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Revue de la presse (par Gabonews)

REVUE DE LA PRESSE : « Ali Bongo Ondimba au sommet de l’UA – Alain Claude Bilié brise le silence – La coalition des calomniateurs se perd en conjectures – Couac au Consulat du Gabon à Pékin – Qui en veut au ministre de la communication ? ».

La présence d’Ali Bongo Ondimba au Sommet de l’UA, les vérités d’Alain Claude Bilié Bi Nzé – débouté du RPG – les récurrents « griefs » de la coalition des candidats malheureux de l’élection présidentielle contre les nouvelles autorités du pays, les difficultés d’obtention de visas d’entrée au Gabon dues à des manœuvres inexpliquées au Consulat du Gabon à Pékin et les élucubrations d’une certaine presse contre Madame le ministre de la Communication à propos de la clé de répartition de la subvention qu’accorde annuellement l’Etat à la presse écrite, sont entre autres les sujets-phares traités, la semaine écoulée, par la presse locale.

Refrains compilés

D’entrée, daignez accepter, chers internautes et annonceurs, nos sincères excuses de vous avoir sevrés – indépendamment de notre volonté indéfectible de vous servir de façon optimale – de votre rubrique prisé, en l’occurrence la ‘’Revue de la presse’’ que nous vous proposons chaque week-end. A l’impossible nul n’est tenu. Hélas ! Notre seule argumentation. L’essentiel étant que nous soyons de retour pour un plaisir renouvelé et partagé avec vous.

SOMMET DE L’UNION AFRICAINE

Actualité obligeant, commençons notre tour d’horizons par ce sommet de l’Union Africaine, auquel le numéro un gabonais prend, depuis samedi, une part très active et distinguée, pour discuter avec ses pairs africains des nouvelles Technologies de l’Information et de la Communication (TIC), thème par eux retenu cette année, pour prendre à bras le corps l’énorme défi qui est celui que connaît l’Afrique dans ce domaine.

« Gabon Matin », le quotidien étatique, dans sa parution de samedi, y voit à juste titre « le défi des TIC » et en use pour meubler sa manchette, d’autant plus que le Gabon des services voulu par Ali Bongo Ondimba passe par « la promotion de ce secteur ». Vous avez dit visionnaire !

Le Sommet supra cité, qui sera également honoré de la l’illustre présence du Secrétaire Général des Nations Unies, Ban Ki Moon, aura dans son escarcelle à éplucher des questions liées au fonctionnement de l’Union Africaine et à l’extinction des différents foyers de tensions qui embrasent le continent noir.

SEMAINIER DU PRESIDENT DE LA REPUBLIQUE

Innovation ! C’est ainsi qu’il faut voir cette nouvelle approche de la communication présidentielle. Dorénavant, un compte rendu semainier des activités du Président de la République sera fait par le Porte-parole de la Présidence de la République, d’où l’instauration d’une rencontre hebdomadaire entre la presse et le Porte-parole de la Présidence.

Et, pour l’Episode « un » de ce désormais rendez-vous hebdomadaire, « L’Union », l’autre quotidien gabonais, concède à l’évènement la dénomination « La semaine du Président », comme titraille-phare, laquelle est flanquée d’un portrait accrocheur du Secrétaire Général Adjoint et Porte-parole de la Présidence de la République, M. Guy Bertrand Mapangou.

Restons dans le chapitre nouveauté pour parler de cette « conscience plus aiguë de patriotisme », insufflée aux Gabonais par le président Ali Bongo Ondimba, comme le clame « La Lowé », l’hebdomadaire gabonais.

PATRIOTISME D’ALI BONGO ONDIMBA

Notre confrère salue également l’amour du Drapeau national démontré par les Gabonais via l’achat à flot de la version miniaturisée de celui-ci ayant fait un commerce prospère, la vieille et les jours de matches des Panthères. A en croire le canard, le déroulement de la Coupe d’Afrique des Nations aura permis de renforcer le patriotisme et la cohésion des Gabonais.

C’est justement dans cette logique que le journal émet le vœu ardent à ce que soient désormais enseignés aux élèves gabonais les valeurs des emblèmes de la nation, « au moins quinze minutes, tous les jours ».

Déroulant son compteur sur les cent premiers jours de gouvernance de l’artisan de l’Emergence, Ali Bongo Ondimba, « La Loupe », bimensuel d’investigations, s’interroge : « Qui du Système ou de Ali va absorber l’autre ?

Elément de réponse fourni par l’interrogateur : « En 100 jours, on est conscient que l’on ne peut pas changer grand chose», commente le bimensuel. Au demeurant, ajoute-t-il plus loin, « L’action du nouveau chef de l’Etat suscite l’adhésion de tous ou presque ». Sceptique quant à la matérialisation des visions du Président Ali Bongo Ondimba par son gouvernement, le journal ne désespère pas toutefois et réclame l’indulgence de chacun et de tous en ces termes : « Mettons foi à sa démarche, toute autorité venant de Dieu ».

AGENDA DE LA PREMIERE DAME

« La Première dame du Gabon, Sylvia Bongo reçoit les vœux de nouvel an des épouses des membres du Gouvernement ». « Gabon Matin » qui rapporte l’information précise que : « L’objectif affiché est de contribuer par des actes concrets à l’édification du Gabon émergent prôné par le chef de l’Etat Ali Bongo Ondimba ».

AMO AU CENTRE DES POLEMIQUES

André Mba Obame (AMO, pour les intimes), candidat indépendant malheureux à la dernière présidentielle, n’arrête de braquer les projecteurs sur lui. Cette fois, « Le Nganga », l’hebdomadaire satyrique, ne l’a pas « ménagé ». Dans son édition du 21 janvier, le journal titre : « Chantage et trahison, marque de fabrique d’AMO », non sans étayer son assertion d’arguments piqués dans la gibecière du mis-en-cause: « André Mba Obame, alias Moïse, continue de ruer sur les brancards au motif qu’on lui a volé sa terre promise ».

S’appuyant sur une interview accordée par le dissident « Pédégiste » à la Radio France Internationale (RFI), l’hebdomadaire rapporte qu’AMO continue allègrement de scander que « Le pouvoir en place est illégitime ».

« Le Nganga » de s’indigner : « Mais diantre ! Comment suivre un démagogue aussi déroutant que le Politologue de Medouneu ? Lui tout seul dit ne pas reconnaître un pouvoir que toutes les Nations libres de la Terre ont reconnu et légitimé, que le peuple gabonais apprécie de jour en jour ».

Enfonçant le clou à la suite du Père Paul Mba Abessole – (Ndlr : le 31décembre dernier, à la faveur d’une interview exclusive du leader du RPG (Rassemblement Pour le Gabon) à nos confrères de « Gabon Matin », Paul Mba Abessole a crié haro sur la coalitio ‘’Mba Obame et consorts’’) – l’alliance formée par les candidats malheureux à la dernière élection présidentielle, notre confrère conclut : « L’histoire retiendra fort bien le nom d’AMO… Il préfère ruiner le Gabon par ses propos haineux… »

AMO qui n’en finit plus de défrayer la chronique, cette fois, c’est une histoire de biens mal acquis. Le journal le « Nganga » lance : «L’appartement et la Lexus d’AMO découverts par des curieux ». Arguments géographiques en mains, notre confrère nous envoie « Dans le très select quartier de Neuilly sur Seine ». C’est en France, et pour les curieux, le journal livre une adresse complète : « 71173 Rue de Chezy ». Un duplex, une Lexus et tout le confort semble-t-il sont à ce lieu pour accueillir « Moïse, le saint des Saints » pendant ses séjours en France.

Le paysage politique gabonais s’éclaircit en un schéma à quatre tons et « Nku’u le messager » encadre cette dynamique dans son titre «De la recomposition du paysage politique national ». Il y a d’un côté « les conservateurs » ou le Parti Démocratique Gabonais (PDG, au pouvoir) qui « s’est vidé de sa substance ». Plus loin le journal dénombre, « Les apôtres de l’alternance » qui se seraient détachés du Parti Démocratique Gabonais, « ils s’opposent au régime actuel » souligne le journal. Pour s’acheminer vers la fin de ce chapitre, une catégorie à part dite : « Les flottants, les indécis », dont la caractéristique est leur provenance ; « Ils viennent de la galaxie présidentielle ». Notre confrère ferme ce listing par une autre trouvaille : « Les opposants professionnels » qui seraient ni plus ni moins que « les leaders de l’opposition ».

ALAIN CLAUDE BILIE NZE ROMPT LE SILENCE

« Mon exclusion est le résultat d’un règlement de compte », c’est ainsi que « L’Union », le quotidien, dans sa publication de samedi, a bâti sa titraille sur cette levée de voile du député RPG (Rassemblement Pour le Gabon), Alain Claude Bilié-By-Nzé.

Ce dernier a décidé de briser le silence dans lequel il s’était mué. Le quotidien rapporte « son incompréhension à être le seul puni, le seul exclu, alors que la même faute est reprochée à l’ensemble des députés RPG ». Au demeurant l’exclu « déclare n’avoir aucun problème personnel avec le Père Paul Mba Abessole, qu’il considère toujours comme son mentor », conclut « L’Union ».

Et, la coalition des partis politiques pour l’alternance, dans sa tentative de jouer la partition d’une opposition éclairée et éveillée se surprend à se perdre « en conjectures ». « La Lowé », très critique vis-à-vis de ces anciens gestionnaires de la chose publique, refuse de se laisser séduire par leurs bonnes intentions. N’y allant pas du dos de la cuillère, il énumère nommément les péchés de chacun ; Zacharie Myboto qui fait partie de « ceux qui ont le plus pillé ce pays sans état d’âme », est là.

Casimir Ange Oyé Mba soulève l’indignation du journal qui se temporise pour ne pas crier au scandale. C’est « un grand homme… il ne devrait pas se banaliser au milieu de tant d’à peu près ». André Mba Obame, l’AMO national, pour notre confrère, « est un être ordinaire perdu dans ses rêveries, ses ambitions… de tout bouleverser dans ce Gabon qui est nôtre ». D’autres aux dires du journal ne valent pas la peine d’être cités parce qu’ «inconnus ».

Réunis à la faveur d’un point de presse « ils… sont là pour donner l’impression aux journalistes que le groupe est compact, la coalition est tout ce qu’il ya de sérieux »

FIN DU RECENSEMENT DES AGENTS DE LA FONCTION PUBLIQUE ET LES GREVES

Quittons toutes ces polémiques soulevées par l’opposition gabonaise et intéressons-nous au recensement des agents de l’Etat arrivé à son terme. « Gabon Matin » qui relaie l’information, nous renvoie, pour plus d’amples informations sur les premiers résultats, à lundi 1er février, date à laquelle le ministre du Budget, des Comptes publics, de la Fonction publique chargé de la Modernisation de l’Etat animera une conférence de presse.

Le droit de grève est désormais réglementé : « Plus de grèves sans service minimum », alerte « Gabon Matin », citant lui-même le Communiqué final du dernier Conseil des ministres. Une mesure qui vise « les entreprises dont l’activité comporte un aspect vital avec une incidence directe sur la vie des populations ». Au-delà du moyen de défense des intérêts des travailleurs, « la grève peut être porteuse de germes de déstabilisation de l’économie », argumente le quotidien.

COUAC AU CONSULAT DU GABON A PEKIN

Une histoire de délivrance de visas fait grincer la machine sino-gabonaise et provoque ce que « La Lowé » qualifie de « Couac au consulat du Gabon à Pékin ». Le journal rapporte que des hommes d’affaires chinois auraient eu maille à partie avec des formalités qui n’en finissaient pas pour entrer au Gabon, rien que pour une dizaine de jours. Et qu’il aurait fallu un contournement de procédure. Précisément «un simple coup de fil » écrit le journal, du « ministre délégué Affaires étrangères, qui a enjoint le fonctionnaire récalcitrant de délivrer les visas ».

Et « La Lowé » de s’écrier : « Un seul fonctionnaire ne peut bloquer d’éventuels investisseurs étrangers par appréhensions justifiées ou par simple fantaisie ». Au risque de mettre en mal le changement voulu par tous.

En France un jeune franco-gabonais de 17ans, Jonathan Lavignasse, trépasse d’une balle d’un fusil de chasse. Et, une kyrielle d’interrogations s’en suit : « Légitime défense ou homicide raciste » ? Les faits rapportés par l’hebdomadaire satyrique, « Le Nganga », retracent une tentative d’effraction de deux adolescents, avortée par « une salve de cartouche de fusil de chasse, tirée par le propriétaire des lieux, qui a ôté la vie au jeune homme ».

Le propriétaire des lieux, Luc Fournier, un « homme paisible, très calme. Une douce personne », a été relaxé après que son avocat ait plaidé la « légitime défense » pour le déculpabiliser. Mais c’est dur à admettre, martèle le journal, pour qui « aucun élément ne laisse présager que les jeunes gens étaient armés ». La justice suit son cours. Et la famille a confiance que la vérité se saura.

QUI EN VEUT AU MINISTRE DE LA COMMUNICATION ?

La presse privée « Nku’u le messager en particulier fait des insinuations qui présagent de son manque d’informations fiables. Il attaque, sans façon, Madame le ministre de la Communication, d’être prometteur de GABONEWS et d’avoir mis au chômage technique ses employés, non sans claironner que cet organe se taillerait « la part du lion » dans la subvention allouée à la presse privée nationale.

Nous n’avons ni la prétention, ni la culture, encore moins la mission d’encenser une quelconque personne publique via une polémique d’auto-flagellation médiatique. Mais, trois fois hélas ! Nous sommes tout de même fiers de tintinnabuler que GABONEWS, qui ne s’est jamais arrêté de tourner, est bel et bien fonctionnel et son fil alimenté quotidiennement, à la satisfaction de ses visiteurs. Un simple clic sur le lien (www.gabonews.ga) est suffisant pour se rendre à l’évidence.

Aussi, force est-elle de reconnaître qu’autant il est vrai que des employés du Label de l’Ogoouée dont relève GABONEWS ont été récemment remerciés, pour des raisons économiques, autant les accusations de nos confrères à l’encontre de Madame le ministre sont erronées, tendancieuses et calomnieux, travestissant du coup l’éthique et la déontologie de leur noble métier.

Il n’est un secret pour personne que les difficultés économiques peuvent s’inviter aux portes de n’importe quelle entreprise. Et, en la matière, la Loi autorise l’employeur à procéder ainsi qu’a fait l’instance faîtière du Label de l’Ogooué.

A l’évidence et en la matière, la grosse interrogation qui s’impose, dès lors, est donc de savoir comment est-ce que GABONEWS peut-il se tailler « la part du lion » dans la subvention et enregistrer en même temps des problèmes de trésorerie ayant entraîné des départs non souhaités par sa hiérarchie ? Aller savoir !

Toujours est-il que nonobstant tout ce qui précède, jamais le personnel de GABONEWS, contrairement aux affirmations mensongères et avilissantes véhiculées dans certains médias pour des raisons de nuisance, n’a souffert d’une quelconque cessation de paiement ou de cumul d’arriérés de salaires. A ce jour, la Direction générale du Label de l’Ogooué ne reste devoir aucun copeck à un quelconque de ses anciens et/ou actuels employés.

A beau mentir celui qui vient de loin, dit l’adage. Les pièces comptables justifiant la régularité des émoluments sont heureusement disponibles auprès des services compétents de l’Entreprise et accessibles à tous ceux qui voudraient s’abreuver à la bonne source. Quelle ‘’Gabonitude’’ !

ECHOS DE LA CAN ET LA SUSPENSION DU TOGO

Avant de boucler ce raccourci des nouvelles du pays, traité par la presse locale, faisons un tour en Angola où la fête du football africain comptant pour la 27ème édition de la CAN prend fin aujourd’hui avec la finale qui opposera l’Afrique magrébine (les Pharaons d’Egypte) à celle occidentale (les Blacks Stars du Ghana).

D’abord, un flashback sur la participation des Panthères du Gabon qui ont joué contre les Lions Indomptables et l’ont remporté majestueusement (1-0), avant de concéder un nul à la Tunisie et une défaite (2-1) à la Zambie, totalisant quatre points, tout comme le Cameroun et la Zambie, à l’arrivée du premier tour.

Mais, la calculette de la CAN en a décidé autrement, en les obligeant de rentrer au bercail plus tôt que prévu par les pronostics du douzième homme. A l’heure des bilans, « Nku’u le messager » décèle une présence de talents, mais un manque d’expérience. « La Loupe » veut savoir comment l’argent a été géré ? Mais au-delà, notre confrère multiplie les interrogations pour expliquer ce qui s’est passé à Benguela : «Après avoir terrassé avec vigueur le Lion Eto’o, osé garder la tête haute devant l’Aigle Hagui, dites-moi Panthères ce qui s’est passé avec les Chipolopolos des frères Katounga» ?

Et, toujours dans sa succession de question, le journal glisse : « Dites-moi si Ndémézo’o n’a pas financièrement poli vos crocs et Engandzas matériellement acéré vos griffes » ? La manœuvre serait de tenter de comprendre. Pour ajuster le tir ? « La Lowé » de son côté, parle plutôt de « désillusion » et de « désolation », jetant son « venin» en entier sur les joueurs. Pas de quartier !

La fin c’est pour aujourd’hui. Les rideaux se referment sur la CAN à Luanda dans la capitale angolaise. Mais avant, il faudra résoudre une équation à deux inconnues. Les Pharaons vont-ils momifier les Blacks Stars et être sacrés pour la troisième fois consécutive ? Ou alors la détermination des Blacks Stars va-telle venir à bout des Egyptiens dont la fréquence à la CAN a semblé leur servir de socle tout au long de la compétition ?

Pour « L’Union », dans sa parution de samedi, « Des pharaons grandissimes favoris » et son argumentation vient de « certains observateurs avisés de la scène footballistique africaine », le journal concédant tout de même, « quelques atouts non négligeables » à la sélection ghanéenne dont la jeunesse.

« Gabon Matin », au risque de reste en marge de l’évènement, fait la part belle aux deux adversaires qui « ont chacune sa chance de l’emporter ». Que le spectacle soit au rendez-vous et que la compétition se termine sur une note de sortie plus belle que celle de l’entrée, laquelle fut gâchée par l’attaque rebelle perpétrée contre la délégation togolaise, avec un triste bilan de deux morts.

Mais, que dire alors de la décision de la Confédération Africaine de Football (CAF), tombée samedi, tel un couperet sur la tête du Togo qui se voit privé des deux prochaines éditions de la CAN, pour « interférence gouvernementale togolaise » dans les affaires de la CAF, avec une amende de 50 000 dollars infligée à la Fédération Togolaise de Football. La suite des plaintes introduites auprès de la Justice de Grande Instance de Paris par le gouvernement du Togo et les parents des victimes nous édifiera.

Notre tour d’horizons s’achève-là pour ce dimanche, tout en espérant vous retrouver, si le propriétaire des jours le voudra bien, la semaine prochaine. Bonne dégustation à vous et au plaisir!

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