux.

Autrement dit :

1) le Dr. Daniel Mengara n’a pas été et n’a jamais été exclu du BDP-Gabon Nouveau comme le rapporte L’Union du 1er août 2009: cela, évidemment, est un mensonge. Le Dr. Daniel Mengara est, et a toujours été, le Président et Fondateur du mouvement « Bongo Doit Partir » (BDP-Gabon Nouveau). Le groupe de malfrats qui se pavanent actuellement au Gabon dans les médias en se présentant comme les nouveaux leaders du BDP-Gabon Nouveau ne sont, en réalité, que des imposteurs affamés à la solde d’Ali Bongo payés pour aller faire des déclarations fantaisistes en échange de quelques CFA. Il est d’ailleurs déplorable que L’Union, comme en 2003 où ses journalistes corrompus avaient déjà annoncé la mort du BDP-Gabon Nouveau, ait colporté ces fausses informations, preuves que cet organe d’Etat est aux mains des forces du mal qui tuent le Gabon depuis 42 ans.

2) le BDP-Gabon Nouveau n’a pas changé de nom pour devenir ce « Bloc Démocratique Populaire » qui a été annoncé dans Gabonews: faux. Ceci, encore une fois, est une fabrication fantasmagorique d’Ali Bongo Ondimba avec la complicité des malfrats qu’il a commandités pour jouer les imposteurs dans les médias. Le BDP-Gabon Nouveau n’a jamais changé de nom et reste et restera toujours « Bongo Doit Partir » tant que le clan Bongo prendra en otage le Gabon. Que les sympathisants, les membres et tous les autres partisans du changement sachent donc que la structure du BDP-Gabon Nouveau à travers le monde reste intacte et le Dr. Daniel Mengara en demeure, pour le moment, non seulement le Fondateur, mais aussi le Président.

3) le BDP-Gabon Nouveau n’a pas et n’apportera jamais son soutien à Ali Bongo : Ali Bongo peut fantasmer comme il veut en créant tous les BDP et BDR qu’il veut, il ne recevra jamais le soutien du BDP-Gabon Nouveau créé par Daniel Mengara, encore moins le soutien de Daniel Mengara. Daniel Mengara ne soutient pas les animaux. Par conséquent, ni le BDP-Gabon Nouveau ni Daniel Mengara n’apporteront jamais leur soutien à un animal comme Ali Bongo spécialiste comme son père des entourloupes et des déviances les plus animalières qui ont tué le Gabon depuis 42 ans. Le BDP-Gabon Nouveau et Daniel Mengara n’ont jamais cédé aux compromissions sous Bongo le père, ils ne le feront jamais sous aucun autre Bongo. Ali Bongo, comme son père, relève de la bestialité qui a tué le Gabon pendant 42 ans et les Gabonais se doivent de s’apprêter à barrer le chemin à ces animaux non seulement à cette élection, mais également jusqu’à leur évincement total des arcanes de la République. Les Bongo doivent partir.

4) Il y a bel et bien aujourd’hui au Gabon une Coordination Nationale officielle du BDP-Gabon Nouveau, qui n’a rien à voir avec le fantasme créé par Ali Bongo, et qui est dirigée par Monsieur Guy Serge Angoué depuis le 24 juillet, date à laquelle les quatre lascars Edgard Moussavot, Paskhal Nkoulou, Heinz Essongué et Orphée Rékoula ont tous été exclus du BDP-Gabon Nouveau pour trahison, collusion avec Ali Bongo et séquestartion du leader du BDP en vue de l’obliger à rencontrer Ali Bongo. Toute autre structure qui se réclamerait du BDP est tout simplement une imposture et, donc, doit être rejetée par les Gabonais. Edgard Moussavot, Paskhal Nkoulou, Heinz Essongué et Orphée Rékoula, les meneurs de cette arnaque, font tout simplement partie de ces parasites politiques qui ont fait du BDP leur fond de commerce en allant vendre année après année la tête de Mengara et la mort du BDP au régime Bongo, sans succès. Le BDP est toujours là et resera toujours là.

Le BDP-Gabon Nouveau pense que les Bongo vivent et ont toujours vécu dans le fantasme. De son vivant, Omar Bongo avait développé le fantasme de rencontrer le Dr. Daniel Mengara et le corrompre comme il a fait avec les opposants du ventre qu’il a corrompus depuis 42 ans. L’histoire retiendra que le Dr. Daniel Mengara a refusé par six fois ces invitations car, avait-il dit, il ne rencontre pas les animaux. Le Dr. Daniel Mengara est même allé jusqu’à raccrocher au nez de Bongo un jour quand un voyou nommé Zibi Bertrand avait été chez Bongo lui dire qu’il pouvait lui faire parler à Daniel Mengara au téléphone. Daniel Mengara a raccroché, disant à cet autre malfrat d’aller se débrouiller avec Bongo vu que lui, Mengara, n’a jamais demandé à parler au téléphone avec Omar Bongo.

Et voilà que le fantasme qui, jadis, hanta le père Bongo a contaminé le fils Ali qui, lui aussi, s’est mis à rêver de rencontrer Daniel Mengara. Le fantasme d’Ali Bongo a commencé le 20 juillet 2009 quand il a fait kidnapper le Dr. Daniel Mengara à son arrivée à l’aéroport de Libreville par un groupe de malfrats (dont les leaders sont les mêmes Edgard Moussavot, Paskhal Nkoulou, Heinz Essongué et Orphée Rékoula qui se disent aujourd’hui chefs du BDP), malfrats qu’il a réussi à acheter au sein de la Coordination Nationale du BDP-Gabon Nouveau pour conduire les basses besognes d’Ali. Ces malfrats, sous prétexte d’assurer la sécurité du Dr. Daniel Mengara, ont  le 20 juillet emmené Daniel Mengara à la chambre 256 de l’hôtel Ré Ndama où, sans le prévenir, ils lui ont fait rencontrer un certain Mathias Otounga porteur d’un message d’Ali Bongo exprimant son désir de rencontrer Daniel Mengara. Mais, comme à son habitude, Daniel Mengara a refusé de rencontrer Ali Bongo. Sentant le traquenard, c’est dans la nuit à 4h00 du matin que la famille de Daniel Mengara l’exfiltre de l’hôtel Ré Ndama pour le cacher au quartier.

Non seulement Ali Bongo s’est illustré comme un kidnappeur, il s’est aussi montré malfrat. Quel était son plan ? Son plan visait à la décrédibilisation du BDP Gabon Nouveau  par trois stratégies majeures :

– Avec la complicité des membres de la Coordination nationale qu’il a achetés, il voulait faire loger Daniel Mengara au Ré Ndama et faire courir le bruit que son séjour était payé par Ali Bongo. Sur ce plan, Ali Bongo et ses malfrats ont échoué.

–  Il voulait ensuite rencontrer Daniel Mengara pour prendre des photos de la rencontre et par la suite faire courir le bruit qu’Ali aurait corrompu Daniel Mengara. Sur ce plan également, ils ont échoué.

– Enfin, ils ont tout fait pour que la conférence de presse de Daniel Mengara du 22 juillet ne se tienne pas et qu’il n’y ait pas grand monde. Là encore, ils ont échoué.

Ayant échoué sur ces plans, il ne restait plus à Ali Bongo que la cartouche habituelle que son père avait déjà utilisée contre le BDP de son vivant dans le but de détruire ce mouvement, c’est-à-dire faire déclarer par des malfrats achetés au sein du BDP-Gabon Nouveau que le Dr. Daniel Mengara est exclu ou mis en minorité dans le BDP. C’est ce qu’on a vu en 2003 quand le régime Bongo a amené Siméon Ekoga en grandes pompes à Libreville pour le déclarer comme le Nouveau Président du BDP. Ensuite, Siméon Ekoga avait déclaré la dissolution du BDP-Gabon Nouveau dans l’Union, pour enfin créer le RDPG, un parti politique mort-né, avant de proclamer son allégeance à Omar Bongo, cet homme qui, selon lui, lui avait donné des conseils, comme un père.

Aujourd’hui, c’est exactement le même scénario. Après avoir corrompu les quatre lascars Edgard Moussavot, Paskhal Nkoulou, Heinz Essongué et Orphée Rékoula (dont certains comme Paskhal Nkoulou et Orphée Rékoula éatient en fait des agents du régime infiltrés au sein du BDP, vu que Paskhal Nkoulou, d’ailleurs, était, a-t-on appris, Conseiller personnel d’Omar Bongo auprès de la Mairie de Libreville), Ali Bongo leur a fait soi-disant « exclure » le Dr. Daniel Mengara du BDP (quelle blague !), « dissoudre » le BDP-Gabon Nouveau (quelle blague !), lui donner le nouveau nom de « Bloc Démocratique Populaire » (quelle blague !), et ensuite, proclamer leur allégeance au malfrat en chef Ali Bongo qu’ils disent soutenir à cette élection. Pas étonnant puisque les Gabonais savent désormais pourquoi tout ce manège a été organisé, depuis le kidnapping de Daniel Mengara le 20 juillet à la fameuse déclaration de soutien des malfrats à Ali Bongo.

Ce disque, hélas pour la famille Bongo, est déjà rayé. Sous Bongo, le dictateur a utilisé ces techniques de division et de corruption de membres du mouvement plusieurs fois. On a ainsi vu, en 2003, la « mort » du BDP proclamée quand Siméon Ekoga alla se vendre au dictateur après avoir reçu 300 millions de CFA. Puis, en 2004, les fameux frères Bessacque firent la même chose en allant créer le fameux BDP-Démocrate mort-né. Aujourd’hui, son père ayant échoué avec ces méthodes animalières, Ali Bongo croit pouvoir réussir à détruire le BDP-Gabon Nouveau.  Soit quelque chose ne tourne pas rond dans sa tête, soit il est malade de la tête comme le fut son père. N’a-t-il pas encore compris que le BDP-Gabon Nouveau ne cessera d’exister qu’avec la fin du bongoïsme au Gabon et que, tant qu’un seul Bongo sera au pouvoir, le mouvement continuera à exister ?

Mais Ali Bongo, comme son père, a tellement peur du BDP-Gabon Nouveau et du Dr. Daniel Mengara qu’il a cru bon d’organiser tout le cinéma qu’on voit actuellement au Gabon. Comme c’est pathétique. En 2003, quand papa Bongo essaya de tuer le BDP-Gabon Nouveau en utilisant les services mercenaires de Siméon Ekoga, il dépensa 300 millions de F CFA. Pour quel résultat ? Echec. Le BDP est toujours là. En 2004, les frères Bessacque reçurent 250 millions pour détruire le BDP. Pour quel résultat ? Echec. Le BDP est toujours là. En 2009, c’est la bande de malfrats Edgard Moussavot, Paskhal Nkoulou, Heinz Essongué et Orphée Rékoula qui reçoit d’Ali Bongo 200 millions. Pour quel résultat ? Echec. Le BDP est toujours là.

Les Bongo sont même allés jusqu’à créer des BDP dans tous les sens, y compris le fameux BDP (Bongo Doit Présider) que le défunt dictateur gabonais avait fait créer à prix d’or à Minvoul pour y contrer le Dr. Daniel Mengara, sans oublier d’autres clones et dérivés comme le fameux BDR (Bongo Doit Rester). C’est dire qu’il n’y a pas un seul mouvement politique au Gabon qui ait autant secoué le régime Bongo tout autant que subi l’acharnement de ce régime . En 11 ans, ce régime a tout tenté pour détruire, discréditer, diviser, cloner le mouvement. Sans succès.

Pourtant, que d’argent de gaspillé, pour quel résultat ? Quel pathétisme de la part d’Ali Bongo, qui, comme son père ne semble pas dormir tranquille la nuit à cause du BDP et de Daniel Mengara. Malgré toutes les tentatives par son père, pourtant, le BDP-Gabon Nouveau est toujours là et Daniel Mengara est toujours là. Les structures du BDP dans le monde sont toujours là. Une chose est sûre, le mouvement « Bongo Doit Partir » reste intact, n’a jamais été dissous ni en 2003, ni en 2004 ni en 2009. Son nom demeure « Bongo Doit Partir » et ce nom demeurera tant que les Bongo se seront pas vidés des arcanes de l’Etat gabonais.

Ainsi commence donc, pour le BDP-Gabon Nouveau, une nouvelle ère de combat anti-bongoïste. Le père Bongo est parti, mais les Bongo, Ali Bongo en tête, restent et veulent organiser la monarchisation du Gabon. Ni le BDP-Gabon Nouveau ni le peuple gabonais ne le permettront jamais.

En cela, le clan Bongo trouvera toujours le mouvement « Bongo Doit Partir » sur son chemin. Le mouvement, plus que jamais, recherchera la fin du bongoïsme au Gabon par tous les moyens possibles.

D’orès et déjà, le mouvement appelle le peuple gabonais à la résistance contre la monarchie bongoՙïste. Le Gabon n’appartient pas à la famille Bongo et les Gabonais doivent tout faire pour débarrasser le pays de cette maladie du bongoïsme qui gangrène notre pays depuis 42 ans.

Voilà pourquoi tous les Gabonais, de toutes les ethnies, doivent s’organiser pour barrer le chemin à Ali Bongo, en disant, dès maintenant, que nous n’accepterons aucune dynastie bongoïste au Gabon. Le Gabon n’étant pas une monarchie, nous refusons le règne d’un Bongo de plus et nous n’accepterons pas la prise en otage du Gabon par les Bongo.

Ali Bongo ne passera pas. Pas dans ce Gabon. Les Gabonais sont prêts à l’en empêcher par tous les moyens possibles.

Les Gabonais disent désormais : Plus jamais. Plus maintenant. Pas cette fois.

Fait le 5 août 2009 à Montclair, New Jersey (USA)

BDP-Gabon Nouveau
P.O. Box 3216 TCB
West Orange, NJ 07052

Tel/fax: 973-447-9763

Exprimez-vous!

  1. tchouooooooooo!!!!!!!!!! quelle honte!!! voilà encore un autre soit disant oposant qui s’est fait achété par ali, je ne pouvais pas imaginer que le soit disant BDP pouvait etre a son tour corompu par ali c’est dommage. ils ont meme fait des declarations publique et ils vont jusqu’ a menacé MENGARA qu’il lui porteront plainte et l’on exclu du parti, franchement nous peuple gabonais on en sait meme qui est qui? je pensais que le BDP qui devient bloc democratique et soutien aujourd’hui ALI appartenait a MENGARA OR IL n’etait qu’un simple partisant? mais comment ferons pour connaitre la verité? que la honte!!!, que la honte!!! d’etre gabonais bande de corompu NKOULOU et son staf seul Dieu vous recompensera de vos actes, vous le payerez vous avez preferez trahir le peuple avec vos faux discours a la con.

  2. dr selon vous quel best le jeu qui se joue en ce moment au gabon?23candidats et la majorité sorteent de la MAJORITE.chers freres ils se foutent de nous.

  3. Cher Mengara, nous sommes au courant ,les Gabonais ne sont pas DUP. Ils savent certains membres de BDP ont été corrompus par Ali.Maintenant, faut aller au bled,dans les villes et villages pour te faire connaitre.car ceux qui n’utilisent pas le net ne te connaissent pas.Puis donner les consignes de votes dans le sens de BARRER la route à ALI.

  4. En cette période incertaine pour le pays, les Gabonais doivent s’imprégner des faits d’intérêt National, et ne doivent pas se diriger vers les querelles et les insultes qui vont nous distraire de l’objectif principal qui est la défense de la constitution gabonaise.

    Peu importe nos convictions politiques, nous avons besoin de lucidité en ces temps.

    Les fins des règnes de Mobutu et d’Houphouet Boigny, ont accouché des guerres civiles interminables dues à certains chefs de guerre assoiffés de pouvoir pour le premier, et certains opportunistes qui n’ont pas hésité de glisser dans la xénophobie pour le second.

    Seulement, chez nous, les stratégies des uns et des autres sont tellement décevantes et ridicules qu’ils poussent le peuple qui ne veut pas être traité d’idiot à ne plus rester silencieux.

    Tout en restant dans une position respectueuse des hommes, de la justice et de transparence, je veux éclairer un fait qui a alimenté les discussions ces derniers jours.

    Dans notre culture gabonaise, que l’on soit du nord ou du sud, quand on élève un enfant, ce dernier devient le vôtre et la relation consanguine n’est pas obligatoire quant à la distribution des biens et autres avantages.

    Autrement dit, si Mme Nkama Joséphine n’est pas la génitrice de Monsieur Ali Bongo, elle reste néanmoins sa mère et donc Monsieur Bongo, son père, à ce titre, le fils qui est donc Gabonais quels que soient ses origines, peut prétendre aux plus hautes responsabilités du Pays de façon, bien sûr démocratique.

    Mais les propos mensongers débités par la mère de ce dernier ne sont pas entrain de lui rendre service. Trop de mensonges de la part de cette femme qui a été de surcroit première dame du pays.

    Venons un peu sur les dates qui peuvent nous apporter un peu de lumière.
    Mme Patience Dabany, de son vrai nom Joséphine Nkama est née le 22 janvier 1944 à Brazzaville au Congo, nous le savons tous, Ali Bongo est né en 1959 à Brazzaville au Congo.
    La mère et le fils ont donc une différence de 15 ans !
    Déjà, il n’est déjà pas très certain que cette femme ait pu mettre au monde cet enfant à 15 ans parce qu’à cet âge elle n’était pas encore l’épouse de Mr Bongo, je vous explique.

    Malgré notre jeune âge, il y a des vieux Gabonais qui peuvent encore nous dire que Mr Bongo Albert Bernard a vécu une première liaison avec Mme Rose Ngoulakia, sœur ainée de Mme Joséphine Nkama et que cette dernière, ne sachant ni lire ni écrire ne pouvait devenir première dame du Gabon.

    Dans le strict cadre familial, elle a été remplacée à son mariage par sa jeune sœur cadette Mme Nkama qui elle, était relativement instruite, tout ceci entre les années 66 à 67, juste avant que Mr Bongo n’arrive au pouvoir.

    D’autre part, ce n’est pas un secret pour les Gabonais, nous savons tous que Mme Nkama, avant de se lier à Mr Bongo, vivait déjà une histoire ou était liée à Mr Ndouna Dépenaud, écrivain-poète Gabonais qui se fera assassiner quelques années plus tard, en 1977 soit disant parce qu’il continuait à fréquenter Mme Bongo Joséphine, cette fois devenue Première.

    Nous voyons tous dans cette histoire que Mr Ali ben Bongo, étant né avant toutes ces dates, ne peut être l’enfant biologique de Mr et Mme Bongo.

    Autre fait présenté par l’ex première Dame du Pays, c’est la Guerre ou plutôt les émeutes entre le Congo et le Gabon.

    Ces émeutes ont eu lieu à la suite d’un match de football, en 1962, tout le monde peut le vérifier dans les annales d’histoires.

    …et ces violentes émeutes ont duré au maximum deux semaines.
    Comprenez donc que quand l’artiste compositeur Patience Dabany affirme qu’ils sont arrivés, elle et sa famille au Gabon le 29 octobre 1960 à la suite de cette Guerre civile, c’est un gros mensonge, elle aurait du évoquer d’autres raisons…

    Tous ces faits historiques ont pour but de signifier clairement qu’en 1959, date de la naissance d’Ali Bongo, Mme Nkama qui n’avait que 15 ans n’était pas déjà liée à Mr Bongo.
    Il y a de nombreuses incohérences entre la date de la naissance de cet enfant, l’âge de la maman au moment de cette naissance, la date annoncée des émeutes entre le Congo et le Gabon, la date et les raisons de leur arrivée au Gabon…

    De toutes les façons je crois que les différentes interventions télévisées de la mère et du fils n’auront pas réussi à convaincre les Gabonais qui, au delà de tout ce qui se trame, ne veulent surtout pas être pris pour des dupes.

    Et, vu la situation politique du pays avec cette vacance de poste qui ne se dénonce pas, on se demande pourquoi autant de justification sur cette nationalité ?
    Jeff, Betty, et Grâce ne sont-ils pas aussi les enfants de Mme Nkama et de Mr Bongo ? Ils n’en sont pourtant pas moins originaires d’Ethiopie ?

    Ce sont les justifications mensongères de Mme Nkama qui peuvent faire naître le « syndrome Ivoirien » dans une culture Gabonaise où l’enfant qu’on élève a les mêmes droits que celui qu’on met au Monde.

    La vérité sortira bien sûr de la bouche de Myboto qui, un jour sera obligé de discuté les intérêts de ses petits enfants pendant le partage du gâteau, ou d’Assélé quand il sentira son pouvoir se rétrécir par « les futurs propriétaires du bord de mer »

    Ce n’est pas un pamphlet politique, soyons juste vigilants en cette période critique pour le Pays. Et ayons un œil sournois sur la grande vague tsunamienne qui est entrain de s’abattre sur les côtes gabonaises.

  5. On assiste a une prostitution claire et nette de quelques délincans qui se disent politicien.
    Je crois encore que les gabonais aiment leur pays. Et ne souhaiteraient pas vivre encore 42 de dictature par un nigérian 100%! D’éjà quand ce dernier a été nommé ministre de la défence les nigérian du Gabon ont fait une grande fête preuve qu’il a encore des attaches et sais d’où il vient.
    Gabonais, Gabonaise qu’elle est l’avenir du Gabon?

  6. Chèr ami et internaute, je profite de cet espace pour vous recommander de signer la pétition pour le report de cette élection en fin septembre, votre contribution peut être utile pour notre pays en tant que partisan du changement non partisan de la résignation et de l’immobilisme.
    voici le site a consulter:
    « http://www.lesangesgardien sdugabon.com/?page_id=77 »

    Je compte sur vous.

  7. Bonjour,
    cher Mengara,c’est à libreville que vous devez être pour battre campagne aux cotés d’un candidat comme Ogouliguendé,et lutter contre les dérives du PDG.Si vous n’êtes pas présent à lbv lors de cette élection vous perdrez beaucoup en estime et en considération car c’est sur le terrain que le peuple veut voir tous les gabonais épris de justice défendre la république.N’attendez pas le 30 au soir pour demander aux gabonais de descendre investir la rue alors que vous serez paisiblement aux USA.
    Le temps de l’action concrète est arrivé.

  8. Je suis choqué, oui choqué et très choqué,
    Le jour de l’arrivée du Dr. MENGARA j’étais à l’aéroport, j’étais l’un des militants inconnu du BDP qui avait vu le docteur. Il était très souriant à son arrivé, je lui tendis ma main et il me tendit la sienne et je compris sur le champ que c’était un homme de conviction, qui aime le Gabon et les gabonais et qui a de vrais projets pour ce Pays.

    Quelques temps après je vis le Dr. MENGARA faire couler des larmes et je le regardais en le tenant à l’épaule (même si il ne peut certainement pas se souvenir) pour lui demander de ne pas pleurer. C’est vrai le Dr MENGARA est un homme, donc a aussi des sentiments, alors il peut pleurer même si il doit être fort.

    Mais ce qu’il faut retenir c’est que ses pleures n’était pas du au fait qu’il avait été exilé pendant 11 ans. C’est plutôt du au fait qu’il avait surement HONTE de ce que sont pays n’avait pas changé 11 ans après sous le régime du putain de BONGO.

    Le jour de sa conférence à la chambre de commerce de Libreville, j’étais là, toujours en militant inconnu, je l’écoutais attentivement. Je suivais ses réponses aux question de la presse (cette presse qui n’a plus de valeur aux yeux des gabonais), je fixais attentivement ses gestes et je compris à quel point il était faché contre les PDGISTES pour avoir cautionner le pillage et la destruction du GABON par BONGO.

    Chèr Président (MENGARA), laissez moi vous dire que DIEU est avec vous, que le combat est loin d’être perdu, que la résistance c’est pour très bientôt et que ensemble nous marchons toujours vers le jour de la LIBERATION TOTAL du GABON.

    Chèrs frères et soeurs, vous ne croyez pas en la force du changement dans ce pays, vous qui acceptez toujours que le Gabon reste entre les mains (ALI et alliés), vous qui laissez le mal s’emparer de vos familles en soutenant le diable (ALI= 666), sachez que la destinée du Gabon est arrivé à la porte d’entrée chez le TOUT PUISSANT et que vous aller rendre des comptes à DIEU dans très peu de temps.

    Que vive le Gabon…

  9. Mon Dieu!!
    Comment est-cepossible?
    ah oui, j’avais oublié: la gabonais est comme le dollar, changeant et fortement dépréciant…
    Je suis vraiment sur le c**! excusez moi du terme mais là , l’heure est grave.
    Antoine Glaser de la lettre du continent disait qu’au Gabon, le seul moyenet le plus simple d’être riche au Gabon est d’être OPPOSANT VIRULENT puis de rentrer dans le gouvernement.
    C’est bien la preuve que le bongoïsmes est toujours là avec ses mêmes armes financiers…bien que Bongo soit mort!

    Réfléchissons


  10. « Recherche SYNONYMES désespérément » pour: Paskhal Nkoulou, Heinz Essongué, Orphée Rekoula et Edgard Moussavot (et acolytes).

    Chers Freres et Soeurs compatriotes, Amis Du Gabon,

    le Gabon de DEMAIN n’est PAS le Gabon de la « politique du ventre », de la PROSTITUTION d’une classe de pseudo-politicards dont l’objectif premier est SEULEMENT de se remplir la PANSE (sans penser) et les poches. Ou celui de la CORRUPTION de l’ame et de l’esprit.

    Cette classe (d’hommes politiques) Gabonais qui (UNIQUEMENT) pour de l’ARGENT ont “invente le medicament contre la honte” (cf. Lord Ekomy Ndong/Movaizhaleine) appartient bel et bien au PASSE et nous n’en voulons PLUS dans notre pays.

    A l’adresse de ces personnes (Gabonais/es pseudo-politicard/es CRIMINEL/LES VEREUX, CORROMPUS et SANS VERGOGNE) qui n’ont pas encore compris que ce temps est bel et bien REVOLU, j’ai commence ci-apres cette liste (« La Liste Heinz-Paskhal ») qui se veut de donner TOUS LES SYNONYMES du mot « ARGENT » dans TOUTES LES LANGUES, DIALECTES, PATOIS ou SLANG ecrits ou parles.

    Aidez-moi a la completer en y apportant votre contribution pour dire N-O-N a cette classse de PSEUDO-POLITIQUES CORROMPUS « moyenageux » !

    Commencons tout d’abord par quelques DEFINITIONS:

    argent
    n.m. argent (lat. argentum)
    1. Métal précieux blanc, brillant, qui peut être étiré sans se rompre.
    2. Ce métal allié à du cuivre: Vaisselle d’argent. Une bague en argent.
    3. Monnaie, en pièces ou en billets; richesse qu’elle représente: Retirer de l’argent à la banque (espèces, liquidités). Avoir de l’argent (= être riche).
    Argent de poche, somme destinée à de petites dépenses personnelles. D’argent, qui, par sa couleur, rappelle l’argent poli: La mer a des éclats d’argent. En avoir, en vouloir pour son argent, en proportion de ce qu’on a déboursé ou de l’effort que l’on a fait. Faire de l’argent, s’enrichir: Un boursicoteur qui fait de l’argent. Homme, femme d’argent, qui aime l’argent, qui sait le faire fructifier.

    (Source: Larousse Pratique. © 2005 Editions Larousse.)

    Voici « La Liste Heinz-Paskhal »:

    l’ARGENT
    le POGNON
    le FRIC
    l’OSEILLE
    les LIASSES
    les CRAQUANTS
    les DOS
    le BLE
    le MAGOT
    le MATOS
    les ESPECES
    le LIQUIDE
    les PESOS
    la TUNE
    les PEPETTES
    les RONDS
    les SOUS
    le FLOUZE
    MIANG (Fang)
    MONOH (N’Toumou)
    M’Bongo (Lingala)
    MAPESA, MIFEDHA (Swahili)
    IMALI (Zoulou)

    A vous de JOUER !

    Da zhaohu,

    Wànshìtong

  11. La vie c’est comme l’école, on apprend tous les jours……! vous n’avez pas fini de connaitre les gabonais mr le docteur..le gabonais n’a plus d’idéal! il est reduit a l’animalité. comme disait un adage célebre: « bete comme un gabonais je meurs »…..voila ce que les leaders vivient au quotidiens, cohabiter avec des bandits qui sont pret a vous vendre et a vendre leur propre pays pour si peu!…..
    en toute franchise j’ai honte d’etre gabonais!

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