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Genocide a Port Gentil: Ali Bongo fait des victimes

Une des victimes d’Ali Bongo a Port Gentil

Exprimez-vous!

  1. (A Resistance d’Oyem)….vous allez vous retrouver entrain de vous entretuer..bande de maboules !!!! Vos freres gabonais qui betes comme vous autres ont tire sur la foule a Port gentil sont des Camerounais????????? N’importe quoi!!! Les gabonais sont trop betes, le monde entier le sait. Ils seront a jamais GABOMA=Gabonais Maboules !!! L’Election d’Ali Ben Bongo est la punition de Dieu pour la haine et la xenophobie des gabonais. Savez vous combien d’Etrangers sont maltraites dans votre pays? Savez vous combien d’innocents ont ete pilles, battus, aggresses, tortures, parce qu’il sont Etrangers??????? AUJOURD’HUI C’est votre tour. Un Etranger vous dirige. Quelle Honte??? Votre maboulisme est confirmee!!! Vous allez faire comment? le « naiigier » (Nigerian) comme vous aimez a le dire vous preside…il vous gere. Comme si cela ne suffisait pas au lieu de calmer votre honte et reflechir a un plan de secours, vous vous engagez dans la rue vous acharner sur la population Etrangere. Quels malheureux !! Vous cassez les boutiques des Etrangers qui vous nourrissent chaque jour. Et en plus vous mangez a credit!!!!!! je vous assure qu’un de ces quatres, ils vont vous faire manger votre propre chair dans un plat (A bon entendeur). Vous allez le payer, tot ou tard. D’ailleurs je me demande s’ils ne le font deja pas??? Ca a commence a Port gentil, vous avez casse les magasins des Etrangers, ces memes Etrangers vous vendent le pain a 250Frs, et vous allez acheter, est ce que vous avez le choix??? Arretez d’etre tant Maboules, sans l’Etranger vous n’etes rien !!! Si tous les Etrangers s’en vont, qu’allez vous manger??? Comment allez vous vivre??? Triste sort pour une population denuee de raison. En passant, si tous les Gabonais etaient pareils….je ne vous compteraient pas parmis l’espece humaine…Gloire a Dieu, il ya des exceptions !!! J’ose esperer que toi lecteur en fais partie.

    Un Camtchek.

  2. Face au massacre de port gentil, nous avons changé de décision avant on laissait nos frères retourner au cameroun sans aller revitailler les gens à LBV, nous allons tirer sur des grumiers maintenant. Ceux qui ont des frères conducteurs doivent savoir que nous n’allons plus percé les roues mais on va tirer sur des chauffeurs car on a fait comprendre qu’aucun grumier ne doit plus transporter le bois du woleu ntem.
    Nous irons chercher des puces étrangers demain et des appareils pour des images. Nous voulons nous rendre à port gentil pour nous battre au coté de nos frères et mourrir ensemble au lieu de mourrir de moustique et de misère.
    Les gens de LBv ne verront plus un camion du cameroun ou du nord les ravitailler.
    Notre groupe a plus de 106 éléments maintenant pour 20 fusils, ceux qui peuvent nous aider. le net marche mal et il y a des coupures c’est pour çà qu’il est unitil de couper le courant à oyem, la seeg coupe le lus très souvent.
    Résistance d’oyem

  3. Gabon : résistance contre la mascarade électorale

    Ali Bongo a été déclaré vainqueur avec 41,73 % des voix. Pierre Mamboundou, arrivé troisième lors de la présidentielle, a été blessé à Libreville lors de la dispersion d’une manifestation de l’opposition

    C’était escompté : la Cour constitutionnelle gabonaise a confirmé l’élection d’Ali Bongo à la présidence du Gabon après un scrutin très contesté, le nouveau président ayant été le tout-puissant ministre de la Défense, avec la haute main sur l’appareil sécuritaire d’un Etat rompu aux fraudes électorales. Pis, la télévision nationale a ouvertement roulé pour le candidat du parti au pouvoir et une télévision privée, appartenant à André Mba Obame, l’un des candidats, a tout bonnement été fermée. Malgré ces manquements élémentaires aux règles du « fair-play » démocratique, « Baby Zeus », comme on surnomme Bongo fils, n’a pas reçu de coups de règle de la part de l’Elysée, où l’on suit de très près la situation de ce petit émirat pétrolier si vital, fleuron de la nébuleuse Françafrique.

    Gabon dispose de ressources qui depuis longtemps ont enrichi la France

    Malgré les proclamations de neutralité de la France, personne n’était dupe, depuis qu’abandonnant ses promesses de « rupture » annoncée par Nicolas Sarkozy, à son arrivée au pouvoir, l’héritier de Jacques Foccard, barbouze en chef de la Françafrique, l’avocat Jacques Bourgi, a eu la peau de Jean-Marie Bockel, ancien secrétaire d’Etat à la Coopération qui, sans doute par naïveté, a cru aux promesses de « rupture » du candidat Sarkozy. C’est que si le Gabon est un tout petit pays, il dispose, avec ses exploitations pétrolières, ses forêts, son manganèse et son uranium, de ressources qui depuis longtemps ont enrichi la France et, au passage, le clan Bongo.

    Enfin en finir avec 41 ans de dictature clanique

    Avec la disparition du patriarche, les Gabonais espéraient en finir avec ces 41 ans d’élections truquées, de fraudes électorales, de détournements d’argent public, de pillage des ressources naturelles par le clan Bongo, ELF et AREVA, sans compter le transfert de valises pleines d’argent à destination des partis politiques français. Ils doivent déchanter. D’où les manifestations de colère dans la capitale et à Port-Gentil, fief de la compagnie pétrolière Elf, absorbée depuis par Total, où plusieurs centaines de partisans de l’opposant le plus intransigeant, Pierre Mamboundou, arrivé troisième du scrutin, ont forcé les portes de la prison de la ville et libéré les détenus. Peu après, ils ont incendié une partie du consulat général de France, pillé des magasins en ville et saccagé des stations essence Total.

    Le poids des ethnies dans ces pays aux frontières artificielles

    C’est qu’au poids de la dictature s’ajoute celui des ethnies qui, dans ces pays aux frontières artificiellement héritées de la colonisation, est gouverné par une dynastie membre d’une ethnie minoritaire, celle des Téké. Alors que Pierre Mamboundou, blessé à la tête lors d’une manifestation, restait sans nouvelles, alimentant le phantasme de sa disparition, son parti appelait à la « résistance ».

    19:13 Publié dans afrique | Lien permanent | Commentaires (10) | Envoyer cette note | Tags : bongo, bourgi, sarkozy, rupture, pierre mamboundou
    Commentaires

    Merci Jean-Marcel Bouguereau pour cet article. Je suis Franco-gabonaise et c’est l’un des premiers que je trouve complet et juste pour le peuple gabonais.
    Merci.

    Ecrit par : Julianne | 05.09.2009

    Depuis deux ou trois jours, les langues commencent se délier au sein du sérail politico-familial gabonais. Surtout qu’il a été admis par toutes les parties concernées par la succession d’Omar Bongo Ondimba que Rose Francine Rogombé, présidente du Sénat devait assurer la transition, comme prévue par la constitution. Les intrigues et les marchandages politiques battent le plein et c’est ainsi que certaines personnes, n’ayant plus rien à perdre, ont décidé de parler et de livrer des informations jusqu’ici connues par un cercle très restreint.

    On apprend ainsi que c’est depuis le 7 mai que Omar Bongo serait décédé. La nouvelle a été tenue secrète par la France et la famille de Bongo.

    Toutes les personnes qui ont assisté aux funérailles d’Edith Bongo (fille de Sassou Nguesso) on remarqué l’état fantomatique dans lequel se trouvait le président gabonais. Et ce n’est pas seulement le décès de sa bien-aimée qui l’affectait ainsi, cette extrême souffrance provenait aussi du cancer qui le menait vers la mort. Plusieurs personnes disent l’avoir vu par moments, grimacer sur sa chaise et donner l’impression qu’il perdait connaissance. Et selon des sources d’informations venues de l’intérieur du cercle familial et politique, c’est le 7 mai dernier dans les airs, entre le Maroc et l’Espagne, que le Président Omar Bongo a rendu l’âme dans l’avion médicalisé dépêché par la France et qui le conduisait en Espagne. Alors que son décès est constaté par les médecins qui étaient dans l’avion avec lui, l’Elysée et sa cellule Afrique, en accord avec Pascaline Bongo, Directrice du Cabinet et fille de Bongo maintiennent la destination « Barcelone » et imposent le silence total.
    Pourquoi ? Parce que dit-on, L’Elysée tient à récupérer un certain nombre de documents que possédait (puisqu’il est déjà mort) le Président gabonais. Parmi ceux-ci un dossier sur le financement de la dernière campagne électorale en France – En retour la famille Bongo (Pascaline Bongo et son époux Ntoungui- membre du gouvernement-, Ali Ben) mais aussi, apprend-on, Jean Ping l’actuel Président de l’Union Africaine (qui a des enfants avec Pascaline Bongo) et Mba Obame (le puissant ministre de l’administration territoriale, issu de l’ethnie Fang, majoritaire au Gabon-40%-)…tout ce monde demande à la France un certain nombre de choses dont notamment la levée des saisies de compte de la famille en France. En plus, Ali Ben exige son adoubement par la France comme successeur immédiat, ce à quoi Pascaline est opposée et continue à s’opposer.

    C’est ainsi qu’on comprend mieux « l’hospitalisation » médiatisée d’Ali Ben à Paris. Devant l’opposition de sa soeur et de ses partisans, il a fait appel aux deux Congo et a menacé de faire « sauter les légionnaires sur Libreville ». Nicolas Sarkozy et ses conseillers de la cellule africaine ont frappé du point sur la table et décidé d’exfiltrer Ali Ben du Gabon – officiellement alors on annonce qu’il est hospitalisé à Neuilly à l’hôpital américain – mais personne ne confirme sa présence dans cet hôpital. Après les discussions parisiennes, Ali Ben est retourné au Gabon pendant que Sarkozy dépêchait en Espagne Brice Hortefeux avec pour mission de convaincre la famille Bongo du soutien de la France.

    Au moment où le Premier ministre français François Fillon arrive à Yaoundé, au Cameroun, nous sommes le 20 mai – il fait alors cette étrange déclaration « Je sais que le président est soigné. Je sais qu’hier soir encore et ce matin sa santé était satisfaisante. Je formule mes voeux de prompt rétablissement à M. Bongo en espérant naturellement qu’il sera remis sur pied le plus vite possible ». Pour ceux qui connaissent Fillon, le fils du Mans, catholique pratiquant, on le voit mal à l’aise avec ces africanités teintées de Francafrique, il ne comprend pas pourquoi l’on ne veut pas rendre la nouvelle officielle.

    Le 6 juin soit presque un mois après le décès de Bongo, l’Espagne somme la France de prendre ses responsabilités – le premier ministre espagnol le socialiste Zapatero un ancien religieux jésuite demande à son ministre des affaires étrangères sous la pression des médecins qui ne comprennent pas qu’on garde dans une chapelle ardente un corps aussi longtemps, et qui en plus n’a pas trouvé la mort dans leur établissement – de rendre la nouvelle publique – le Gabon dit n’être pas prêt et pour les problèmes de sécurité intérieure – L’Espagne refuse de reculer – Comme cela se fait toujours quelques journalistes reçoivent des instructions et c’est alors que le journal Le Point lance un ballon d’essai -.

    On décide de dépêcher un avion à Libreville en mission commando avec une conseillère de l’Elysée avec pour mission de ramener en Espagne le premier ministre gabonais – ce qui est fait -. Avant la conférence de presse, les témoins, présents affirment que les membres de la famille Bongo l’auraient menacé de mort : « Salaud ! Si tu dis un mot de travers on te pend haut et court ». Le premier ministre Jean Eyeghe Ndong annonce donc que Bongo est en vie ; pendant ce temps, des dispositions sont prises pour rapatrier le corps au Gabon avant que le décès ne soit annoncé. Las d’attendre, l’Espagne annonce le décès et le premier ministre gabonais est contraint de confirmer la nouvelle.
    © Correspondance : Jean-Basile Makundu / CyrcomNews (Libreville)
    Par Jean-Basile Makundu / CyrcomNews (Libreville) – Publié dans : Actualité

    Ecrit par : article du net | 05.09.2009

    Selon libération, Ali Ben Bongo a bien perdu l’élection

    « De fait, certaines sources affirment qu’Ali Ben Bongo ne serait arrivé qu’en deuxième, voire en troisième position. «Il a eu soixante-douze heures pour rectifier les résultats des urnes», confie un observateur averti (Gabon : Ali Bongo et les 40 % – Libération). »

    Comme en Iran

    Ecrit par : luc | 05.09.2009

    Merci !

    De tout cœur merci pour ces infos que nous pensons véridique.

    En effet nous (Gabonais) nous doutions de se genre de scénario, et c’est se qui explique que maintenant les Français vont devoir plier bagage et quitter le territoire Gabonais pour un certain temps !

    Malgré toutes les tares que certains nous attribuent, nous ne sommes pas dépourvus de discernement, et nous savons bien que jamais le monde n’a été géré par la compassion ; mais plutôt par l’avidité, la convoitise, et la manigance.

    Se qui viens de se passer au Gabon est un grand malheur pour la démocratie, les Gabonais, l’Afrique en générale, l’Afrique Francophone en particulier, les Français qui aime l’Afrique, mais aussi ceux qui ne l’aime pas tout en en tirant profit !

    Quant à la politique de la France dans se domaine, elle finira par donner des fruits ; mais peut être pas ceux attendus.

    Merci encore!!!

    Ecrit par : Mapengue | 05.09.2009

    Faut pas rêver !

    Il n’y aura rien de plus. les morts ? Puf ! tout le monde s’en fout. D’ailleurs on savait ce qui allait se passer ce n’est donc pas une surprise.

    Les autres candidats ne sont pas aussi crédibles que ça:

    Mamboundou peut-être, ex-exilé mais qui a bénéficié d’une villa offerte par….Bongo.

    André Mba Obame, rigolo et fils de Bongo, jumeaux d’Ali, ex du PDG bof !

    http://allainjulesblog.blogspot.com/2009/09/allo-libreville-gabon-ne-repond.html

    Ecrit par : AJ | 05.09.2009

    Une démocratie bizarre : pourquoi une élection à un seul tour alors que André Mba Obamé (25,88%) + Pierre Mamboundou (25,22%) font plus de 51% contre 42% pour Ali Ben Bongo ?

    Ecrit par : j.michel | 05.09.2009

    @j.michel
    Excellente question !

    Ecrit par : jm bouguereau | 05.09.2009

    Julien Dray est petit bras, Bernard Kouchner a mieux avec un rapport facturé 2,6 millions d’euros au Gabon, soit près de 173 000 euros la page.

    Grace à ce rapport, on apprend que les hopitaux du Gabon sont en ruines et qu’il faudrait une sécurité sociale.

    Personne, au Gabon, ne savait avant que les hopitaux du Gabon étaient en ruines. Les gabonais ne s’en étaient pas aperçus..

    Ecrit par : luc | 05.09.2009

    Voilà qui démontre encore le rôle trouble de certains officiels français qui mettent en danger, de façon délibérée, les ressortissants français vivant au Gabon.

    La compétition politique démocratique est la seule issue pour un partenariat gagnant/gagnant entre la France et ses anciennes colonies.

    Toute autre voie isolera la France dans ces régions. Pour longtemps.

    Que le peuple français se démarque de ses hommes politiques dont la conduite mène à la mort et au désordre au Gabon.

    Ecrit par : Luc36 | 05.09.2009

    Comment voulez-vous nous faire croire qu’Alain Bernard Bongo soit le président élu du Gabon ?
    Il dit être né, le 9 février 1959 à Brazzaville, de Patience Dabani (Joséphine Cama) et de Albert Bernard Bongo, l’avez-vous vérifier au Centre National de l’Identité à Nantes.
    Quelle histoire, quelle mémoire, pour notre pays ? Tout n’est que mensonge et faux. Ali Bongo a fait usage de faux pour se faire élire et la France qui le sait mieux que tous, ose dire : « nous acceptons cette élection ».
    Pourquoi, cet acharnement ? De quoi la France a-t-elle peur ? Nous aussi sommes des hommes tout au moins, nous le croyons. Pourquoi vouloir, à tout prix, nous priver de notre droit à disposer de nous même. Pourquoi vouloir à tout prix, nous aliéner ? Pourquoi vouloir à tout prix, nous réduire à la servitude ? Pourquoi vouloir à tout prix nous mette sous le joug d’un homme immoral, fourbe, méchant, égoïste, menteur et tricheur. Liberté, Egalité, Fraternité, ou donc sont partis les français, où est passé le pays des droits de l’homme. Et vous, journaliste que faites-vous pour la vérité, pour la liberté, pour le droit ? J’en appelle à votre conscience d’Homme, j’en appelle à vos valeurs morales, j’en appelle à votre cœur pour que le mensonge, le faux, l’injustice, la méchanceté ne triomphent pas de la vérité, du droit et de la justice.
    Dites à Sarkozy, à Kouchner, que notre sueur et le sang de nos pères ont coulé pour servir la France. Demander leur si pour eux nous sommes des Hommes, qu’ils nous rendent donc notre liberté de penser, de nous exprimer, d’exister.

    Ecrit par : og-ac | 05.09.2009

  4. Il est URGENT que le monde sache qu’un compatriote du nom de Guy BADELAS a entamé une grève de la faim ce jour devant l’Ambassade du Gabon à Paris « Pour non à la reconnaissance des résultats frauduleux de cette élection » nous vous…… prions de passer le réconforter et que les médias et le médecins soit sensibilisé. Passez le mot

  5. Comme je l’avais dit dans mon précédent post je pense qu’il est temps
    que le gabon s’enflamme, et j’espère qu’après ça, tel un phenix, mon pays
    renaîtra de ses cendres. Que l’ensemble du peuple gabonais se souvienne
    pour toujours de la bravoure des port-gentillais. Mais nous ne pouvons pas
    laisser les gens de l’ogooue maritime porter sur leurs seuls épaules
    le poids de toute la rébellion. Tout le gabon doit s’enflammer, toutes les provinces
    sans exception. Il faut que les nostalgiques de la françafrique comprennent
    que la révolution en Afrique est en marche. Nous devons faire entrer l’afrique
    dans l’Histoire (n’est ce pas Mr sarkozy). Habitants de l’ogooue maritime, du
    Woleu Ntem, du Moyen ogooué, de la Ngounié, de l’ogooué lolo, de la Nyanga,
    du Haut ogooue, de l’ogooue ivindo et de l’estuaire, sachez que l’heure n’est plus aux
    tergiversations, à la retenue ou au recours constitutionnel, il est temps de tout
    brûler, d’embraser le pays que les occidentaux voient que nous sommes des
    gens déterminés. Nous reconstruirons des maisons, des universités, des lycées,
    des collèges dignes de ce nom après. Pour le moment Brûlons tout. Je rappelle
    qu’il est primordiale de constituer de petits groupes mobiles pour contraindre les
    forces de l’ordre à se disperser. Ne pas concentrer l’ensemble des forces en
    un point: ce serait la déroute assurée. Il faut brûler tout ce qu’il est possible de
    brûler. Il faut purifier la terre gabonaise des miasmes du clan bongo. Aux
    port-gentillais je voudrais dire ceci, il faudrait réussir à embraser le site de la
    SOGARA. Comment faire? Il faut avant tout éviter les pertes humaines. pour
    ce faire, il faudrait réussir à s’infiltrer dans la brousse au niveau du rond point de
    la cfg ou ailleurs peu importe, et de là, se rapprocher le plus près possible des
    installations de la sogara le plus discrètement possible et créer un départ d’incendie
    depuis les broussailles qui, avec la grâce de dieu et le vent, atteindront cette satané
    raffinerie. Après avoir déclencher l’incendie, le commando n’aura plus qu’à se replier
    discrètement par le chemin emprunté à l’aller.

  6. Je soumets ici un post de tiget que j’ai trouvé personnellement très instructifs
     A- A la tombée de la nuit (18h00-19h00 heures locales) avec des barres de fer de diamètre 6 ou 8 mm (2 à 3m de long crochues) et/ou des fils métalliques) à provoquer des courts-circuits le long des lignes électriques nues 20kv dans toute les villes (Libreville et Owendo). Inutile de vous prévenir des dangers et des risques si une étude préventive d’accident n’est pas considérée lors des planifications d’actions.
     B- Ou alors disjoncter les postes qui se trouvent dans des quartiers afin de faire réagir toute la population qui aurait tendance à succomber à la somnolence et à la passivité comme d’habitude et perturber l’économie du pays, économie pillée par ses derniers (Ali et tous ceux du PDG qui veulent perpétuer toujours dans la quiétude les détournements de l’argent des contribuables et des richesses du pays).

     C- Ou alors, si les militaires empêchent ces actions en ville, se rabattre sur la route nationale pour entreprendre les même activités de déstabilisation s (sur les lignes de transport 90kv et 225kv qui alimentent la capitale et périphéries) qu’ils vont nommées « SABOTAGE »… dites moi, rendre le pays dans son état actuel n’est-il pas du « SABOTAGE » ? alors qui sont les premiers et vrais saboteurs des biens de ce beau Pays?

     D- Si la répréhension militaire est très strict sur la route nationale, ce qui m’étonnerais (car ils ne peuvent pas diminuer l’effectif militaire dans la capitale), alors continuer à NDOUANANG (avant KANGO) il y’ a une entrée qui mène jusqu’aux usines Hydro-électriques de KINGUELE et TCHIMBELE et sur cette route ou piste d’éléphant, et en pleine forêt, il y’ a des zones (sommets des montagnes pour minimiser les risques) qui offres une bonne possibilité de provoquer des courts-circuits sur les pylônes des dites Lignes (90.000 et 225.000 voltes car le risque est plus grand pour des plus grandes tensions mais l’action est faisable) car la SEEG et des sociétés prestataires (SETEG, ENELEC,SOGEC, EGPEI…) vont s’atteler à rétablir à chaque fois la tension, plus les coupures se feront… il y’aura du boulot et ces sociétés, comme elles sont peu nombreuses et manquant de câbles de rechange… ne pourront pas indéfiniment rétablir.

     E- Ou enfin sortir la « grosse artillerie » avec des dynamites (qui sont trouvables à la cimenterie de n’toum) industrielles faire exploser les pylônes ou les ponts (ACAE et KANGO…). Et plusieurs autres actions visant à atteindre les mêmes objectifs.

    Le But de Ces actions est d’interrompre les fournitures d’électricité et de l’eau dans la capitale, de séparer les deux communes (Libreville et Owendo) et la capitale de l’intérieur du pays (KANGO)… en vue de perturber l’économie du pays, d’instabiliser le climat social et de démontrer que la PAIX, c’était les voleurs des biens du pays qui l’avait pour se remplir les poches sans être inquiétés ni menacés et c’est l’unique et meilleurs moyens intelligent sans trop d’effusion de sang pour faire plier les voleurs des résultats des urnes aux désidérata de la population.

    Conséquences :

    •Les sociétés dans la capitale ne pourront plus travailler, les travailleurs seront en grognes et disposés à manifester non point pour se mettre en face des armes des Pédégistes mais rejoindront la Résistance Intelligente et Efficaces (la RIE) pour diversifier les actions de déstabilisation économiques.

    •Les Ministères ne pourront plus ouvrir leurs portes les agents de l’état seront aux chômages partiels prêt à rentrer dans le maquis intelligent.

    •Les étrangers (commerçants) qui cautionnent, qui soutiennent et participent aux comportements antipatriotique s verront les menaces très sérieuses pour une fois dans notre pays et réfléchiront à cinq fois avant de continuer leurs manœuvres.

    •Ils y’ aura des décès dans les structures sanitaires qui sont sans groupes électrogènes ; mais à qui la faute ? Si ces structures sont sans moyens auxiliaires et autonomes d’alimentation électrique ? Même notre propre chef (Bongo Ondimba) du village (Gabon) est allez chercher le guérisseur (médecine moderne) et mourir dans un autre village (Barcelone en Espagne) choses inadmissibles dans nos us et coutumes du temps jadis !

    •Les nombreux Ministres et voleurs du pays pendant 42 ans ou plus, vont pour une fois dans leurs vie passer deux à quatre nuits blanches sans climatisations ni ventilateurs… et comprendront finalement que le peuple gabonais s’est réveillé de son long sommeil hivernal et que l’heure des actes du changement à sonnée non pas en parole comme les autres fois mais par les actes volontairement décidés.

    •Il n’y aura plus d’eau potable (pompes électriques à l’arrêt), plus de stations services en services (rupture de gas-oil, essence…), plus de télévision pour plusieurs (pour que le pouvoir ne procède plus aux lavages des cerveaux du peuple par les médias d’état et leurs proches), plus de téléphones pour tous, plus d’internet pour tous, etc. !

    • Ne serait ce pas le prendre au mot quand il dit: Agir ensemble ?
     Il agit en volant le choix des gabonais ; le peuple agit ensemble pour récupérer son choix ;
     Il agit avec son ensemble pour menacer de mort (armée sur les villes pour tuer les Gabonais…) ; le peuple agit ensemble pour sa naturelle et légitime défense ;
     Il agit avec son ensemble pour troubler la quiétude, la paix des Gabonais ; alors ensemble nous agissons comme lui car il nous a invités à agir ensemble ; n’es-ce pas ?

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