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Le BDP-Gabon Nouveau ne reconnaît pas Ali Bongo Ondimba comme président du Gabon

Chers compatriotes,

Du Gabon où je me trouve, je voudrais, au nom du BDP-Gabon Nouveau et du peuple gabonais, dire que notre mouvement ne reconnaît pas et ne reconnaîtra jamais Ali Bongo Ondimba comme président du Gabon.

Ali Bongo Ondimba, comme jadis son père, a démontré qu’il est non seulement disposé à frauder pour gagner, mais aussi à créer au Gabon un état policier et répressif. Mais plus que son père, Ali Bongo sera forcément la personne qui finira de jeter le Gabon dans le gouffre de la guerre civile, de la pauvreté et de la violence. Les 300 milliards tirés du trésor public avec lesquels il a financé son arrogante campagne de gaspillage sont la preuve que cet homme et sa famille sont prêts à tout pour tuer le Gabon. L’imposture politique d’Ali Bongo prouve à suffisance combien il est illusoire d’espérer au Gabon un changement autre que par la violence. La répression policière de ce jour en est la démonstration la plus flagrante vu que, même quand le peuple s’assemble pour des manifestations pacifiques, le régime en place n’hésite aucunement à user de violence et de répression contre un peuple qui n’en peut plus d’attendre.

Cet énième viol du vote du peuple par la famille Bongo, décidée plus que jamais à maintenir son hégémonie monarchique et despotique sur le Gabon, devrait montrer aux Gabonais, comme je l’ai toujours dit, que ce n’est plus par les urnes que le changement arrivera au Gabon.

Tout en apportant son soutien aux candidats Pierre Mamboundou et André Mba Obame, et tout en condamnant les violences physiques exercées contre eux par le régime Bongo, le BDP-Gabon Nouveau appelle plus que jamais les Gabonais à la résistance par tous les moyens possibles. L’insurrection comme outil de changement est désormais obligatoire au Gabon. Cette élection n’aurait jamais dû se tenir.

Parce que Pierre Mamboundou et André Mba Obame sont aujourd’hui dépositaires de la volonté majoritaire du peuple, c’est cette volonté du peuple qu’il faut défendre et affirmer avec tous les moyens que le peuple peut se donner pour se rétablir dans ses droits, et ce même quand on était opposé à la tenue de cette élection comme le fut le BDP. Il ne s’agit plus aujourd’hui de soutenir tel ou tel autre candidat, mais de défendre le vote du peuple tel qu’il s’est majoritairement exprimé contre Ali Bongo le 30 août. Du moment qu’il n’y a aucun moyen idéologique, sociologique ou arythmétique par lequel Ali Bongo peut gagner une élection transparente au Gabon, toute déclaration de victoire de sa part constitue une imposture. A ce titre, il faut la combattre avec la dernière énergie.

Vu que les Bongo ne connaissent que l’animalité et les comportements animaliers, que ceux qui, malgré les nombreux avertissements du BDP depuis 11 ans, et malgré la recommandation du BDP de bloquer cette élection en amont pour en obtenir le report, croyaient encore en la possibilité du changement par les urnes se rendent comptent aujourd’hui que tant qu’un Bongo sera au pouvoir au Gabon, le pays n’avancera pas et le changement ne viendra pas par des moyens de paix, mais par des moyens insurrectionnels. Il faut donc que le peuple gabonais se convainque désormais que le Gabon n’échapera pas à la violence pour se débarasser des Bongo.

Le combat pour un Gabon Nouveau ne peut donc, désormais, que prendre un contour insurrectionnel par tous les moyens possibles et la résistance, la subversion, la désobéissance civile, l’ingouvernabilité et le coup d’état les seules voies vers le salut national.

Plus que jamais, chers compatriotes, Bongo Doit Partir. Au nom du BDP-Gabon Nouveau, j’appelle le peuple à se mettre dans un état de résistance permanente. Ali Bongo ne doit pas finir ses 7 années de mandat usurpé. Faisons de ce mandat l’enfer politique par lequel il regrettera de s’être présenté à cette élection.

Vive le Gabon.
Vive la résistance.

Fait à Libreville, le 3 septembre 2009

Dr. Daniel Mengara
Président
BDP-Gabon Nouveau

Exprimez-vous!

  1. Les Fangs d’un cote(Mba Obame, 25%), les bapunus d’un autre(Mamboudou,25%) et au milieu le reste des bilobs ( Ali, 41%). C’est ca le Gabon que vous voulez?

  2. Monsieur Mengara, l’heure n’est plus au diagnostic, car nous le connaissons tous , nous savons aussi qu’Ali a volé la victoire. la question est de savoir quel stratégie mettre en ^place pour récupérer la victoire du peuple. Je suis d’accord avec vous pour l’insurrection , port gentil montre d’ailleurs l’exemple. pour ma part il faut incendier toutes les maisons des pdgistes , les sapeurs pompier ne peuvent pas circonscrire plus de trois incendies avec les moyens dont ils disposent. et il ne peut y avoir un garde du corps pour chaque pdgiste. puisqu’ils ne respectent pas la loi , ne la respectons pas non plus. lynchons chaque pdgiste , nous savons ou ils habitent. pas de pitié.

  3. Je suis entièremement d’accord avec ce message. je pense qu’on a assez joué avec les Bongo. le peuple gabonais a éxagérement cru en la Cenap, oubliant que ce n’était qu’instrument crée par le clan bongo pour se maintenir à tout prix au pouvoir.
    Nombre de gabonais viennent enfin de comprendre que le vote ne sert à rien tant que le pdg aura les rennes du pouvoir; seules les armes, la désobéissance civile, les journées villes mortes peuvent faire refléchir ce régime despotique.
    ils sont prêts à tuer les gabonais pour perpetuer leur régime prédateur. il est temps de se débarasser d’eux par la violence. on attend un discours dur et ferme de nos leaders. oublions la légalité. si eux ne la respectent pas, nous ne sommes pas obligés de la respecter non plus.

  4. APPEL DU 3 SEPTEMBRE 2009
    (Sylvain Ndong – En référence à l’appel lancé par le Général De Gaulle au Peuple français le 18 juin 1940)A DIFFUSER LARGEMENT

    Chers Compatriotes,

    Ce jour du 3 septembre 2009, nous dirons simplement, parce qu’il faut que quelqu’un le dise, quelle peine, quelle souffrance, quelle colère, quelle révolte, se lèvent dans le cœur de tous les Gabonais aujourd’hui !

    Inutile d’épiloguer sur les diverses conditions de la nouvelle mascarade électorale qui vient de se produire une fois de plus sous nos yeux ébahis. Elle se résume simplement en ceci : le Gabon et les Gabonais sont, pieds et poings liés, soumis à la servitude et à la merci de l’ennemi.

    Mais même si cette servitude semble encore une fois écrite sur le papier, innombrables sont chez nous les hommes, les femmes, les jeunes gens, les enfants, Gabonais, qui ne s’y résignent pas, qui ne l’admettent pas, qui n’en veulent pas.

    Car, se demandent-ils à juste titre, le dernier mot est-il dit? L’espérance doit-elle disparaître? La défaite est-elle définitive ? Non !

    Le Gabon est comme un boxeur qu’un coup terrible vient de terrasser. Il gît à terre. Mais il sait, il sent, qu’il vit toujours d’une vie profonde et forte. Il sait, il sent, que l’affaire n’est pas finie, que la cause n’est pas entendue.
    Il sait, il sent, qu’il vaut beaucoup mieux que la servitude acceptée par le gouvernement de transition.
    Il sait, il sent, que, dans ses villages, dans ses villes, des forces puissantes de résistance sont debout pour sauver son honneur. Déjà, en beaucoup de points des terres gabonaises et de la diaspora, s’est affirmée la volonté de poursuivre la lutte.

    Il sait, il sent, que ses Enfants sont plus résolus que jamais à combattre et à vaincre.

    Il perçoit dans le nouveau monde mille forces immenses matérielles et morales qui, peut-être, se lèveront un jour pour écraser les ennemis de la liberté de son Peuple.

    Il faut qu’il y ait un idéal. Il faut qu’il y ait une espérance. Il faut que, quelque part, brille et brûle la flamme de la Résistance Gabonaise.

    Hommes Gabonais, Femmes Gabonaises, Enfants Gabonais, Ecoliers Gabonais, Lycéens Gabonais, Universitaires Gabonais, où que vous soyez, efforcez-vous de rejoindre ceux qui veulent combattre encore. Un jour, nous vous le promettons, nous ferons ensemble, le peuple gabonais de l’élite, des hommes, femmes et enfants, qui, en commun, rendront la liberté à notre Gabon, et la grandeur à notre Patrie.
    Les chefs qui, depuis de nombreuses années, sont à la tête de nos partis politiques d’opposition, ont formé une coalition. Cette coalition, véritable gagnante de ces élections présidentielles, se dit déterminée à faire définitivement triompher la volonté du peuple.

    L’engagement que vient de prendre la majorité des opposants gabonais, en demandant au peuple de ne guère se laisser voler cette énième victoire, a donc une grande importance et une profonde signification.

    Cet engagement permet aux Gabonais Libres de s’organiser pour continuer la lutte à leurs côtés.
    Cet engagement signifie que l’effort des Gabonais Libres et celui de nos Leaders ne forment plus qu’un jusqu’à la victoire finale.

    Certes, nous avons été, nous sommes, submergés par la force mécanique, financière et psychologique de l’ennemi.

    Infiniment plus que leur nombre, ce sont les armes, les munitions et les hommes de l’armée, qu’ils ont réussi à s’approprier, qui nous font reculer. Ce sont les armes, les munitions et les hommes de l’armée, qu’ils ont réussi à corrompre, qui ont surpris nos Leaders au point de les amener là où ils sont aujourd’hui : dans les urgences.

    Mais croyez-nous, rien n’est perdu pour le Gabon. Car les mêmes moyens qui nous ont fait reculer peuvent faire venir un jour la victoire.

    Car le Gabon n’est pas seul ! Il n’est pas seul ! Il n’est pas seul ! Il a un peuple déterminé derrière lui, qui peut faire bloc avec ses nombreuses tentacules éparpillées à travers le monde, desquelles peuvent provenir des ressources.

    Car cette lutte n’est pas limitée au seul territoire malheureux de notre pays. Cette guerre n’est pas tranchée par la bataille du peuple gabonais. Cette guerre est une guerre impérialiste, une guerre raciale, une guerre africaine, une guerre mondiale. Toutes les fautes, tous les retards, toutes les souffrances, n’empêchent pas qu’il y a, dans l’univers, tous les moyens nécessaires pour écraser un jour nos ennemis. Foudroyés aujourd’hui par la force hégémonique, nous pourrons vaincre dans l’avenir par une force populaire supérieure. Le destin du Gabon est là.

    Quoi qu’il arrive, la flamme de la résistance gabonaise ne doit pas s’éteindre et ne s’éteindra pas.

    A l’heure où nous sommes, tous les Gabonais comprennent que les formes ordinaires du pouvoir ont disparu.

    Devant la confusion des âmes gabonaises, devant la liquéfaction de notre Patrie tombée sous la servitude ennemie, devant l’impossibilité de faire jouer nos institutions, nous, filles et fils de ce Pays, nous avons conscience de parler au nom du Gabon.

    Au nom du Gabon, nous déclarons formellement ce qui suit :

    Tout Gabonais qui porte encore l’espoir a le devoir absolu de continuer la résistance.

    Déposer les armes, évacuer une position insurrectionnelle, accepter de soumettre n’importe quel morceau de terre gabonaise au contrôle de l’ennemi, ce serait un crime contre la Patrie.

    A l’heure qu’il est, nous nous adressons avant tout à la Diaspora Gabonaise, cette Diaspora encore intacte.

    La main tendue par nos ennemis n’est qu’un piège grossier. Dans l’Afrique de Sankara, de Mandela, de Lumumba, de Mandza Ngoukouta, tout ce qui a de l’honneur a le strict devoir de refuser l’exécution des conditions ennemies.

    Il ne serait pas tolérable que la panique du Rond Point de la Démocratie ait pu traverser la mer.

    Patriotes du Gabon, où que vous soyez, debout !

    L’opposition gabonaise, après avoir accepté de participer à une élection frauduleuse, connaît maintenant les plans qu’avait déjà prévus l’ennemi.

    Il résulte de ces plans, que le territoire gabonais serait, pour plusieurs décennies encore, exploité sans relâche, et que le Peuple gabonais sombrerait dans la misère et dans la servitude la plus animalière.

    On peut donc dire que ces élections ont non seulement été une machination, mais mieux encore, un asservissement.

    Or, beaucoup de Gabonais n’acceptent plus la machination ni la servitude, pour des raisons qui s’appellent: l’honneur, le bon sens, l’intérêt supérieur de la Patrie.

    Nous disons l’honneur! Car le Gabon s’est engagé à ne porter à sa tête, qu’un homme ou une femme issu des aspirations profondes de tout son peuple.

    Nous disons le bon sens ! Car il est absurde de considérer la lutte comme perdue. Oui, nous avons subi, comme il fallait s’y attendre, un coup d’état électoral. Un système électoral mauvais, les fautes commises dans la conduite des opérations, l’esprit d’amnésie euphorique des mécanismes de tripatouillage du système bongoiste tout au long de la campagne, nous ont fait perdre la bataille finale. Mais il nous reste un vaste électorat, encore fiévreuse de voir sa volonté de changement aboutir. Il nous reste des alliés, de par le monde, qui soutiennent notre cause, et dont les ressources sont immenses et qui dominent les grandes institutions de ce monde. Il nous reste les gigantesques possibilités des différents gouvernements démocratiques. Les mêmes conditions de fraude qui nous ont fait perdre de 1993 à 2005 peuvent donner, demain, la victoire par une parfaite organisation des moyens et des hommes qu’il nous faut consacrer à cette lutte.

    Nous disons l’intérêt supérieur de la Patrie! Car cette lutte contre la servitude et le pillage systématique de nos ressources n’est pas une guerre spontanée qu’une bataille puisse décider. Cette lutte est une guerre impérialiste, une guerre raciale, une guerre africaine, une guerre mondiale. Nul ne peut prévoir si les peuples qui sont neutres aujourd’hui le resteront demain, ni si les alliés de nos ennemis intérieurs d’aujourd’hui resteront toujours leurs alliés demain. Si les forces de la liberté triomphaient finalement de celles de la servitude, quel serait le destin d’un Gabon qui se serait soumis à l’ennemi?

    L’honneur, le bon sens, l’intérêt de la Patrie, commandent à tous les Gabonais libres de continuer la lutte, là où ils seront et comme ils pourront.

    Il est, par conséquent, nécessaire de grouper partout où cela se peut une force Gabonaise aussi grande que possible. Tout ce qui peut être réuni, en fait d’éléments insurrectionnels et de capacité de nuisance du système insidieusement perpétué, doit être organisé partout où il y en a.

    Fait en Exil, le 3 septembre 2009

    Sylvain NDONG
    http://sndong.free.fr

  5. JE SUIS ENTIEREMENT DACCORD AVEC VOUS LE DOC,NOUS DEVONS RENDRE LE GABON INGOUVRENABLE,NOUS NOUS ORGANISERONS PAR QUARTIER,PERSONNE NE DOIT, TRAVAILLER,NI ALLER A L’ECOLE,NI AU LYCEE,AUCUN TRANSPOT EN COMMUN,TAXI,CLANDO ETC…..
    AU RISQUE DE VOIR SA MAISON BRULEE,POUR CELUI QUI N’EST PAS AVEC LE PEUPLE,LE MOT D’ORDRE EST:IL FAUT QUE SA BRULE TOUS LES JOURS.

  6. Monsieur Megara. J’ai un fusil que j’ai achete, et je suis pret. j’habite dans un quartier de Libreville. je suis a votre ecoute. je n’attend que des consignes soi de vous ou de Mamboundou ou de Mba Obame.

  7. URGENT-URGENT
    merci docteur pour votre implication dans le processus de liberation de notre pays. la revolution est la seule arme qui reste au peuple gabonais pour se liberer. je voudrais à ce titre donner mon plan de liberation. 1) boycott economique et social du pays, que personne ne se rende au travail, que les infrastructures economiques port d’owendo, terminal petrolier du cap lopez soient sabotés. destruction à différents endroits du territoire national du reseau ferroviaire pour que le manganese ne sorte pas, incendie des stations services.
    2) destruction et pillage des biens français ambassade et ccf, avec pris en otage de certains ressortissants français. 3) prise en otage des parents proches (enfants, femmes ou maris) des tueurs du gabon : ndoungou, aboghe ella,gondjout etc. pour qu’ils ressentent la memme douleur que celle de plusieurs familles touchées par les atrocités des crimes rituels.

    le peuple vaincra,

    le peuple vaincra,

  8. Il faudrait que le Daniel Mengara/BDP Gabon Nouveau serve de M-E-D-I-A-T-E-U-R entre les deux partis: celui de Andre Mba Obame et celui de Pierre Mamboundou qui continuent jusqu’alors a REVENDIQUER CHACUN la victoire de la PSEUDO-election qui a eu lieu le 30 aouut 2009. Si chacun d’eux revendique a lui tout seul sa victoire, c’est que leurs resultats seraient egalement « TRAFIQUES ». Donc, il faut qu’ils se mettent d’accord sur UN RESULTAT UNIQUE et l’un doit reconnaitre l’autre comme « vainqueur » et combattre AVEC LUI la RECONNAISSANCE du SCRUTIN du PEUPLE GABONAIS.

    Tant que ceux-la ne seront pas encore en mesure de PARLER D’UNE MEME ET UNIQUE VOIX, ils ne pourront pas UNIFIER et RASSEMBLER le peuple autour d’un meme et UNIQUE CAUSE, d’um meme OBJECTIF: L’ACARTEMENT D’ALI BONGO et de TOUT SON CLAN, de TOUTE SA CLIQUE et de TOUS SES porteurs de valises, pour permettre un DEVELOPPEMENT socio-ecomique et politique du Gabon.

    Da zhaohu,

    Wànshìtong

  9. La proposition de resistance est bonne. mais avec quoi le peuple va t’il resister? ou est la force du « Mamba Vert »? je pensais qu’a ce niveau des choses, la force de liberation du BDP devait intervenir.

  10. Oui Mr Mengara a raison,depuis tout le monde vous ecoute.Mais une chose le peuple c’est comme une armee il faut un leader,une strategie d’attaque.Le peuple ne peut pas se lever comme ca sans objectif precis.Aller vers des militaires armes les mains nues est un suicide infructieux.Or si on organise des commandos organises peut-etre que l’on verrait des resultats concrets et progressifs.Je repete Mr Mengara VOUS AVEZ RAISON,mais votre vision il faut la transmettre en tant que leader,donc avc des consignes d’attaques.Ali N’EST PAS PRESIDENT car les opposants n’ont pas signe les P.V… Soutenant tous nos leaders car on en a tjrs attendu,le grand jour est arrive PLUS JAMAIS,PAS MAINTENANT,PAS CETTE FOIS…ali baba toi et tes 40 voleurs vous etes condamnes a mort pour trahisant contre le peuple gabonais

  11. Je dis oui, que les gabonais fassent front devant cette imposture d’Ali Bongo Ondimba il n’est pas et il ne sera jamais le président du Gabon, l’imposture a été démasquée au grand jour et on veut nous faire croire le contraire.Les gabonais ont choisi et par tous les moyens nous le ferons reconnaitre et respecter.Monsieur Pierre Mamboundou , Président de la République Gabonaise nos voeux de prompt rétablissement vous accompagnent, de tout coeur avec vous pour le rétablissement de la vérité.Vivre ou mourir nous vaincrons!!!!!

  12. Je pense qu’il est temps pour les gabonais de se poser une seule et unique question:
    veulent-ils d’ali ben bongo? Si le gabonais qui vit dans les mapanes, l’étudiant qui trime à l’université, le retraité qui a été spolié de sa pension,
    le malade qui ne peut bénéficier de soins de santé corrects, si toutes ces personnes pensent que leur salut passe par ali ben bongo ondimbus, un individu qui a dilapidé l’argent du pays dans des futilités; alors je ne dirais qu’une chose: un peuple a les dirigeants qu’il mérite. Par contre s’il ne veut pas de lui, je pense qu’il est temps que nous lui montrions à lui et aux amoureux de la françafrique, que nous sommes plus déterminés qu’eux. Quels moyens possédons-nous pour montrer notre désapprobation au coup d’état électoral qui vient de se produire? Il y a la cour constitutionnelle mais personnellement je ne vois pas mboratsuo contester la victoire du demi-frere de ses enfants. Personnellement je pense que la contestation doit passer par l’insurrection. Pour ce faire, il faut mettre en place des techniques qui ont fait recette dans le passé. Il faut savoir que lors de toute insurrection, il est primordiale que les insurgés ne concentrent pas l’ensemble de leurs actions au même endroit. Il est préférable de constituer des petits groupes mobiles pour obliger les forces de l’ordre à se disperser. Eviter les affrontements directs avec les représentants de la loi car ils sont armés et nous nous ne le sommes pas. Donc d’après moi je répète, la tactique de destabilisation doit s’appuyer sur des petits groupes mobiles qui devront tout brûler pour que le monde entier voit notre détermination, car seul un homme déterminé est prêt à perdre tout ce qu’il possède pour ses opinions, ses droits et sa liberté.
    J’exhorte donc tous les gabonais qui sont contre ondimbus fils le nimbus à se soulever et à commettre des incivilités par petits groupes, comme par exemple brûler le lycée Leon Mba, brûler le lycée d’Etat, l’université Omar Bongo, l’ENS, RIO, Kinguélé, etc…..si possible simultanément, de cette façon les forces de l’ordre ne pourront pas contenir la rébellion. Pour ceux, nostalgiques, qui pourraient regretter ces endroits,
    je leur dis que de toute façon, ce sera un mal pour un bien car le nouveau président, quelqu’il soit, aura alors l’obligation de réconstruire à la place, des infrastructures dignes de ce nom.

  13. Oui Mr Mengara a raison,depuis tout le monde vous ecoute.Mais une chose le peuple c’est comme une armee il faut un leader,une strategie d’attaque.Le peuple ne peut pas se lever comme ca sans objectif precis.Aller vers des militaires armes les mains nues est un suicide infructieux.Or si on organise des commandos organises peut-etre que l’on verrait des resultats concrets et progressifs.Je repete Mr Mengara VOUS AVEZ RAISON,mais votre vision il faut la transmettre en tant que leader,donc avc des consignes d’attaques.Ali N’EST PAS PRESIDENT car les opposants n’ont pas signe les P.V… Soutenant tous nos leaders car on en a tjrs attendu,le grand jour est arrive PLUS JAMAIS,PAS MAINTENANT,PAS CETTE FOIS…ali baba toi et tes 40 voleurs vous etes condamnes a mort pour trahisant contre le peuple gabonais

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