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Le Gabac contre le blanchiment d’argent et le financement du terrorisme

Réunis à Libreville depuis le 17 septembre dernier, pour une durée de soixante douze heures, le Groupe d’action contre le blanchiment d’argent en Afrique centrale (Gabac), a entamé ce 18 septembre 2012, sa deuxième activité inscrite dans le cadre de la revue des mécanismes mis en place dans les six pays membres de la Communauté économique des États de l’Afrique centrale (Cemac) pour combattre le phénomène de blanchiment de capitaux et le terrorisme.

Après la plénière des Agences nationales des investissements financières (Anif) des États membres de la (Cemac) qui s’est ouvert le 17 septembre dernier sous la tutelle du ministre de l’Économie, Luc Oyoubi, président en exercice du Groupe d’action contre le blanchiment d’argent en Afrique centrale (Gabac), les experts de la sous-région se sont réuni en commission technique.

Cette deuxième activité, qui se tient depuis ce 18 septembre, s’inscrit dans le cadre de la réunion de la commission technique de la Gabac. Elle comporte un volet scientifique qui permet aux experts des États de la sous-région de se prononcer sur les projets de rapport d’évaluation mutuelle soumis à leur examen, et éventuellement de les adapter avant approbation par les instances décisionnelles du Gabac.

Selon le directeur des études du Gabac, Charles, Edande Mfegue, représentant le secrétaire permanent de cette institution, deux projets de rapports seront examinés durant ces assises, ceux du Cameroun et de la RCA.

Les dernières vingt quatre heures ont permis, d’après les organisateurs, d’évaluer les progrès réalisés par chaque cellule et d’identifier les points de blocage de l’opérationnalité de certaines d’entre elles.

La dernière activité de l’institution, qui se tiendra le 21 septembre prochain, regroupera les représentants des agences nationales d’investigation financières des six pays membres de la Cemac, les évaluateurs sous-régionaux, les représentants du secrétariat permanent du Gabac, le groupe d’action financière (Gafi), la Banque Mondiale, la Banque de France, les assujettis et les acteurs étatiques ayant participé à l’évaluation mutuelle du dispositif de lutte anti-blanchiment au Gabon, dans le cadre d’une réunion de concertation relative à l’évaluation mutuelle du dispositif de lutte anti-blanchiment et contre le financement du terrorisme (LAB/CFT).

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