Le combat mené par la Première Dame du Gabon, Sylvia Bongo Ondimba en matière de protection de la mère contre le Vih/Sida en promouvant la PTME ‘’Programme de la transmission mère-enfant’’, vient de porter ses fruits. Elle vient d’être nommé ‘’commissaire membre’’ de la Commission ONUSIDA/THE Lancet créée au mois de mai 2013 à l’initiative du Programme Commun des Nations Unies sur le VIH/Sida (ONUSIDA) et la prestigieuse revue médicale The Lancet.
Les efforts de la Première Dame du Gabon, Sylvia Bongo Ondimba pour la protection de la femme contre le Vih/Sida ont été récompensés. Son combat de promouvoir la PTME, ‘’Programme de transmission Mère-Enfant’’ du Vih vient d’être reconnu au plus haut niveau par ses pairs qui viennent de la nommer ‘’Commissaire membre’’ au sein de la Commission ONUSIDA/THE LANCET.
Cette commission créée seulement il y a quelques mois, soit en 2013, à l’initiative du Programme commun des Nations Unies sur le VIH/Sida (ONUSIDA) et la prestigieuse revue médicale The Lancet, qui a tenu sa toute première rencontre internationale les 28 et 29 juin à Lilongwe au Malawi sur le thème « Du Sida vers une santé durable » avec pour perspective de développer des stratégies globales, intersectorielles, pour atteindre l’objectif de « zéro contamination » dans la prochaine décennie : 2015-2025.
Durant ses assises, la Commission a examiné les nouveaux principes pour obtenir de meilleurs résultats en matière de santé mondiale, y compris des sujets tels que l’égalité sociale pour les populations marginalisées, permettre aux communautés d’exiger de meilleurs services de santé et accélérer l’accès aux médicaments de qualité et à des prix abordables.
Elle a eu l’occasion de faire des recommandations qui s’appuient sur des consultations continues et les conclusions du Groupe de haut niveau qui seront présentées au Secrétaire Général de l’ONU en septembre 2013 lors de la prochaine Assemblée générale et qui contribueront aux délibérations des pays membres de l’ONU.
La Commission est co-présidée par Joyce BANDA, Présidente de la République du Malawi, Nkosazana DLAMINI ZUMA, Présidente de la Commission de l’Union africaine et Peter PIOT, Directeur de l’École d’hygiène et de médecine tropicale de Londres.
Invitée et nommée au titre de « Commissaire membre » à participer à la première réunion de travail de la Commission, la Première Dame du Gabon a donné les raisons de sa présence.
« Je suis là aujourd’hui parce qu’il faut agir, pour faire agir. Agir contre les inégalités, l’injustice et la pauvreté ; Agir pour briser les barrières économiques, commerciales, culturelles et sociales ; Agir en mettant l’humain au centre de nos investissements », a déclaré Sylvia Bongo Ondimba lors de son discours inaugural.
Et de poursuivre : « Beaucoup de progrès restent à faire. Il faut innover pour progresser et réussir. Nous devons combattre de multiples freins : la dépendance extérieure des pays en développement ; les risques économiques et sanitaires du recours à la contrefaçon ; le manque de coordination entre les régions ; le trop faible investissement sur le capital humain ».
« Nous sommes responsables, engagés, volontaires et conscients des enjeux de notre époque. Nous devons réfléchir et agir avec audace et détermination pour qu’ensemble, nous puissions apporter des solutions innovantes et durables pour que la santé soit le droit de tous et un droit pour tous », a conclu Madame Sylvia BONGO ONDIMBA.
En effet, en sa qualité de Première Dame du Gabon, Sylvia BONGO ONDIMBA s’est engagée, depuis 2009, à porter une attention particulière à ce qui constitue le socle de nos sociétés: nos familles et nos communautés.
Sa participation traduit la reconnaissance de son action militante qu’elle et sa fondation entreprennent depuis quatre ans pour assurer aux femmes et à leurs enfants un avenir sans sida.
