Dans son allocution à l’occasion du 20e Sommet des chefs d’État et de gouvernement de l’Union africaine (UA) sur le thème «campagne pour l’accélération de la réduction de la mortalité maternelle en Afrique», le président Ali Bongo qui prend part à ces assises depuis le 27 janvier dernier, à Addis-Abeba, a plaidé pour (3-0) contre ce fléau qui décime le continent.
Zéro grossesse non désirée ; zéro décès maternel non audité ; zéro accouchement non assisté par personnel qualifié, à l’endroit de la femme africaine, sont les vœux émis par le président gabonais, Ali Bongo Ondimba du haut du pupitre du 20e Sommet des chefs d’État et de gouvernement de l’Union africaine (UA) qui s’est ouvert depuis le 27 janvier 2013 dans la capitale éthiopienne.

Établissant la cohérence entre le sujet de «la Campagne pour l’accélération de la réduction de la mortalité maternelle en Afrique» et le sceau de la République gabonaise, symbolisée par une maternité allaitante, renvoyant l’image d’une mère épanouie, ayant eu une grossesse désirée et un accouchement sans problème, Ali Bongo Ondimba a partagé la vision qu’il a pour toutes les mères du Gabon tout en recommandant à ses pairs du continent cette même philosophie pour les femmes africaines.

«Le Gabon, à l’instar de la plupart des pays africains, a besoin de tous ses enfants, en l’occurrence de toutes ses filles et de tous ses fils pour construire l’avenir en confiance. Cette aspiration de nos États vers l’émergence est malheureusement obérée par une mortalité maternelle qui affiche en Afrique les taux les plus élevés au monde, en dépit des progrès récemment enregistrés. Le chemin est certes long, les défis tout aussi nombreux, mais nous restons résolument déterminés à inverser la tendance», a déclaré le président Ali Bongo Ondimba.

«C’est pourquoi au Gabon, nous avons décidé de créer un Conseil national de lutte contre la mortalité maternelle que je vais personnellement présider. Ce conseil, relayé au niveau provincial par des comités de santé, aura pour mission principale de veiller à l’accessibilité géographique et financière des services de Santé de la reproduction y compris la planification familiale», a-t-il indiqué avant de rassurer que, le Gabon doublera particulièrement de vigilance pour que tous les accouchements se déroulent dans des conditions optimales. Car, la salle d’accouchement demeure encore aujourd’hui, à ses yeux, le maillon faible du système de santé, qu’il faut renforcer dans son ensemble.

«Aussi, le Gabon par ma voix s’engage t-il à renforcer son partenariat avec le Fonds des Nations Unies pour la Population dont nous saluons les interventions visant à améliorer les programmes de santé maternelle en Afrique, singulièrement au Gabon», a-t-il ajouté.

«Pour ma part, il me plaît d’annoncer solennellement que le Gabon vient d’apporter une contribution d’un montant de 500 000 dollars au Fonds des Nations Unies pour la population, à l’effet de soutenir les actions de cette institution», a annoncé Ali Bongo Ondimba.Ali Bongo plaide pour 3-0 contre la mortalité maternelle en Afrique

Dans son allocution à l’occasion du 20e Sommet des chefs d’État et de gouvernement de l’Union africaine (UA) sur le thème «campagne pour l’accélération de la réduction de la mortalité maternelle en Afrique», le président Ali Bongo qui prend part à ces assises depuis le 27 janvier dernier, à Addis-Abeba, a plaidé pour (3-0) contre ce fléau qui décime le continent.

Zéro grossesse non désirée ; zéro décès maternel non audité ; zéro accouchement non assisté par personnel qualifié, à l’endroit de la femme africaine, sont les vœux émis par le président gabonais, Ali Bongo Ondimba du haut du pupitre du 20e Sommet des chefs d’État et de gouvernement de l’Union africaine (UA) qui s’est ouvert depuis le 27 janvier 2013 dans la capitale éthiopienne.

Établissant la cohérence entre le sujet de «la Campagne pour l’accélération de la réduction de la mortalité maternelle en Afrique» et le sceau de la République gabonaise, symbolisée par une maternité allaitante, renvoyant l’image d’une mère épanouie, ayant eu une grossesse désirée et un accouchement sans problème, Ali Bongo Ondimba a partagé la vision qu’il a pour toutes les mères du Gabon tout en recommandant à ses pairs du continent cette même philosophie pour les femmes africaines.

«Le Gabon, à l’instar de la plupart des pays africains, a besoin de tous ses enfants, en l’occurrence de toutes ses filles et de tous ses fils pour construire l’avenir en confiance. Cette aspiration de nos États vers l’émergence est malheureusement obérée par une mortalité maternelle qui affiche en Afrique les taux les plus élevés au monde, en dépit des progrès récemment enregistrés. Le chemin est certes long, les défis tout aussi nombreux, mais nous restons résolument déterminés à inverser la tendance», a déclaré le président Ali Bongo Ondimba.

«C’est pourquoi au Gabon, nous avons décidé de créer un Conseil national de lutte contre la mortalité maternelle que je vais personnellement présider. Ce conseil, relayé au niveau provincial par des comités de santé, aura pour mission principale de veiller à l’accessibilité géographique et financière des services de Santé de la reproduction y compris la planification familiale», a-t-il indiqué avant de rassurer que, le Gabon doublera particulièrement de vigilance pour que tous les accouchements se déroulent dans des conditions optimales. Car, la salle d’accouchement demeure encore aujourd’hui, à ses yeux, le maillon faible du système de santé, qu’il faut renforcer dans son ensemble.

«Aussi, le Gabon par ma voix s’engage t-il à renforcer son partenariat avec le Fonds des Nations Unies pour la Population dont nous saluons les interventions visant à améliorer les programmes de santé maternelle en Afrique, singulièrement au Gabon», a-t-il ajouté.

«Pour ma part, il me plaît d’annoncer solennellement que le Gabon vient d’apporter une contribution d’un montant de 500 000 dollars au Fonds des Nations Unies pour la population, à l’effet de soutenir les actions de cette institution», a annoncé Ali Bongo Ondimba.