spot_imgspot_img

Rideau sur le 2e Symposium international de sculpture sur bois

Edou-Bikoa-Francois-devant-son-oeuvre-symphonieOuverte le 23 juillet dernier sur la plage du Lycée national Léon Mba, la deuxième édition du Symposium international de sculpture sur bois (SISBL) s’est achevée le 7 août 2013 par un vernissage officiel dans les jardins du ministère de la Culture en présence des membres du gouvernement et d’autres personnalités.

Initié dans le cadre des Rencontres culturelles et artistiques de Libreville, la deuxième édition de Symposium international de sculpture sur bois (SISBL) a pris fin le 7 août 2013, sous le regard admiratif des membres du gouvernement en tête desquels le Premier ministre, Raymond Ndong Sima, et une bonne partie de ses ministres, notamment Ernest Walker Oninwin, ministre délégué en charge de la Culture.

Issus d’horizons divers (Cameroun, RDC, Togo, Côte-d’Ivoire, Rwanda, Tanzanie, Turquie, Russie et France), les sculpteurs en compétition ont, pendant seize jours, échangé avec leurs homologues Gabonais – également sur le concours – sur le thème du «Partage», mais aussi avec les populations venues nombreuses sur le site de transformation des billots de bois de diverses essences offertes par le comité d’organisation.

«C’était un véritable partage. Pour ma part il s’est agi de la réalisation d’une œuvre abstraite que j’ai dénommé «Harmonie». Il présente deux personnages qui, au-delà de leur différence, sont tout de même liés et solidaires car ils partagent le même tronc d’arbre qui est l’expression de la vie. Ils sont également liés pour l’équilibre qu’ils ont en commun, à savoir leur nature humaine», a expliqué l’un des ambassadeurs gabonais, Moubele Bingoulou, avant de remercier les autorités pour cette initiative qu’il souhaite perpétuelle pour la promotion de la créativité et de l’émulation au sein de la population gabonaise jeune, qui pourrait être conduite vers ce type de métier.

Les douze œuvres réalisées au cours de cette rencontre interculturelle, organisé par le ministère gabonais de la Culture, seront insérées dans l’inventaire national des biens culturels qui vont alimenter le futur fonds d’art contemporain. Un plan de mise à disposition temporaire devrait amener ces œuvres dans différents édifices et certains lieux publics.

Exprimez-vous!

spot_imgspot_img

Articles apparentés

spot_imgspot_img

Suivez-nous!

1,877FansJ'aime
133SuiveursSuivre
558AbonnésS'abonner

RÉCENTS ARTICLES