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Ali Bongo Ondimba à l’Elysée et à l’Unesco

Ali-Bongo-et-Boni-YayiLe président de la République gabonaise, Ali Bongo Ondimba, s’est rendu le mercredi 5 juin 2013 à Paris (France), pour une visite de travail de quelques heures qui lui a permis de déjeuner avec le président français, François Hollande, avant de se rendre au siège de l’Unesco où le chef de l’Etat français a reçu le Prix Houphouët Boigny, pour la recherche de la paix.

Avant de se rendre au siège de l’Unesco, en compagnie de son épouse, Sylvia Bongo Ondimba, le président Ali Bongo Ondimba a déjeuné avec son homologue français, François Hollande, en compagnie de sept autres chefs d’Etat africain : Dioncounda Traoré (Mali), Alassane Ouattara (Côte d’Ivoire), Idriss Déby Itno (Tchad), Yayi Boni (Benin), Macky Sall (Sénégal), Blaise Compaoré (Burkina Faso) et Abdellaziz (Mauritanie).

A ces hommes d’Etat se sont adjoint le directeur général de l’Unesco, Irina Bukova, et le secrétaire général de l’Organisation internationale de la Francophonie (OIF), le sénégalais Abdou Diouf. L’occasion pour commercer sur l’évolution de la situation sécuritaire dans la région sahélo-sahélienne, où des groupes terroristes tentent de troubler la paix et la sécurité.

François Hollande recevait, un peu après, le Prix Houphouët Boigny pour la recherche de la paix, en présence de neuf chefs d’Etat et de gouvernement africains, venus rendre hommage à son action militaire au Mali. Beaucoup plus, le président français a été récompensé pour sa contribution à la paix et à la stabilité en Afrique. La France est en effet intervenue militairement au Mali pour l’aider à recouvrir sa liberté, en chassant les groupes islamiques qui faisaient régner la terreur dans plusieurs localités.

En conviant ces chefs d’Etat africains à Paris François Hollande a tenu à réunir «ceux qui l’ont accompagné» dans sa décision. «Le Gabon, par la voix de son président avait, à plusieurs reprises associé sa voix à celles d’autres pays pour appeler à l’arrêt des souffrances dont été l’objet les populations maliennes. Ali Bongo Ondimba n’avait pas manqué d’apporter son soutien, avec d’autres pays africains, à l’intervention française au Mali. Celle-ci avait reçu, outre l’appui de l’Union africaine, mais surtout, celui des Nations unies», indique un journaliste gabonais.

Dans les jours prochains, l’on croit savoir que la capitale française, à l’initiative de François Hollande, recevra l’ensemble des chefs d’Etat africains pour discuter de la sécurité sur le continent noir.

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