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Sylvia Bongo Ondimba, Commissaire membre de l’Onusida/The Lancet

sylvia-BLa Première dame du Gabon, Sylvia Bongo Ondimba, a pris part les 28 et 29 juin 2013 à Lilongwe (Malawi), à la première réunion de travail de la Commission Onusida/The Lancet «du Sida vers une santé durable», créée en mai 2013 à l’initiative du Programme commun des Nations unies sur le VIH/Sida (Onusida).

Son engagement affiché depuis 2009 à œuvrer pour lutter efficacement contre la pandémie du VIH/Sida, à travers ses multiples actions de plaidoyer auprès du président Ali Bongo Ondimba et partout où elle a pu trouver une tribune, vient de valoir à Sylvia Bongo Ondimba la nomination au titre de «commissaire membre» à participer à la première réunion de travail de la Commission Onusida/The Lancet.

«Je me réjouis d’être là, aujourd’hui, parmi vous, au rang des commissaires réunis par la Commission Onusida/The Lancet afin d’identifier et de proposer de nouvelles stratégies pour lutter contre le Sida après 2015», a déclaré Sylvia Bongo Ondimba.

Au cours de cette rencontre de Lilongwe, la Commission a examiné les nouveaux principes visant à obtenir de meilleurs résultats en matière de santé mondiale, y compris des sujets tels que l’égalité sociale pour les populations marginalisées, permettre aux communautés d’exiger de meilleurs services de santé et accélérer l’accès aux médicaments de qualité et à des prix abordables.

C’était également l’occasion pour cette Commission de faire des recommandations qui s’appuient sur des consultations continues et les conclusions du groupe de haut niveau, qui seront présentées au secrétaire général de l’ONU en septembre 2013 lors de la prochaine Assemblée générale et qui contribueront aux délibérations des pays membres de l’ONU.

«Je suis là aujourd’hui parce qu’il faut agir, pour faire agir. Agir contre les inégalités, l’injustice et la pauvreté ; Agir pour briser les barrières économiques, commerciales, culturelles et sociales ; Agir en mettant l’humain au centre de nos investissements» a déclaré la Première Dame lors de son discours inaugural.

«Beaucoup de progrès restent à faire. Il faut innover pour progresser et réussir. Nous devons combattre les multiples freins qui demeurent : la dépendance extérieure des pays en développement ; les risques économiques et sanitaires du recours à la contrefaçon ; le manque de coordination entre les régions ; le trop faible investissement sur le capital humain» a poursuivi la Première dame.

La Commission est co-présidée par Joyce Banda, présidente de la République du Malawi, Nkosazana Dlamini Zuma, présidente de la Commission de l’Union africaine et Peter Piot, directeur de l’École d’hygiène et de médecine tropicale de Londres.

Au Gabon, près de 63 000 personnes vivraient avec le virus du VIH/SIDA. Optant pour la baisse radicale de la dynamique de l’épidémie du VIH, la réduction de la mortalité liée au VIH/SIDA et l’élimination de la transmission du VIH de la mère à l’enfant, la première dame du Gabon a développé divers programmes de prévention et de sensibilisation en direction de l’ensemble de la population afin de lutter contre la diffusion de cette pandémie.

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