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Gabon: Journée de la Liberté de la Presse à Port-Gentil : « La culture s’entretient comme un champ », (Faustin BE-ETHO(RAD)

Au terme des travaux des ateliers organisés à Port-Gentil par l’Union de la presse francophone, section gabonaise, sous le thème « le potentiel des médias: Dialogue, Compréhension mutuelle et Réconciliation », dans le cadre des festivités de la Journée internationale de la presse. ABOU BEKER, journaliste de Canal Delta.

« Ces deux jours ont été des moment de communion entre les communicateurs. Une communion ponctuée par des thèmes riches en enseignements, animés par des éminents conférenciers. Nous avons appris beaucoup de bonnes choses durant ces deux jours. Je remercie au passage La Section Gabonaise de l’Union de la Presse Francophone et l’UNESCO. Je souhaite, cependant, que ces rencontres se renouvellent et se pérennisent. Pour nous qui exerçons le métier à l’intérieur du pays, la chance de vivre ces événements n’est pas toujours de notre côté».

Laure M. Ogoula, journaliste à Top Bendjé.

« C’est une bonne chose le fait que cette manifestation se soit délocalisée de Libreville, où tout ou presque est concentré, pour Port-Gentil. J’ai reçu plusieurs enseignements qui vont me permettre de traiter les informations avec un autre regard que celui avec lequel, j’ai fait mes premiers pas dans ce métier noble. De telles initiatives sont à renouvelées. J’ai appris des choses que j’ignorais faute de connaissance. Je souhaite que l’année prochaine, les confrères de Lambaréné ou d’une autre localité bénéficient des mêmes enseignements pour la cause de notre corporation ».

Serges Yackelé Mihindou, journaliste à la RTG, Radio Mandji.

« Enfin, le moment tant attendu est arrivé! Parce que les communicateurs qui exercent à l’intérieur du pays se sentent souvent marginalisés, à tort ou à raison. Grande est notre joie qu’une partie des manifestations de la 19ème journée internationale de la liberté de la presse ait eu pour cadre Port-Gentil. Mais il ne faut pas que cela s’arrête en si bon chemin. La Section Gabon de l’UPF doit tout mettre en œuvre pour que les communicateurs de l’arrière pays soient remobilisés, intéressés et associés à tout ce qui se fait au sein de la corporation ».

Faustin BE-ETHO(RAD), coordinateur de la «page Port-Gentil », du journal L’Union.

« J’aimerais d’abord remercier la Section Gabon de l’UPF qui a tout fait pour que ces journées d’enseignements et festives se déroulent dans notre belle cité. Pour la majorité d’entre nous qui apprenons sur le terrain, même si l’on a des bribes de connaissances, la culture s’entretient comme un champ. Je suis sorti de l’atelier satisfait et repu intellectuellement ».

Francis Joe MOUANDA, tv+

« Les travaux de l’atelier m’ont enrichi de connaissances et d’informations. Il y a un manque de formation pour les journalistes de l’intérieur du pays, avec les nouvelles technologies de l’information, nous avons plus que besoin de telles initiatives. Ces journées prouvent qu’il y a des aînés dans la profession qui pensent à nous. J’ai aussi retenu que le journalisme est un métier noble. Un métier qui rapproche les peuples, qui véhicule les valeurs humaines. Sans le journaliste, il y a pas d’informations, sans la communication, les humains sont isolés et divisés».

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