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PDG-USA vs. Mengara: Lettre Ouverte de Rappel à l’Ordre Républicain (Hervé Epié)

Le 2 février courant, le Dr. Daniel Mengara a reçu dans sa boîte email une lettre d’un Monsieur se présentant comme le « Camarade » Hervé Epié se présentant comme Secrétaire Fédéral, membre du Conseil National du PDG. Dans sa lettre ouverte au Dr. Mengara, le « Camarade » Epié fustige l’attitude « injurieuse » du Dr. Daniel Mengara et rappelle le leader du BDP à l’ordre républicain. Nous publions ici in extenso la lettre du « Camarade » Epié. Le Dr. Daniel Mengara répondra au Camarade Epié quand il en aura la possibilité. En attendant, lisez la réponse du Dr. Bruno Ella, porte-paroledu BDP, au « Camarade Epié » sur cette page.


Une version PDF de cette lettre du « Camarade » Epié existe sur ce lien. 
La Réponse du Dr. Ella, porte parole du BDP, est sur cette page.


Fédération du Parti democratique Gabonais aux Etats-Unis d’Amérique

Fédération PDG-USA

—————

Secrétariat Fédéral

—–

Tel: 1-718-607-5462

Tel: 1-404-617-8262

Fax: 1-202-832-8242

Email: federal@federationpdgusa.com

: infopdgusa@gmail.com

Objet: Lettre Ouverte de Rappel à l’Ordre Républicain

 A l’attention de M. Daniel Mengara. Président, BDP

Cher Compatriote Daniel Mengara,

 A l’aube de cette nouvelle année et comme le veut la tradition, permettez-moi aux noms des membres et sympathisants du Parti Démocratique Gabonais aux Etats-Unis d’Amérique, de vous souhaiter mes vœux les meilleurs pour une année 2010 pleine de santé, de bonheur, de réussite et de paix. Que l’Eternel Tout Puissant vous protège et vous comble de ses grâces. Bonne et heureuse année 2010, Cher Compatriote!

 A l’origine de notre sortie de réserve, vos récents brulots, à savoir; votre diatribe « discours de vœux à la nation » et votre logorrhée « émergent ou Gabon décadent ». Nous déplorons que vous abaissiez sans cesse le niveau du débat démocratique, en vous égarant dans des attaques ad hominem aussi grotesques, dont certaines à relent diffamatoire, blasphématoire et antipatriotique.

Ces différents articles publiés sur votre blog sont tout simplement affligeants sur la forme comme sur le fond. Après 11 ans de guérilla verbale, n’avez-vous donc pas compris que la politique, ce n’est pas la mobilisation contre, c’est un choix positif pour un projet, pour un avenir?

Hélas en place et lieux du choix de l’espoir en des jours meilleurs vous avez résolument opté pour le choix ténébreux du désespoir, faisant plus que jamais de vous un homme amer, aigri, et isolé.

 Depuis bien longtemps, toutes les personnes qui lissent autant soit peu vos écritures kilométriques savent que vous êtes de très loin un adepte des diarrhées verbales sanglées d’acrimonies, d’injures, de diffamation, de délation, et d’incitation à la haine et/ou aux actions subversives. Vos décapants syllogismes sur le Peuple Gabonais, la Famille Bongo Ondimba, la Majorité Présidentielle, et l’Opposition sont indéniablement les fruits d’une fertile masturbation intellectuelle sans communes mesures et vous en êtes indécrottable. Oui, cela prêterait à rire, n’était la gravité de la situation.

 Suite au calamiteux cuisant échec de vos lamentables ambitions de candidat à l’élection présidentielle anticipée d’août 2009, nous attendions et/ou guettions avec impatience les moindres soubresauts du renouveau politique de votre corpus idéologique. Mais à peine l’année commencée, fidèle à vous-même, vous publiez de nouveau des articles dignes des plus basses campagnes, qu’aucun vraie leader politique de premier plan, qui ambitionne sérieusement à accéder un jour à la magistrature suprême ne saurait et/ou ne pourrait avoir l’idée de rédiger et d’endosser en ce 21e siècle.

 En effet, considérant la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme notamment ses articles 11 et 19, à savoir: « La libre communication des pensées et des opinions est un des droits les plus précieux de l’homme; tout citoyen peut donc parler, écrire, imprimer librement, sauf à répondre de l’abus de cette liberté dans les cas déterminés par la loi. » et « Tout individu a droit à la liberté d’opinion et d’expression, ce qui implique le droit de ne pas être inquiété pour ses opinions et celui de chercher, de recevoir et de répandre, sans considérations de frontières, les informations et les idées par quelque moyen d’expression que ce soit. ». Il est indéniablement reconnu que la liberté d’opinion et d’expression est généralement considérée comme une des libertés fondamentales de l’être humain mais pour tout vraie leader politique digne de ce nom, l’exercice de ces libertés comporte des devoirs et des responsabilités dont vraisemblablement, sans ambages, vous n’en avez guère cure.

 Pour autant, avez-vous des limites et/ou des conditions particulières de restriction à cette liberté que vous vous êtes arrogée?

 Etant en perpétuelle perte de vitesse et en constant mal de reconnaissance publique, nous comprenons tant bien que mal votre stratégie qui consiste à salir les adversaires que vous n’arrivez pas à combattre sur le terrain des idées. Cependant, pensez-vous que pour être crédible, aux yeux de l’opinion nationale et/ou internationale, toutes fins justifient les moyens?

 Pensez-vous que pour être crédible, aux yeux de l’opinion nationale et/ou internationale:

  • Vous soyez maintenant amener à blasphémer le Nom du Tout Puissant, Notre Seigneur, DIEU en parodiant les Saintes Ecritures?
  • Vous soyez maintenant amener à insulter de tous les noms l’ensemble du Peuple Gabonais?
  • Vous soyez constamment obligé d’être injurieux, d’offenser, de porter atteinte à l’honneur et à la dignité d’autrui?
  • Vous soyez constamment amener à jouer les apprentis terroristes en faisant l’apologie du chaos au Gabon?
  • Vous soyez amené sans vergogne, à chaque occasion qui vous est donnée, de vous faire pompeusement les éloges sur votre présupposé intelligence qui ferait de vous l’homme politique gabonais le plus surdoué dont les idées seraient mondialement plagiées?
  • Vous soyez amené sans vergogne, à chaque occasion qui vous est donnée, de vous attribuer la paternité de tout ce qui est, serait et/ou pourraient être bon pour le développement du Gabon, alors qu’aucun des citoyens lambda n’a le monopole ni de la compétence, ni du savoir et/ou du savoir-faire?
  • Vous soyez amené sans vergogne, à chaque occasion qui vous est donnée, de faire étalage de votre narcissisme absolu?
  • Vous soyez un eternel néo-opposant, dont la portion congrue de vos fidèles se compose essentiellement des murs de votre logement et de votre équipement informatique?

 Quand seriez-vous donc prêt à faire preuve de plus de maturité politique et d’intérêt pour la république?

 Au risque d’être tout bonnement accusé de vous plagier également comme dans vos chimères, permettez-moi de vous dire en utilisant de façon rhétorique l’une de vos dégénérescences verbales favorites à savoir « Si Mengara à des couilles qu’il sorte enfin de son monde virtuel et qu’il ose au moins à aller, en chaire et en os, à la conquête des membres de la communauté gabonaise des USA et du Canada avant de prétendre aller un jour à la conquête du suffrage universelle du peuple gabonais.»

 L’heure n’est pas au pugilas, ni au règlement de compte, mais au nom de notre bon sens commun à tous, nous ne pouvions pas continuellement vous laisser vous investir dans des actions de dénigrement de grande ampleur vis-à-vis du Peuple Gabonais et du Président de la République Gabonaise sans réagir officiellement de manière collégiale et à arme égale.

 Nous comprenons bien votre stratégie qui consiste à salir les adversaires que vous n’arrivez pas à combattre sur le terrain des idées. Mais nous ne nous abaisserons pas à faire la même chose. Nous n’irons pas plus d’avantage sur ce terrain car ce n’est pas notre conception de la fonction d’homme politique. Nous croyons fermement que le débat d’idées peut être vif, passionné, et qu’il est nécessaire voire salutaire, mais nous récusons l’injure, les insinuations à caractère personnel. En l’espèce, les propos haineux en termes d’invectives, d’anathèmes et de diabolisation systématique de l’autre, appartiennent à un autre temps et dévalorisent totalement les adeptes d’un tel langage.

En d’autres cieux, pareils langages ont été sources de meurtrissures, de déchirures, de destructions, de ruines et de chaos.

Malheureusement, cette attitude est la parfaite continuité et l’illustration des modes de fonctionnement de votre pseudo mouvement politique, allant même jusqu’à adopter certains comportements que l’on pourrait qualifier de puérils et de surcroit injurieux envers vos condisciples de la classe politique gabonaise et/ou africaine; alors ceux au nom desquels vous prétendez vous exprimer sont fondés à attendre autre chose de vous.

Ce sont des telles postures, peu responsables, qui vous valent à ce jour d’être frappé d’ostracisme non seulement par vos confrères mais également par bon nombre des profanes de la politique, en particulier vos compatriotes, en commençant par la communauté gabonaise des Etats-Unis d’Amérique.

 Comme dans toute démocratie, des divergences d’opinions opposent les forces vives de la nation sur la  manière de gérer notre pays tout en privilégiant l’intérêt national. Quand seriez-vous donc prêt à saisir les devoirs et les obligations de l’engagement politique vis-à-vis de vos concitoyens?

 En ce qui nous concerne, depuis notre implantation officielle le 5 Décembre 2004 et jusqu’à ce jour, sachez que nous, membres et sympathisants de la Fédération PDG des Etats-Unis d’Amérique, nous nous efforçons selon nos disponibilités et nos capacités à travailler au service de l’intérêt général, en dehors de tous clivages politiques, loin des ambitions personnelles dévorantes qui suscitent tant d’aigreurs chez certaines personnes tel que vous, parce que nous sommes fermement attachés à notre petite communauté, et à notre très cher beau Pays, le Gabon.

 Après onze ans de déliquescence intellectuelle, n’avez donc pas encore compris que nous peuple Gabonais sommes en droit d’attendre de la part des hommes politiques et de leurs supporteurs, un débats qui porte en lui: des valeurs morales favorisant les liens sociaux, la solidarité et le respect mutuel; des valeurs de responsabilité vis-à-vis de la nation et du citoyen; et des valeurs de tolérance, d’acceptation de l’autre et de sa différence?

 Après onze ans de déliquescence intellectuelle, n’avez donc pas encore compris qu’en lieu et place de la critique facile et systématique, nous peuple Gabonais sommes en droit d’attendre des propositions concrètes et applicables par rapport aux mieux-être de la cité, car la force de notre action collective et individuelle doit résider dans notre amour pour notre pays?

 Après onze ans de déliquescence intellectuelle, n’avez donc pas encore compris que c’est cet amour pour notre pays qui nous amènera à nous surpasser pour bâtir un Gabon dont les Gabonais et les Gabonaises seront tous fières?

 Après onze ans de déliquescence intellectuelle, n’avez donc pas encore compris que l’essence du débat d’idées est avant tout de promouvoir, dans le respect d’autrui et des biens publics ou privés, une démocratie participative pour un harmonieux développement économique et social du Gabon?

 Après le foudroyant avortement de vos naïves intentions de candidature à l’élection présidentielle anticipée du 30 août 2009, et suite au mutisme dans lequel vous vous êtes vautré, n’avez-vous donc pas fait usage de votre intelligence légendaire pour comprendre:

  • Que durant les sept prochaines années, le Président du Gabon et donc le Président des gabonaises et gabonais, c’est-à-dire notre Président à Tous, n’est autre que Son Excellence Ali Bongo Ondimba peu importe que vous l’ayez voté ou pas voté?
  • Que nous sommes à l’aube d’un nouveau commencement pour notre pays et que chacun de nous doit s’efforcer d’exercer ses droits et obligations de citoyen à bon escient?
  • Que l’essentiel est de rassembler tous les fils et toutes les filles du Gabon pour affronter les défis de la paix et du développement économique et social de notre pays, car nous ne pouvons réussir qu’ensemble, tant ces défis sont redoutables?
  • Que le Gabon vit une période charnière, une période de nécessaire transformation, avec toutes les appréhensions que cela suppose?
  • Que le peuple gabonais est engagé dans une grande entreprise inéluctable de modernisation de son pays et que pour bien vivre une période de transition, une société doit être unie et solidaire?
  • Qu’un pays ne peut pas réussir s’il n’y a pas cohésion du corps social?
  • Que la grandeur et l’identité du Gabon sont indissociables de son ambition sociale d’assurer à tous une juste protection et ne laisser personne au bord du chemin, quelles que soient les difficultés à surmonter?
  • Qu’il faut du temps et des efforts, et que naturellement, il y aura des réticences, des blocages, et toutes sortes de conservatismes, nous le savons tous?
  • Qu’aucun parti, aucun homme, ne peut prétendre tout seul faire face à de tels défis?
  • Que c’est ensemble, au-delà des nos opinions partisanes, de nos querelles des chapelles, de nos différences d’intérêts, de priorités, et de nos clivages politiques et/ou générationnelles que nous devons rechercher les solutions à nos problèmes?
  • Que l’heure est au rassemblement, et au rétablissement de la confiance entre les Gabonais et Gabonaises, entre le Gabon et ses partenaires extérieurs, et donc à la chercher de l’apaisement des tensions et au rassurement de toutes nos populations?
  • Qu’il ne saurait y avoir de place pour l’exclusion, le tribalisme, le clanisme, le clientélisme, le népotisme, et la démagogie?
  • Que nous avons tous une place et un rôle à jouer dans l’essor de notre pays, car c’est ainsi que nous pourrons envisager et préparer un avenir commun?
  • Que tels enjeux valent la peine que nous privilégions ce qui nous rassemble et non ce qui nous divise?
  • Que la République Gabonaise a besoin de toutes ses filles et de tous ses fils pour repartir sur de nouvelles bases?
  • Que dans ce nouveau Gabon que nous appelons de tous nos vœux, personne ne saurait être de trop?
  • Que nous devons exhorter les uns et les autres à faire preuve de beaucoup de retenu, de sang froid, d’éviter les querelles intestines, et de ne pas succomber aux tentations de règlement de compte fratricide.
  • Que l’impasse actuelle de notre pays est une responsabilité individuelle et collective que nous devons tous assumer dans le souci de la réconciliation sincère et de la volonté de repartir ensemble sur de nouvelles bases. C’est-à-dire des bases saines, fondées sur les principes démocratiques de dialogue, de tolérance, d’état de droits, de justice pour tous, de redistribution équitable des richesses nationales, et de promotion sociale par le mérite?
  • Que plus que jamais, l’heure est à une meilleure synergie entre le dynamisme des jeunes générations et l’expérience des aînés?

 C’est dans cet esprit que nous clamons haut et fort notre disponibilité à œuvrer de concert avec toutes les personnes de bonne volonté, éprises des valeurs humanistes et universelles: de respect de la liberté, de respect de la dignité de la personne, de respect des lois, de respect de l’état de droit, de respect du travail, de respect de la propriété privée, de respect du bien public, de respect d’égalité des chances pour tous, de respect d’égalité des genres dans tous les domaines, de respect de la solidarité humaine, et de respect de d’esprit d’initiative conformément à la vision ambitieuse d’un Gabon Emergent, à savoir, un Gabon conquérant, puissant, reconnu, rayonnant, en un mot, un Gabon qui gagne, un Gabon qui affirme sans cesse sa présence dans le monde par la qualité de notre Travail à tous.

C’est à nous, gabonaises et gabonais de toutes les générations et de sensibilités diverses, qu’il revient d’inventer, de créer, de construire et de façonner ce Gabon, tel que nous l’espérons, tel que nous le rêvons.

C’est sous les sceaux de l’Union Sacrée, de l’Union de la Nation Gabonaise et de l’Union avec tous les Gabonaises et Gabonais, que nous incarnerons tous, avec passion, avec sincérité, et esprit d’initiative cette émergence, car la force de notre action collective et individuelle doit résider dans notre amour pour notre cher beau pays.

C’est cet amour pour notre pays qui nous amènera à nous surpasser pour bâtir un Gabon Emergent dont tous les Gabonaises et Gabonais seront fières au-delà des générations à venir.

Aussi, conforment à nos espérances de Peuple de DIEU, nous formulons les vœux que cette vision collective soit le rendez-vous d’une démocratie harmonieuse et apaisée. En un mot, que ce rendez-vous de l’histoire, soit un rendez-vous de l’espoir et non pas un rendez-vous du désespoir.

 Fidèle à l’emblème de notre Parti, à savoir la main ouverte et tendue, nous restons tolérant, respectueux, et ouvert à l’égard de notre prochain. Cependant nous sommes disposés à nous opposer clairement à tous nos contradicteurs, Par ailleurs, nous voulons les respecter tout comme nous souhaiterions qu’ils nous respectent aussi. Sachez aussi que nous nous efforcerons à l’avenir de ne plus répondre à ce genre d’attaques sans fondement et sans intérêt.

Comme l’a si bien dit Son Excellence, Monsieur Ali Bongo Ondimba, Président de la République, Chef de l’Etat, durant les joutes de la campagne électorale, nous ne nous laisserons pas entraîner dans une campagne de caniveau. La politique, ce n’est pas la mobilisation contre, c’est un choix positif pour un projet, pour un avenir. En un mot, agissons ensemble pour construire l’avenir du Gabon en toute confiance.  

A juste titre, loin de toutes querelles viscérales, nous osons espérer que vous ne succomberez pas aux tentations des règlements de compte fratricide et publierez in extenso l’intégralité conforme de notre lettre ouverte sur votre site internet.

 Fait à New-York City, le vendredi 29 janvier 2010, pour servir et faire valoir ce que de droit.

 Pour la Fédération du Parti Démocratique Gabonais aux Etats-Unis d’Amérique

Le Camarade Hervé R. Epié,
Secrétaire Fédéral, Membre du Conseil National

Exprimez-vous!

  1. Je pense fort bien qu’en publiant ce longue lettre aussi partisanne , l’esprit de démocrate est bien présent dans la tête du Dr Mengara !!! … Sinon , il ne l’aurait pas exposé !!! … Dans cette longue lettre on nous fait remarquer qu’il faut respecter le peuple gabonais , afficher la dignité , mais de qui se moque-t-on ??? … Quand on sait que le désigné président( par le réseau Foccard de France face à l’afrique francophone) avait déclaré le jour de la proclamation des résultats et des manifestations du PEUPLE GABONAIS ; je cite : AUCUN DES CHEVEUX DES FRANCAIS NE SERA TOUCHE !!!! …. Alors que dire ce cette phrase de la part de quelqu’un qui se prétend être à la tête du gabon ???? … Depuis qu’il est là le trisbalisme ne fait que s’accentuer , rien qu’à regarder qui est où et fait quoi ?? … du ministère aux mairies et autres postes administratifs et privé !!!!!!!!!!!!!!!!!!!! …. C’EST MALHEUREUX pour le gabon et pour l’afrque !!!!

  2. Je ne juge personne; je ne suis dans aucun parti; mais je remarque tout de meme que le message du camarade Epie’ est tres bien ecrit et que Dr Mengera a tres bien fait de le publier. Ce qui prouve entre autre que Dr Mengera est bien democrate, sinon, il n’aurait pas publier le message d’Epie’.

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