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Le Gabon dirigé par des Congolais ? Maman Dabany et bébé Ali avouent : « Nous les Bongo Ondimba, nous ne sommes pas Biafrais, nous sommes Congolais »

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Ces Kongolais qui dirigent... et pillent... le Gabon?

Drôle de cinéma que celui qui se passe actuellement au Gabon. Les « Bongo Ondimba » seraient-ils tombés sur la tête? A moins que ce soit le ciel qui leur soit tombé sur la cabosse ? Fiston Bongo « l’Ali pas Mohamed » et l’ancienne « Mama Bongo » jadis répudiée avec des valises d’argent aux USA semblent s’être tellement acharnés à se sortir d’un trou déjà profond qu’ils se sont, sans s’en rendre compte, enfoncés dans un autre trou, celui-ci encore plus profond que le premier. En voulant tellement prouver aux Gabonais qu’Ali le fiston Bongo n’est pas, comme la rumeur le maintient depuis qu’Ali existe, un Biafrais adopté par les Bongo, « Mama Dabany » et « Bébé Ali pas Baby Doc » ont avoué devant Gabonais ébahis qu’ils sont, en fait, Congolais. Que l’on cesse d’appeler Ali « Biafrais » a martelé avec fureur « Mama ». Il est Congolais !!! a-t-elle finalement avoué.

On se serait cru dans un de ces films américains où l’avocat malin, à force de cuisiner le témoin, le pousse tellement à bout que le témoin, hors de lui, finit par avouer larmes aux yeux: « Oui, c’est moi qui l’ai tuée, ma femme !! » A la chaîne 1 de la radio-télévison gabonaise (RTG1), Mama Dabany, cuisinée par la rumeur devenue insoutenable, a finalement lâché le morceau : « Nous y en a pas Biafrais ! Nous y en a Congolais !! Cessez de nous appeler Biafrais ! Nous y en a descendants dé la famille royale dé Mani Kongo !! Nous pas Gabonais, mais Gabon ya bon car nous pleins dé CFAs cadeau oh !»

Tout a commencé samedi 25 avril dernier lorsque Monsieur le Ministre de la Défense Nationale Ali Ben Bongo (ABB comme Albert Bernard Bongo ou Alain Bernard Bongo-Mon Dieu comme cette famille change de noms !!) décide, une bonne fois pour toutes, de mettre fin aux rumeurs qui accablent sa vie et le rendent misérable depuis que sa misérable enfance gabonaise fut gâchée par la « biafrité » que les mauvaises langues ont cultivée tout autour de lui. Furieux, le petit Alain Bernard devenu Ali Ben déclare samedi : « Certaines prétendent que je serais nigérian? (…) Tout ce que je sais, c’est que je suis né à Brazzaville en 1959. Ceux qui disent ce genre de choses ne connaissent pas l’histoire. La guerre du Biafra a commencé en 1967 et moi je suis né en 1959. Quand je suis né, le Nigeria n’était même pas indépendant avant de l’être l’année suivante. Donc, quand la guerre du Biafra commence, j’avais déjà 8 ans ».

Jusque-là, pas grand-chose à redire, notre « péti » ABB « Ben béni » par les dieux connaît bien l’histoire, et il le prouve aux yeux de tout le monde ébahi par tant de connaissance. Donc, Ali dit vrai : comment peut-on être Nigérian quand le Nigeria n’existe même pas encore et qu’on est né hors ?

Sauf que, pauvre Ali (quel chagrin !!), nous voilà au courant d’un fait qui n’est pas non plus très reluisant pour notre bonhomme. Apparemment, notre « Minisse » de la Défense n’y comprend rien. On ne sait pas vraiment, en fait, s’il a compris pourquoi la rumeur biafraise a fait tant de bruit au Gabon. On a l’impression que ce qui fait le plus mal à Ali, c’est le mot «Biafrais », qui semble lui sonner dans la tête comme une insulte. Dans sa tête, il semble plus acceptable d’être considéré « Congolais » que « Biafrais ». Cependant, ce que notre bonhomme « Ben béni » ne comprend pas, c’est que ce n’est pas, en fait, le fait d’être « Biafrais » ou « Congolais » qui soit le problème des Gabonais. Ce qui fait tiquer les Gabonais, c’est le simple fait d’avoir un « étranger » imposteur à sa tête (l’Omar) et un autre « étranger » imposteur (le Ben) pour contrôler l’armée d’un pays où il n’est pas né, pays dont il n’a pas non plus la nationalité puisque né, de son propre aveu, Congolo-Français, mais pas Gabonais du tout…

Ce que les Gabonais ne veulent pas, c’est de ces mensonges qui durent depuis 49 ans !

Comme si un seul aveu ne suffisait pas, voilà que Maman Dabany vient, ce mardi soir, en rajouter pour clarifier, clouant finalement au pilori toute la famille Bongo qui, de par sa bouche, avoue finalement aux Gabonais son imposture de 49 ans. Ecoutons « Mama Patience » (encore un faux nom !!) : « Mon fils, moi et mon mari qui était sous le drapeau [congolo-français ?] depuis trois ans, libéré [de quel asile ?] et ayant refusé de demeurer à Brazzaville [il a refusé son pays ?], la capitale congolaise, suite à la guerre civile, arrivons à Libreville le 29 octobre 1960 (…). Je suis Batéké [du Congo ?], Bongo est Batéké [de Brazza ?], nous ne sommes pas Nigérians [vraiment ?]».

Ok, on a compris. La seule chose que les Bongo ne sont pas, c’est Gabonais. Ils ont tout été et ils ont tout fait dans leur vie, y compris changer mille fois de nom et de pays, mais ce qu’ils ne reconnaissent pas, c’est leur « gabonité ». Voilà qui est clair (Ah les pauvres bongoïstes qui défendent Bongo becs et ongles en croyant qu’il est Gabonais ! Ils vont se manger les ongles et se couper le bec comme des oisillons avec cette douche froide !).

Alors, donc, revenons à nos moutons : force est de constater que dans leur défense, ni Ali ni Mama Dabany n’ont à aucun moment revendiqué leur citoyenneté gabonaise. Ils ont tout affirmé, sauf leur « gabonité ». C’est bien étrange, non ?

Ce n’est quand-même pas gentil de leur part. On nous enlève un « Biafrais » pour nous donner quoi à la place ? Un « Congolais » ? Mince, c’est pas juste ! Nous voilà mieux servis. Les Nigérians eux au moins, ils savent bricoler quelques vieilles télévisions et réparer les frigos. A quoi va nous servir Ali, maintenant que nous savons que s’il devenait président, il ne pourra rien bricoler comme un vrai Nigérian sait si bien le faire ? On pourrait au moins faire du bon business « clando » et acheter des iPhones trafiqués et bon marché venant des filières « clando » du Biafra. Non, c’est pas juste du tout, zut ! Que va bien pouvoir nous apporter un Congolais vu que les Congolais sont aussi paresseux que les Gabonais, et qu’ils ne connaissent que la sape et les fesses des femmes et le « soukouss » ? Mais bon, laissons ça de côté sinon Aurlus Mabélé que nous aimons bien va se fâcher.

Les Bongo devenus « Ondimbas » sont donc tout-Français, Batéké (du Congo), Congolais-mais jamais « Gabonais » ni « Batékés du Gabon ». Ils s’en défendent devant tout le monde. C’est ce qui sort de leur propre bouche, pas de la bouche trop bavarde du Kongossa. Qu’est-ce que les gens vont encore dire ?

Mais une question demeure : quelle est la belle jambe que cela fait aux Gabonais qu’Ali soit « Biafrais » ou « Congolais » ? Les Gabonais ont-ils une préférence pour l’un ou pour l’autre ? Rien n’est moins sûr.

Depuis toujours, il a toujours couru deux rumeurs indicibles au Gabon. La première rumeur a toujours été que Bongo n’était pas Gabonais, mais Congolais. Cette rumeur, Bongo l’a toujours démentie avec la plus grosse énergie, au point de mettre en prison les quelques Gabonais qui avaient osé le dire. La deuxième a toujours été qu’Ali Bongo n’était pas Gabonais, mais Biafrais. Celle-là aussi pouvait jeter quelqu’un au caveau.

Or, voilà que, pour démentir la rumeur de la « biafrité » du fils, la Mama Dabany monte au créneau et lâche la plus grosse des bombes : elle confirme sans rougir (bon, ok, elle est noire, d’accord) la rumeur de la « congolité » de toute la famille Bongo, famille qui apparaît tout d’un coup comme une famille habituée à l’imposture non seulement des pouvoirs et des noms (trop de noms changés dans cette famille), mais aussi des nationalités (qui sont-ils vraiment, nos chimpanzés ?).

Parlons un peu de leurs impostures, juste pour avoir les idées un peu plus claires :

Imposture No. 1 : Contrairement à ce que Bongo a souvent raconté, « Mama Dabany pas Patience » vient enfin d’avouer que les Bongo ne sont venus au Gabon que le 29 octobre 1960, soit trois mois et demie APRES l’indépendance du Gabon (Ils ne se sont même pas battus pour l’indépendance du Gabon (Mais comment donc, les voyous !)  On se posera donc toujours la question de savoir comment quelqu’un qui est né hors du Gabon (au Congo) en 1959 et qui arrive au Gabon APRES l’indépendance du Gabon peut être autre chose qu’un « étranger » ? Ali et sa famille ne semblent pas capables de comprendre que ce qui dérange les Gabonais n’est pas le fait que notre Ali défenseur national soit Nigérian, Biafrais, Turc ou Eskimo. Ce qui dérange les Gabonais, ce sont les mensonges, les impostures et les entourloupes qui ont toujours entouré les origines de la famille Bongo. Or, de l’aveu de la mère et du fils eux-mêmes, nous venons d’avoir la confirmation que Monsieur Ali Bongo Ondimba est tout sauf Gabonais. Il ne pourra plus nier ses propres paroles ni celles de sa « Mama ». Ah, « lé pauvre péti ».

Mais voilà où Ali a fait la plus grosse erreur de sa « biafrité », pardon, de sa « congolité » : Il n’y a pas de différence aux yeux des Gabonais qu’il soit « Biafrais » ou « Congolais ». Ce qui est important c’est que les Gabonais aient eu la confirmation, et sachent désormais sans l’ombre d’un doute, qu’Ali Bongo est un étranger et que la famille Bongo a toujours été une famille étrangère qui a toujours fait usage de faux et d’imposture pour s’immiscer dans la vie politique gabonaise et prendre le Gabon en otage. C’est donc là terrible imposture et elle est inacceptable pour les Gabonais, surtout si « Bébé Ben » décide de s’imposer aux Gabonais après son père. Nul n’acceptera une telle imposture de plus au Gabon.

Imposture No. 2 : La deuxième imposture des Bongo devenus « Omars » est le fait de se retrouver à la tête du Gabon après avoir été finir le pauvre vieux Léon Mba en France avec l’aide des Français. C’est parce que les Français savaient Bongo étranger qu’ils l’ont installé au pouvoir au Gabon. Ils savaient qu’un étranger comme Bongo ne pourrait jamais aimer son pays comme un vrai Gabonais. La preuve en est aujourd’hui faite : pendant 42 ans, Bongo a pillé le Gabon comme les Français ont pillé le Gabon. Le Gabon n’étant pas son pays, il ne pouvait que le considérer comme un « pilloir » et le détrousser sans merci comme un pirate pillageur le ferait. Bongo pratique au Gabon une politique de la terre brûlée. Il décime et brûle tout sur son passage et ne laissera que cendres et pleurs pour les pauvres Gabonais.

Gabonais par imposture, donc Président et leaders du Gabon par imposture, sans oublier les élections truquées par l’imposture politique, voilà, mesdames et messieurs, la vérité sur les Bongos: Le Gabon est dirigé non pas par des « Biafrais », mais par des Congolais.

Quand la Mama Bongo répudiée par Papa Bongo depuis des années vient mentionner les Batékés à la télé, elle veut nous jouer le même vieux jeu ethnique par lequel son ancien mari a toujours voulu diviser les Gabonais. Ils veulent faire croire aux Batékés du Gabon que les autres Gabonais leur en veulent. La vérité, aujourd’hui, est pourtant limpide. Ce sont les Bongo qui, étant nés Batékés congolais, se sont installés parmi les Batékés du Gabon par imposture. Dès lors, quand les Gabonais disaient à Bongo qu’il n’était pas Gabonais, mais Congolais, Bongo utilisait cela comme une arme ethnique pour faire croire aux Batékés du Gabon que les autres Gabonais les accusaient d’être Congolais. Or, cette stratégie de Bongo était indécente car le Gabon a d’autres ethnies comme les Fangs qui ont des attaches ethniques en Guinée Equatoriale et au Cameroun. Ce n’est pas pour autant qu’on va dire des Fangs du Gabon qu’ils sont Camerounais ou Equato-guinéens. On ne peut pas donc dire que les Batékés du Gabon soient Congolais car les frontières coloniales ont décidé que certains Batékés seraient du Gabon et d’autres du Congo, tout comme certains Fangs sont du Cameroun et d’autres du Gabon. Mais comme les Bongo sont machiavéliques, ils ont fait l’amalgame et ont confondu leur imposture avec le peuple Téké du Gabon et inventé des divisions ethniques là où il ne devrait pas y en avoir. Les Tékés du Gabon sont Gabonais et les Tékés du Congo sont Congolais. C’est aussi simple que cela.

Les Gabonais refusent donc de retomber dans ce piège ethnique que les Bongo aiment à nous tendre.  La « congolité » des Bongo n’engage point et n’a jamais engagé les Batékés du Gabon. Elle concerne les Bongo et uniquement les Bongo. C’est aussi simple que cela.

Mais attention! Nous au Gabon, nous n’avons rien contre nos frères congolais qui souffrent actuellement sous l’imposture politique des Sassou au Congo comme les Gabonais souffrent sous la double imposture des Bongo au Gabon. Mais reconnaissons quand-même que cela nous en bouche un coin que ce soit maintenant un enfant congolais, arrivé au Gabon APRES l’indépendance du Gabon, qui soit maintenant pressenti pour remplacer son propre papa congolais sur le trône du Gabon !!

Nous ne le disons pas par hasard. Si l’on donne le bénéfice du doute à Ali et accepte son explication, force est de constater que cela ne change pas du tout son problème car tout ce que sa maman et lui-même ont réussi à faire, c’est échanger une nationalité étrangère pour une autre. Ce qui revient exactement au même : Ali est étranger, par conséquent, il ne peut briguer la présidence du Gabon. Regardez vous-même :

Le Congo Brazza est devenu indépendant le 15 août 1960, soit deux jours AVANT le Gabon. Donc, en arrivant au Gabon le 29 octobre 1960, soit trois mois et demi après l’indépendance du Congo, Ali Bongo était bel et bien un Congolais avéré car né au Congo AVANT l’INDEPENDANCE du Congo, donc automatiquement Congolais quand le Congo devient indépendant le 15 août 1960. Autrement dit, quand Ali Bongo arrive au Gabon avec sa mère et son père Albert Bernard Bongo trois mois plus tard APRES l’indépendance du Gabon, ils sont tous Congolais depuis trois mois et demi.

Or, il n’existe nulle part au Gabon un seul papier montrant quand Ali Bongo et Omar Bongo se sont naturalisés Gabonais. Ali Bongo n’étant pas né au Gabon, il ne peut, au vu de la Constitution actuelle, devenir Président du Gabon. Son père lui-même aussi, n’étant pas né au Gabon et n’étant arrivé au Gabon qu’après l’indépendance du Gabon, ne peut pas non plus prétendre au trône du Gabon. Aucun des deux ne disposant d’aucun papier de naturalisation, et aucun des deux n’étant Gabonais de première ni de deuxième génération, leur présidence est illégale. Seuls les enfants et petits enfants de Bongo nés au Gabon peuvent prétendre au trône gabonais, pas Ali Bongo, et encore moins Omar Bongo.

Et comme Bongo lui-même a toujours été « rumoré » comme Congolais, on ne peut que saluer l’honnêteté de Mama Dabany qui, en voulant défendre le fils, a finalement avoué la vérité aux Gabonais. Pire, en disant : « Mon fils, moi et mon mari qui était sous le drapeau depuis trois ans, libéré et ayant refusé de demeurer à Brazzaville, la capitale congolaise, suite à la guerre civile, arrivons à Libreville le 29 octobre 1960 (…).je suis Batéké, Bongo est Batéké, nous ne sommes pas Nigérians », Mama Dabany avoue très clairement un autre fait important : Les Bongo n’ont quitté le Congo que parce qu’ils voulaient fuir la guerre civile congolaise. Autrement dit, si le Congo n’avait pas connu la guerre civile, les Bongo seraient restés au Congo Brazza comme Congolais et personne n’aurait jamais entendu parler d’eux au Gabon. Et puis, ne disait-on pas à l’époque que Patience était stérile et qu’elle ne pouvait pas faire d’enfants? Un autre miracle?

Merci donc les Français pour avoir tué notre président bien gabonais Léon Mba pour nous imposer des imposteurs qui n’ont même pas voulu reconnaître le nom de leur papa et grand papa « Ondimba » pendant toute leur vie, et qui ont tous tellement changé de nom qu’on a fini par s’y perdre. Albert Bernard Bongo est devenu Omar Bongo, puis Omar Bongo Ondimba (Une bien tardive reconnaissance du nom de son père !). Alain Bernard Bongo est devenu Ali Ben Bongo puis Ali Ben Bongo Ondimba (trois fois changé de nom !). Mama Dabany est d’abord née Joséphine Nkama Dabany, puis est devenue Joséphine Bongo, avant d’être répudiée par le Bongo et de se fabriquer la nouvelle identité « Patience Dabany ». Elle encore, on peut la comprendre : étant femme, elle était obligée de prendre le nom de son imposteur de mari, et étant chanteuse, il fallait bien faire « cool ». Mais Ali et papa Bongo, pourquoi ces changements de noms comme on change de chaussettes ?

La vérité est donc enfin là : elle est douce comme bonnet blanc et blanc bonnet. Nous avons, au Gabon, des imposteurs qui se font passer pour des Gabonais depuis le 29 octobre 1960 (49 ans d’impostures !!).

Alors, Bongo et Edith-Lucie, c’était finalement quoi ? Une simple affaire de retour aux sources de papa Bongo ?

Mais pour les Gabonais, une seule question demeure. Ali… Biafro ou Kongolo?

Source: BDP-Gabon Nouveau

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  1. on aimerai savoir comment est ce que le bdp pourra contrecarer le tire en cas de pusch d’ali ben et nous esperons qu’il ya deja des strategies bien definies pour eradiquer le cancer bongo et ses paires sans exception

  2. je réagis pr la 1ere fois sur ce site apres avoir entendu ou mieux lu a la tele la « suspension momentanée » de bongo a la tete de sa « pétaudiere »le gabon pour « veuvage » ,curieuse decision qui survient quelque temps apres l’action des ong sherpa et transparency que doit t’on voir dans cette decision?cest la question qui doit tarauder les esprits des gabonais en perte de chauvinisme.perso je crois que cest du foutage de gueule, on en a marre de la gerontocratie, chers gabonais mefions nous du plan que nous prepare cet homme sénile qui plus penses etre tres doué pour nous faire avaler la pilule du veuvage pour cosmétiser un coup d’etat ou léger le pouvoir a son fils avide de pouvoir soyons preparé pour que cela ne soit qu’une ambition tuons le mal dans l’oeuf .aussi faisons en sorte que les ong qui poursuivent actuellemnt bongo se charge aussi de ses congénères qui nous aussi laissé croupir pour servir leurs interet perso tous ministres qui sont resté longtemps au pouvoir mais qui n’ont rien fait, si la tete saute les autres doivent suivre pour aller vers un gabon nouveau

  3. Je ne comprend pas ce qui se passe sur ce cite.Les échanges ne sont pas édifiants du tout, ou très peu. Les gens passent la moitié de leur temps à chercher à démasquer les autres intervenants.on retrouve malheureusement cet esprit Gabonais à toujours se tromper d’objectif. Nous devons parler de l’avenir de notre pays,et éviter les futilités. En ce qui concerne le veuvage de BONGO, c’est un faux problème car Edith BONGO a été inhumée chez elle au Congo et non au Gabon; à partir de là toute la tradition TEKE a été bafouée.Edith était officiellement mariée et devrait être enterrée non loin de l’homme avec lequel elle s’était liée pour le meilleur et pour le pire,le vieux BONGO. car lorsque l’on perd un être très cher, plus est son épouse, on a besoin de continuer à la sentir très proche,et traditionnellement le lieu de l’enterrement doit satisfaire le conjoint éprouvé, mais on sait que les choses ne se sont pas du tout passé comme ça, à cause de la colère du vieux SASSOU, et edith a finalement été enterrée au Congo loin de son mari. A 74 ans c’est un coup dur pour le vieux BONGO ; lui qui a toujours tout maîtrisé avec l’argent du pétrole, tout commence à lui échapper,sa femme, le pouvoir, et même sa santé. Comme je l’ai déja prédit sur ce cite un malheur ne vient jamais seul. un malheur appelle toujours un autre malheur.Je crois que les choses vont très mal pour BONGO en ce moment. Son déclin est entrain de se préparer ici chez les blancs en ce moment;par conséquent le destin du peuple Gabonais. Si BONGO tombe notre pays se releverra enfin, mais si BONGO se relève alors là ce sera le calvaire des Gabonais pour l’éternité.
    Mes compatriotes semblent ne pas avoir conscience de cela, et c’est grave. Faites plutot vos prières pour que la France lache BONGO et les siens,et nous aurons enfin la liberté dans notre pays. Ce ne sera plus jamais comme avant au Gabon après le départ du dictateur.
    Si seulement tous les Gabonais pouvaient réaliser cela. Où est donc passée la branche armée du MAMBA ? BONGO est très faible en ce moment.Il a les c… sur le billot. Nous ne devons pas le rater .
    Que Dieu bénisse tous les Gabonais.

  4. Je ne doute pas des manigances de bongo, mais je tiens à préciser que lorsqu’on perd son mari ou sa femme, la situation est différente; Le veuvage est imposé par la tradition en cas de perte du mari ou de la femme.
    Il est clair que bongo est fatigué, il a pris un coup avec la mort de sa femme, il est malade et a de l’âge, normalement, il ne devait plus être au pouvoir depuis longtemps. depuis très longtemps, il ne gére plus le pays, c’est Ali ben et sa bande qui font tout le boulot.
    Cela ne devait pas nous étonner, la machine est en route.

  5. Lorsque les femmes perdent leur mari, on leur demande de coucher par terre et de pleurer 3 fois par jour pendant 3 mois, au moins, jusqu’à la céremonie de la levée de terre. Ensuite, elles doivent faire le veuvage pendant au moins une année, ici on est surpris de savoir que Bongo doit respecter la tradition, ce n’est pas parce qu’il est président, tant qu’a faire.
    Pourquoi cela ne devait pas se faire dans l’autre sens? la tradition est valable dans les deux sens. Il devait le faire depuis le début bien sûr. Cette coutume existe bel et bien et notamment chez les altogovéens, je peux l’affirmer puisque je suis également originaire de cette province,même si je ne suis pas tékée? dans nos pays les coutumes sont presque les mêmes.

    Maintenant si Bongo en profite pour passer la main à son fils, c’est une autre chose. S’il y a vacance de pouvoir,la constitution va en assurer les règles, la Borantso en est la présidente, mais il ya le peuple qui ne laissera pas faire n’importe quoi. Si les textes constitutionnels précisent que c’est le président du sénat qui doit assurer l’intérim et bien ce serait le président du sénat, femme ou homme. La constitution ne donne pas d’indication sur le sexe de la personne qui est à ce poste! le peuple souverain cité dans notre constitution n’est pas que masculin.
    le peuple est masculin et le peuple est féminin et à ce titre , nous avons le droit d’assumer des reponsabilités même au niveau le plus haut de l’état et alors ou est le problème? Et pourquoi, on ne laissera pas le pouvoir au président du sénat actuel?
    Ne déplacer pas le débat, merci

  6. Chers tous,

    J’ai lu ce communiqué, moi aussi, avec beaucoup de stupéfaction et surtout beaucoup d’étonnement. Et mon humble esprit critique et analytique me permet de porter ma contribution à ce débat. Tout en passant à un Nation Indivisible qu’est le Gabon, je vais alors partager avec vos quelques constats:

    1. En effet, en Afrique en général et au Gabon en particulier, quand on perd un parent, un époux, bref, un proche, on fait le veuvage. Et je précise de suite …Mais Je dois avouer que celui de Mr. Bongo est assez bizarre. Pourquoi doit-il attendre deux mois après cette tragique disparition pour se retirer ? Pour faire le veuvage ? Je crois qu’il y a d’autres mobiles et comme disait quelqu’un ici, arrêtons de prendre des Gabonais pour des tarés.

    2. Mr. Bongo durant son règne autoritariste du Gabon de 42 ans a bien perdu des frères de sang et sa fille Amissa. Pourtant il n’avait jamais suspendu ses activités. Il a aussi perdu son plus grand complice (Rawiri alias Joe le Rapide) sans jamais rien suspendre. Doit-on comprendre ici de différent ? quelque chose qui se trame à l’horizon ?

    3. Il fait comme si la mort d’Edith l’aurait surpris ? Mais non … Voyons ! S’il y a bien quelqu’un qui était au courant de cette fin proche de son épouse, c’est bien lui. Alors qu’il arrête de nous divertir et qu’il nous dise la vérité.

    4. Son beau-père Sassou s’est vite remis. Il a des élections présidentielles au Congo Brazzaville en Juillet/Aout 2009, donc il est en train de battre campagne. Doit-on donc comprendre que le Mollah est plus affligé que Sassou ? Si oui, alors la aussi il faut lire entre les lignes.

    5. Bongo est fatigue : physiquement, émotionnellement et intellectuellement. Depuis 42 ans, nous avons assiste a la dérive d’un pays, pourtant richement béni de Dieu. Il n’en peut plus et il doit partir. Mais au lieu de partir dans les conditions démocratiques, c’est-à-dire en faisant référence à la Loi Fondamentale (La constitution), Mr. Bongo, sachant que le peuple ne lui pardonnerait pas sa gestion sombre, obscurantiste du Gabon, veut faire appel à la clémence et à la générosité des Gabonais en évoquant la mort de cette pauvre dame qui est désormais partie. Non, respectons les morts.

    Chers amis, les lendemains sont incertains au Gabon et soyons avertis. Comme par hasard, la semaine dernière, c’est Ali qui montait au créneau avec sa mère (adoptive, je précise), aujourd’hui Mr. Bongo suspend les audiences sous prétexte qu’il veut faire le veuvage. Non, la pauvre Edith doit se retourner dans sa tombe car on utilise son nom ici bas pour une soif effrénée du Pouvoir.

    Non, il y a quelque chose qui se trame au sommet de l’Etat. Je précise que ce communiqué ne dit pas qui assure l’intérim de Mr. Bongo. Du coup, son fils (sans mère) se voit pousser les ailes….

    Arrêtez de vous moquer des genres Messieurs Bongo. Le peuple est averti et ne vous pardonnera pas votre gestion chaotique, dramatique et sans fierté. La misère dans laquelle vous nous avez contrains de vivre, d’Akébé, au pont Nomba, en passant par Nkembo, de Venez-Voir à Bellevue, du PK5 à Fin-Goudron (Nzeng-Ayong) restera là et nous aidera à vous juger.

    La Patrie ou la Mort, Nous Vaincrons.
    Johny

  7. excuze!
    je voulais demandé des excuses a requin, je me suis trompé en citant ton nom comme un bogoiste..il s’agissait plutot de l’autre la…le S.E qui vien d’etre découvert en s’exprimant sous plusieurs pseudos!

  8. Bonsoir stratégie et merci,
    C’est bien ce que tu fais. A ce que j’entends les gens dire, le ministre de la défense est quelqu’un d’ouvert, tes propositions vont certainement l’interpeller. Je t’encourage. l’esprit d’initiative nous a fait aussi défaut. Je ne sais pas si je fais bien de le dire, mais je trouve que nous n’initions pas beaucoup et certainement, à cause des pratiques du pouvoir, les gens ont pris l’habitude d’attendre tout de l’état, du politique , même dans les villages, ne serait ce que pour balayer devant sa porte, il faut qu’une haute personnalité vienne en mission pour que le maire demande aux citoyens de faire ville propre. Nous avons aussi notre propre rôle à jouer, celui de citoyen,d’autant plus que, pire encore, cet état nous a laissé tomber.

    C’est vrai que l’on rencontre maintenant des gabonais qui se battent pour s’en sortir par tous les moyens. Bikoum en faisait état, mais il faut entreprendre, faire emmerger des initiatives personnelles, créer des entreprises, nous y gagnerons beaucoup au lieu d’attendre les postes budgétaires et les nomminations.
    Prenons l’exemple du malien, qui vient au gabon avec ses deux mains, deux jours après il commence à tondre l’herbe devant les concessions des gabonais avec un coupe-coupe,le 3ème jour, le malien revient, mais cette fois-ci avec une machine; 15 jours après, ce n’est plus lui que tu vois, c’est un de ses fréres qui vient certainement d’arriver. quelques semaines après, en allant acheter une boîte d’allumette, c’est le même malien que tu vois derrière le comptoir et puis un jour, alors que tu attends un clando, une voiture s’arrête, curieusement c’est le malien qui venait couper l’herbe devant chez toi, au volant de sa belle voiture, qui se propose de te conduire et il ose même te faire la cour, c’est hallucinant! Puis quelques années plus tard, il est devenu entrepreneur et se retrouve avec une grande affaire au gabon etc. IL y a eu forcément une évolution.

    Beaucoup de nos compatriotes n’aiment pas qu’on le dise, mais si nous voulons nous en sortir, il faut oser, briser les barriéres, braver les interdits et dire ce qui est vrai. Faire la politique, c’est bien de toutes les façons en se levant le matin, en allant au bistrot ou autres, tu poses forcément un acte politique. IL faut que nous fassions emmerger l’esprit d’entreprise. organiser des séminaires de formations sur la création d’entreprise, les micro-projets, etc. Notre pays a besoin de tous ses enfants à tous les niveaux de son action, quelqu’en soit le domaine.
    Nous ne devrions négliger personne et il faut comme tu l’as dit si bien que nos dirigeants laissent les portes ouvertes, afin que tous ceux qui ont des projets puissent en parler.

    Je ne baisse pas les bras, je suis têtue, tu sais, j’apprends beaucoup des autres, et à chaque fois que l’on me donne une piste,je n’hésite pas.
    Tiens, je continue avec le livre de Cope et j’étais entrain de rigoler toute seule, c’est pas évident!

    C’est vrai que tu vas à Grenoble pour des examens? tu m’expliqueras tout ça.
    Je me proposais de t’inviter à une exposition que nous organisons sur le développement durable, puisqu’apparemment tu vis en France, étant donné que tu peux aller à Grenoble! tu pourras venir avec quelques amis, nous aurons peut-être l’occasion de discuter c’est commeça que commence un projet.
    très respectueusement à toi, merci.

  9. Bongo va se reposer pour le « veuvage » sans dire pour combien de temps et suspend toutes activité « selon la tradition téké ».
    La prochaine information sera surement » en raison du deuil qui frappe le Président de la république, et pour éviter les débordement liés à une vaccance de pouvoir, le pays sera CONTROLER par le ministre de la défence nationale ». Suivez bien

  10. la constitution prévoit qu’en cas d’incapacité du prési d’exercer, c’est le président du sénat, donc la femme, et non le fils ali. est-ce que les vieux sont prês a se laisser diriger par la femmelle? je ne pense pas, mais qu’ali ne tombe pas aussi dans ce piège tendu par les amis de son père. rose doit organiser les élections dans le temps que l’octroi la consti, elle peut le faire ça? j’en doute aussi!!! que la présidence dise clairement que bongo ne peut plus pourquoi jouer au chat et à la souris? il veut embraser avant de nous laisser? pourtant lui et sa famille ont eu 40 ans pour amasser les biens et l’argent du pays, ça n’a pas été suffisant pour qu’ali veuille aussi diriger le pays? mais ali ne communuque pas assez donc il va forcément se bourrer!!!
    à bon attendeur, avertissement!!!

  11. WM, OK !!!
    Mais faites cela avec élégance car vos informaticiens ont la possibilité de localiser ces fauteurs de troubles dont le but principal est de nous éloigner des débats que vous soulevez ici en TOUTE LIBERTE.

    Sans façons!!!

  12. Requin,

    Il y a modération pour limiter le désordre de gens qui viennent écrire sous plusieurs identités pour semer la désinformation. Nous vous avons donné les pseudonymes et l’IP de la personne, la même, qui se livre à ce jeu. La démocratie est bonne, mais le désordre et l’infamie, non. Vos messages passent sans modération, mais il y a maintenant des mécanismes en place pour que certains messages soient automatiquement bloqués jusqu’à ce que le Webmaster puisse les vérifier. Donc, certains messages passeront sans modération, d’autres non.

  13. Madame Magnogni,

    Il ne faut jamais perdre espoir sinon vous n’allez jamais faire bouger les lignes et réaliser vous projets. Pour ce qui est de votre projet actuel, il serait intéressant que vous vous rapprochez du ministere des Affaires sociales de notre pays. A cet effet, les services de l’ambassade du Gabon à Paris peuvent vous aidez en vous donnant les adresses et numéros de téléphone, par exemple.

    A la différence du tien, mon projet ne demande pas de financement conséquent. Tout ce qu’il me faut c’est de persuader un homme politique ambitieux, énergétique et surtout qui cultive le goût du résultat: j’ai besoin d’un homme ou d’une femme politique qui a un réél projet pour le Gabon.

    Je serai absent du 10 au 17 mai 2009 car je dois me rendre à l’université de Grenoble pour passer des examens. Dès mon retour sur Paris, je vous ferai part de mes propositions quoique je ne sois pas un professionnel des questions sociales.

    Bon courage!

  14. Chers Amis,

    J’apprends à l’instant que notre cher président par défaut, El Hadj Omar Bongo Ondimba, vient de suspendre jusqu’à nouvel ordre ses activités pour faire le deuil d’Edith Lucy, sa femme, décédée il y a pourtant près de DEUX mois aujourd’hui. Cette précision est d’autant plus importante que nous avons vu Bongo, ses enfants et son ex-femme, vaquer tranquillement à leurs occupations, sitôt la pauvre Edith morte et enterrée.

    Posons-nous donc la question qui s’impose aux esprits vifs et bien pensants : POURQUOI faire le deuil seulement aujourd’hui ? Pourquoi ne pas l’avoir fait – comme l’exige la coutume – hier ou avant-hier, juste après la mise en bière de la pauvre défunte ? Pourquoi avoir attendu tout ce temps ; pourquoi avoir attendu seulement aujourd’hui… avoir attendu faire ce deuil aussitôt après que la JUSTICE française ait autorisé la poursuite des enquêtes contre les BMA (Bien Mal Acquis) ?

    Enfin, toujours est-il que selon le communiqué de la présidence, la suspension des activités présidentielles aurait été décidée « à la demande pressante et renouvelée de la famille et de plusieurs personnalités politiques du pays qu’il (M. Bongo Ondimba) a reçues et dans le souci de s’inscrire dans la tradition gabonaise du veuvage ».

    Akié, Essazam !

    À bientôt 75 ans, vous paraît-il LOGIQUE qu’un Arrière Grand-Père, Un Grand-Père, Un Vieux Père, DOYEN des chefs d’Etats Africains, doublé d’UN authentique CHEF traditionnel Batéké comme l’est Bongo, ne puisse honorer sa FEMME et les LOIS de nos coutumes que sous l’insistance de son entourage ?

    Quand-même !

    Non messieurs du régime ! Le peuple est certainement bête, mais pas jusqu’à ce point, voyons !

    Les conseillers en stratégie politique de notre cher président par défaut viennent de montrer là toute l’étendue de leur essoufflement mental et intellectuel. Nous trouver comme alibi à la retraite de leur « sain » patron, la mort de la malheureuse fille congolaise est non seulement inintelligent, mais surtout diaboliquement cynique !

    Car utiliser la MORT d’une malheureuse étrangère pour s’attirer la CLÉMENCE des JUGES, la PITIÉ des hommes d’Etats et la SOLIDARITÉ du PEUPLE afin que les plaintes soient sursises témoignent là d’un niveau d’animalité et d’ignominie qui place réellement Bongo et son entourage dans les limbes de la diablerie. Jamais nous n’avons vu chose pareille nulle part ailleurs qu’au GABON. C’est terriblement machiavélique !

    Non, non et non. Mille fois non.
    La JUSTICE française, qui vient de prendre la BONNE décision que le peuple gabonais tout entier attend depuis des lustres – même si son bâillonnement social l’empêche de l’assumer – ne doit pas s’émouvoir de ce genre de superstitions. Et nous tenons pour espoir en cela, la FROIDEUR et l’implacabilité de la LOI pour mener ce DOSSIER des BMA jusqu’au BOUT.

    Non, non et non. Mille fois non.
    Les Hommes politiques français et internationaux ne doivent pas tomber dans ce traquenard que leur tend une fois de plus le Vieux renard Bongo et son entourage. Ne cédez pas à ces pleurs de panthère qui lui donnent pour blessé, alors que c’est juste un stratagème pour attirer votre clémence afin que vous soyez solidaires en vue de peser de votre poids en sa faveur contre les plaintes en cours. Ne voyez pas Bongo. Voyez Gabon. Voyez le Peuple Gabonais ; pour l’intérêt duquel votre JUSTICE vient de se prononcer courageusement. Et je demande solennellement à Denis SASSOU NGUESSO, le père de celle qui sert aujourd’hui d’alibi à l’étouffement par Bongo de la plainte des BMA que, même si cet étouffement viendrait aussi à lui profiter, mais qu’il voie avant tout l’honneur de sa défunte fille, et qu’il ne laisse pas Bongo et ses complices souiller sa mémoire pour couvrir de vils desseins.

    Et Non, non et non. Mille fois non.
    LE PEUPLE GABONAIS ne doit pas repartir pour un DEUXIEME deuil national. Vous PEUPLE GABONAIS aviez déjà consenti de partager comme il le fallait le deuil de la malheureuse défunte Edith Lucy Bongo, première dame du pays. Aujourd’hui, Omar Bongo et ses complices veulent vous entraîner dans un second DEUIL qui ne sert que leurs propres intérêts. Ne tombez pas dans ce piège. Exigez de la JUSTICE française qu’elle poursuive plutôt son travail, afin que Bongo et sa famille vous rende ce qu’ils vous ont volé. Car c’est pour susciter votre nième SOLIDARITÉ vis-à-vis de la décision que vient de prendre la JUSTICE française, que Bongo et sa famille viennent d’exhumer ce nouveau deuil de la pauvre Edith. Et votre détermination se doit d’être d’autant plus inaltérable que tout ce nouveau scénario se fait sur fond de racisme. Car si c’eût été un membre de la famille directe de Bongo qui serait décédée, le deuil eut été observé aussitôt après l’enterrement. Mais comme Bongo, ayant tué prématurément la pauvre jeune Edith (de la bouche même de son propre père Sassou Nguesso au Maroc), le deuil de cette dernière l’importait peu. C’est la raison pour laquelle il avait aussitôt repris ses habitudes au palais : voyages, audiences, conseils de ministres, etc… Aujourd’hui, compte-tenu de la flambée de l’affaire des Biens Mal Acquis, Bongo estime tout à coup le deuil de la malheureusement défunte nécessaire, juste pour essayer de passer pour UNE VICTIME aux yeux de TOUS. Car ne dit-on pas qu’on se doit de ménager ceux qui sont dans le DEUIL !

    Quelle ignominie !

    Petit Léon MBA-MINKO

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