Conformément à sa politique de responsabilité sociétale et en partenariat avec l’ONG Hadassa, l’opérateur de téléphonie mobile a lancé, le 3 septembre dernier, une opération baptisée «parraine un enfant».
Le directeur général d’Airtel Gabon, Hervé-Olivier Njapoum, au milieu des enfants parrainés. © Gabonreview
Une soixantaine d’enfants issus de familles démunies, sélectionnés par l’organisation non gouvernementale Hadassa vient d’être parrainée par les employés de l’entreprise Airtel Gabon. Ils bénéficieront ainsi d’une assistance scolaire et affective durant une année. Cette assistance couvre 3 volets : l’éducation (inscription à l’école, achat de kits scolaires), le vestimentaire (vêtements, chaussures, produits d’entretien corporel) et l’affectif (célébration de Noël en famille et anniversaire). En clair, grâce à une contribution de 80 000 francs par an et par agent, les parrains et marraines permettront aux enfants parrainés d’aller à l’école, se vêtir décemment, se soigner mais surtout bénéficier de moment chaleureux. «Nous sommes conscients que ce programme ne résoudra pas l’ensemble des problèmes auxquels sont confrontés ces enfants. Toutefois, nous sommes convaincus qu’en le faisant nous montrons que nous souhaitons faire parler notre cœur, nous souhaitons répondre à un besoin crucial qui est celui de l’éducation pour ces jeunes enfants. Nous ne pouvons pas rester insensible à cet appel de l’ONG Hadassa», a témoigné le directeur général d’Airtel Gabon, Hervé-Olivier Njapoum.
Très émue du résultat du partenariat qui lie désormais l’ONG qu’elle préside à l’opérateur de téléphonie mobile, la responsable d’Hadassa, Pulchérie Nzue Ndong, s’est contentée de glorifier le bon Dieu à qui elle attribue la concrétisation de ce programme de soutien. «Je rends grâce à Dieu parce que ce partenariat est le fruit de longues prières et de jeûnes. Pour moi c’est une réponse divine. Parmi toutes les sollicitations et lettres que j’ai déposées dans les sociétés, Airtel est le seul à avoir répondu favorablement à ces cris de détresse pour les enfants».
