spot_imgspot_img

A Mes chers frères et soeurs gabonaises, par JEAN BAPTISTE NYONDA

A l’annonce de la disparition d’Edith Lucie Bongo, j’ai ressenti comme un grand soulagement étrange en rappport avec le combat que mène l’opposition gabonaise (particulièrement en France) dans l’espoir d’éradiquer le leadership infâme de l’indécent Bongo qui aura en quarante ans fait sombrer l’étoile de notre beau petit Gabon. En effet, la perte de cette dame vient sceller au fer rouge le début de la déroute indéniable de l’abominable « Maestro » lequel aura tout au long de sa scandaleuse vie politique fait précipiter nombre de nos ainés dans l’abîme de la mort. Pour ne citer que quelques uns, on ne peut que se souvenir du brillant Germain Mba (qui fut en même temps dauphin politique d’Houphouet Boigny), éxécuté crapuleusement devant son domicile dans un macabre bain de sang, de Doukakass Nziengui, de l’intraitable fomenteur de coup d’Etat Mandza à qui Bongo avait imposé qu’il implore à genoux sa clémence mais qui n’avait trouvé mieux à faire que de cracher au visage du dictateur, du Général d’Armée Ba Oumar avec qui j’avais eu à partager le petit déjeuner le matin du jour de son décès « organisé » en plein Conseil des Ministres, du notable Michel Fanguinoveny, à l’époque Maitre de la Maçonnerie gabonaise, fauché dans un « accident » de voiture sur une autoroute française et dont Bongo aura forcé la famille attristée à l’exil en France, de Martine Olabou, enseignante résistante qui avait martelé son inclination pour des classes primaires de vingt élèves au plus dans tout le pays au lieu de ces classes-jungle dont le décor aurait plus évoqué un attroupement bruyant avec le « sorcier » Harry Potter qu’un cadre authentique de cours, de Martin Rédjambé, celui-là même qui aurait pendant la tenue de la Conférence Nationale Souveraine, sommé le fils « en vue » de Bongo, Ali Ben, de se justifier quant à ses origines douteuses, et de beaucoup d’autres vaillants gabonais qu’il aura fait jeter à la mer par le canal de macabres opérations militaires aéroporteés. C’est dire qu’aujourd’hui, le Gabon se trouve à la croisée des chemins et que le temps est venu d’affronter avec le plus de détermination possible ce Bongo déjà miné par l’age et la maladie, saigné par la pègre, vieilli par la corruption et l’insoutenable médisance et enfin attéré par le vide que lui laisse la disparition de sa distinguée compagne de basses besognes.

Chers frères et soeurs gabonaises, aussi étrange que peut paraitre mon propos, ce deuil d’Edith Bongo n’est pas le notre car l’union de cette dame avec Bongo avait eu pour socle un contrat ordurier visant à piller les fortunes de notre pays, lesquels milliards seraient destinés à être planqués dans les paradis fiscaux du Monde entier très indexés en ce moment. Aussi les conséquences désastreuses que pourrait entrainer ce décès de la fille d’un Chef d’Etat étranger sur notre sol ne devraient qu’interpeller les responsables dudit complot, c’est à dire Bongo et sa famille (cela les congolais doivent bien le comprendre). Parce qu’en vérité, Bongo n’a jamais incarné à l’image du Père du Gabon Libre, Léon Mba, les valeureux traits culturels de notre Nation, ni hier, ni aujourd’hui. Il n’aura été que cet homme insignifiant de bas étage à l’esprit vénal arrivé de toutes et de nulle part qui, placé à la tête d’une énorme manne financière, se sera attelé à la tâche de briser l’essor de talentueux gabonais (l’exemple épatant de la longue assignation à résidence de Vincent de Paul Nyonda, Père du Théâtre gabonais aux côtés de sa famille dans son village natal de Mandji après la mort de Léon Mba, n’ est que trop révélateur de l’épouvantable caractère du salopard). Donc chers frères et soeurs, si vous pourriez un brin vous ressaisir, il serait mieux indiqué que vous laissiez le soin aux congolais de pleurer leur soeur laquelle aurait pu vivre plus longtemps eût elle préconisé un différent choix de vie. A ce moment, elle aurait peut être réalisé comme l’ont compris en silence beaucoup de Sages gabonais que tout ce que Bongo « touche ou approche » a toujours eu, sans doute à cause de son karma mal connecté à Dieu, cette curieuse tendance à virer au cauchemar. Dommage que l’argent diabolique de ce dernier ait eu raison d’elle pour au final lui faire vivre un destin aussi invraisemblablement tragique.

A 44 ans! Doux Jésus Edith Sassou! incontestable icône de grâce Noire et de charme exquis s’en est allée au plus fort de sa beauté énigmatique taillée dans la Pierre comme sur un simple claquement de doigts. Sous la houlette de Bongo le « MAGICIEN PHARAONIQUE ». Incroyable! Mais que peut-il encore rester d’exploits ignominieux à cet individu? Rayer le Gabon de la carte du Monde? Non chers frères et soeurs, il est préférable de laisser aux congolais la primauté de leur deuil et prendre vos distances vis à vis des simagrées « d’homme ému » que Bongo vous exhibe depuis avec son habituel manque de pudeur. Voyez vous, dans un certain registre, nos chers frères congolais là auraient du mal à saisir, que cette personne que vous jugiez très souvent trop « arrogante » dans sa congolité (à cause de Bongo qui lui aura donné l’aval de marcher sur le sang sacré de gabonais ordinaires) ait pu, par sa seule mort, déclencher en vous, en un aussi court instant, une douleur assomante devenue subitement trop grande!!!!!! On peut tricher avec beaucoup de gens, pas souvent avec des congolais.

Chers frères et soeurs gabonaises, même si à cause de l’apport considérable du « Vieux » dans notre Culture (parce qu’un pays inconscient de son passé marche sans boussole vers nulle part) le nom que je porte est au Gabon ce que les diamants sont aux femmes, je ne saurais vous garder plus longtemps rivés à mon discours et ceci par respect pour vos lourdes préoccupations. Pourtant je formulerai toujours le souhait que la beauté de vos coeurs transformée en infinies symphonies d’Amour puisse imprimer à loisir dans les esprits de nos enfants des générations actuelle et future, les Codes d’Honneur des Samouraïs japonais inscrits dans notre potentiel culturel (Mvet, Bwiti, Ndjembè, Mouïri,etc..) afin qu’un nouveau Gabon irradiant d’Excellence sorte de terre et que notre vénération du drapeau soit aussi touchante que cette image émouvante de nombreux Américains et Américaines, pleurant de joie en rêvant d’une Amérique plus rayonnante, et très « inconsolables » face à la spectaculaire prestation musicale de la Serénissime chanteuse noire Aretha Franklin sur le célèbre chant Gospel « MY COUNTRY ‘TIS OF THEE (voir dans Youtube), lors du jour inaugural qui aura porté un Noir au sommet de la plus grande puissance mondiale. Relayée en près de 21 H 30 minutes de direct télévisuel, cette inauguration est entrée dans la Légende comme étant l’évenement ayant été le plus suivi dans l’Histoire des Etats Unis. Et ce jour là, imaginant moi aussi une Autre A frique laquelle s’affranchirait des imbéciles du type Bongo, ce jour là mes chers frères et soeurs Africaines, ce jour là je vous dis, sur la tête de ma mère ce jour là, j’ai pleuré !

On est Ensemble,

JEAN BAPTISTE NYONDA

Exprimez-vous!

  1. Le plan que nous concocte Omar BONGO pour introniser son fils , en « cadeautant  » certains députés , en vue d’une modification de la constitution, comme l’annonce La Lettre du Continent, est déjà mis en place.

    Ce qui laisse supposer que Mr Bongo n’a toujours pas oublié son rêve d’installer à la tête du pays son fils. Chers vaillants compatriotes députés, allez vous vous compromettre dans cette supercherie?

    Ne tombez pas aussi bas pour accepter un tour de passe passe qui ferait passer le pays pour un royaume déguisé. Ne vous laissez pas faire en acceptant des sommes et des cadeaux pour que Ali Bongo accède au pouvoir. S’il le veut il pourra se présenter comme citoyen à l’élection présidentielle, mais pas par le seul fait de Mr BONGO. Peuple Gabonais soyons vigilants.
    A bon entendeur Salut

    Jean Legnagna

  2. à youzza, donc tu es en train de me dire que comme de toutes les façons nous sommes de près ou de loin impliqués dans les divers détournements on doit pouvoir valider ça pour le bien vivre ensemble dans ce pays, très bien je comprends que je peux pas discuter développement avec toi parce que tu m’a pas l’air de quelqu’un qui veux changer de mentalité pour le bien de ce pays, libre à toi de choisir ton bord, d’un autre coté tu me dis que je me mêle des choses de votre famille qui sont exposé à la vindicte populaire d’internet? super là encore je comprends combien de fois tu as tout pigé…. salut.

  3. kack c’est comme ça que tu nous remercie apres tout ce qu’on a fait pour toi a mirabeau c’est du malheure de notre famille et de notre grand pere que tu parle de cette façon alors que tu as manger avec nous l’argent qu’il nous envoyais tu dormais dans ses maisons.tun etait a cette epoque une enfant du regime et maintenant tu n’es plus un enfant du regime, meme nos ainés ton donner à boire à manger et voila comment tu les remercies à croire que c’est la charité qui se moque de l’eglise mais kack c’est pas grave on se croisera un jour.

    toi mike qui te permet de te meler des affaires de famille d’autruit tu pense que monsieur MOUBAMBA qui s’adresse a son fils est fou la politique est une forme de soif de pouvoir l’humiliation est une forme de provoque meme si le gabon sombre dans la dictature et la mauvaise gerance qui de nos parent respective n’a pas puiser dans les caisses de l’etat je suis sur que toi mike ton parent proche ou eloigner a derobé un budget quelque part donc arretons de faire semblant vivons ensemble et retenons que tout les gabonais on une parenté a tous les niveaux

  4. à Christian MOUBAMBA BAGWANGUI,
    Grand je ne crois pas qu’on attende de ta sagesse de chef de famille que toi aussi tu te lance dans l’insulte de ton propre neveu,certes dans ce qu’il a dit tout n’est pas parfait mais reconnait quand même la pertinence de certaines de ses analyses, si on doit reconnaitre que notre pays est à reconstruire je ne crois pas que c’est en s’attaquant aux personnes qu’il faut le faire mais en prônant certains idéaux, et en évitant de parler à chaque fois au nom du peuple gabonais qui pour certains ont effectivement pleuré la première dame, mais reconnaissons aussi d’autres étaient préoccupés dans lutte pour leur survie quotidienne ainsi va la vie;
    je n’ai pas eu une éducation qui me permet d’insulter un ainé et je ne le ferait pas ici, je vous dis juste qu’il faut accepter le débat démocratique qui est souvent et au plus haut point contradictoire, tu déclare mon grand que tu es à la soupe avec le président et que le peuple gabonais vous soutient dans cette dure épreuve, ne penses tu pas qu’il faille se remettre en cause en faisant le bilan des 41 ans ans de pouvoir ce que ce pays et ce peuple devait être si les choses se passaient normalement? j’ose espérer mon grand que vous avez été voir ailleurs et que vous avez des pincements au coeur en voyant le spectacle désolant que nous offre notre cher pays maintenant, pourquoi ne voulez-vous pas que les gens se lâchent un peu pour ce qui leur reste de liberté pour dénoncer ses dérives? pourquoi vous en prendre à votre fils au lieu de le conseiller sur le bien fondé d’une nation libre et égalitaire ou tous les gabonais doivent avoir leur chances? pourtant au vu de tes écrits il me semble entrevoir ta grandeur intellectuelle que tu as malheureusement mis au service de ceux qui pillent ce pays puisque tu te déclare au pouvoir, on a pas besoin de preuves scientifiques pour voir que l’opulence visible dans laquelle les nababs de ce pays baignent est le fruit de comportement déviants comme l’a dit le premier ministre un jour, donc arrêtez de venir défendre l’indéfendable ici, j’ose espérer que personne ne veut du mal de ce pays et que toutes les bonnes contributions sont les bienvenue à commencer par cette tribune que le BDP nous ouvre pour nous exprimer ce qui n’est plus choses facile au Gabon actuellement. avec tous mes respects mon grand.

  5. Mon cher Jean Baptiste,

    Je viens seulement de prendre connaissance de ton article « A mes frères et sœurs gabonaises » que tu as publié sur le site de ton fameux mouvement « BONGO DOIT PARTIR ».
    Je reconnais qu’en matière de politique, chaque citoyen a le droit de choisir son camp. Tu as choisis ton camp, c’est tout à fait normal, je respecte ton choix.
    Mais je ne peux rester silencieux devant l’ignominie de ton innommable adresse à tes frères et sœurs gabonaises.
    Je suis peiné de constater, mon cher Jean Baptiste, qu’un enfant NYONDA, « vraiment éduqué » par Vincent de Paul NYONDA, puisse être une fontaine de haine, d’insultes, et de calomnies envers tout homme, à plus forte raison, envers Omar BONGO ONDIMBA, un homme et un ami que son père avait en très haute estime.
    Je m’étonne que cet enfant ne puisse pas être sensible à la douleur que tout homme éprouve lors de la perte d’une personne très chère, à l’occurrence lors de la mort d’une épouse. Quel genre d’homme es-tu donc devenu, mon cher fils ? Jean Baptiste, j’ai connu NYONDA, mon oncle, mieux que vous tous, ses enfants, je peux en parler. Dans son combat politique NYONDA a toujours respecté ses adversaires : AUBAME et NYONDA étaient des adversaires aux propos farouches, mais une fois sortis de l’arène politique, ils redevenaient des gabonais qui se respectaient et qui s’estimaient mutuellement.
    En insultant le Président de la République, en tenant à son encontre des propos malveillants et insensés et en te réjouissant de son malheur, tu n’as rien retenu de l’éducation de ton père et, je te le dis franchement, tu traînes son nom dans le déshonneur et la honte. Ton comportement est atrocement choquant pour moi qui suis, de par la volonté de ton père, le chef de sa famille.
    L’éducation que NYONDA t’a donnée semble être aux antipodes de ce qu’il enseignait en longueur des journées : respect, honneur et dignité. Tout homme a droit au respect et de son honneur et de sa dignité.

    Si tu crois que le nom que tu portes est au Gabon, ce que les diamants sont aux femmes, cela démontre que le câble que tu as souvent pété n’a toujours pas trouvé remède, et c’est dommage pour ta famille.
    Tu me diras sûrement que je suis un homme du régime, je te répondrai oui assurément et là encore c’est mon choix et le respect de la tradition de la Maison NYONDA dont il m’a confié la garde, la veille de sa mort.
    Il paraît que les autorités de la France t’ont accordé le droit de vivre dans ce pays au motif que tu serais un exilé politique. Bon Dieu qui te connaît au Gabon en tant homme politique, qui te connait au Gabon en tant simple ouvrier du développement, je veux dire qui te connaît au Gabon par tes œuvres ?
    Tu es un imposteur Jean Baptiste, tu n’as jamais été pourchassé par le régime d’Omar BONGO ONDIMBA, d’autant plus que ce dernier était l’ami de ton Père et c’est bien à ses bons soins que ton père vous a tous confiés en mourant.
    Tu dis en outre n’importe quoi sur l’histoire de ton père que tu ne connais pas du tout quand tu parles de sa résidence surveillée à Mandji : je suis à ta disposition pour t’éclairer davantage.
    En te proclamant exilé politique, tu es devenu un imposteur, un menteur.
    Les frères et les sœurs gabonaises auxquels tu t’adresses dans ta folle et débordante imagination ne te connaissent même pas et même s’ils te connaissaient, cela n’aurait rien changé. Entre nous quel gabonais peut t’écouter au Gabon ; le Gabonais n’est plus dupe, tu sais ?
    Les Gabonais ont rendu un grand hommage à la Première Dame du Gabon, dans le recueillement, l’honneur et la dignité, peut-être mieux encore que ne l’ont fait ses frères et soeurs de son pays d’origine.
    L’hommage rendu par le peuple a été à la dimension de la grandeur et de la noblesse de son âme ainsi que de la largeur de son esprit : en tant que citoyen et contrairement à toi, j’en suis très content pour le pays, pour l’époux et pour le Président de la République.
    Encore une fois, c’est peut-être ton droit de critiquer le régime actuel, mais il n’est pas normal de te réjouir de la douleur du Chef de l’Etat qui nous avait montré sa grande peine et manifesté sa solidarité en venant s’incliner personnellement devant la dépouille mortelle de ton Père, alors que toi qui te glorifies de porter son nom – et c’est ton seul mérite connu – tu brillais par ton absence.
    Voilà maintenant que tu brilles par ton inconscience et par ta haine ! Voilà maintenant que tu ne respectes même pas le nom que tu portes.
    Que Dieu te vienne en aide !

    Christian MOUBAMBA BAGWANGUI

  6. A mon frère, pour ne pas dire mon fils, Jean Baptiste NYONDA
    BDP

    Mon cher Jean Baptiste,

    Je viens seulement de prendre connaissance de ton article « A mes frères et sœurs gabonaises » que tu as publié sur le site de ton fameux mouvement « BONGO DOIT PARTIR ».
    Je reconnais qu’en matière de politique, chaque citoyen a le droit de choisir son camp. Tu as choisis ton camp, c’est tout à fait normal, je respecte ton choix.
    Mais je ne peux rester silencieux devant l’ignominie de ton innommable adresse à tes frères et sœurs gabonaises.
    Je suis peiné de constater, mon cher Jean Baptiste, qu’un enfant NYONDA, « vraiment éduqué » par Vincent de Paul NYONDA, puisse être une fontaine de haine, d’insultes, et de calomnies envers tout homme, à plus forte raison, envers Omar BONGO ONDIMBA, un homme et un ami que son père avait en très haute estime.
    Je m’étonne que cet enfant ne puisse pas être sensible à la douleur que tout homme éprouve lors de la perte d’une personne très chère, à l’occurrence lors de la mort d’une épouse. Quel genre d’homme es-tu donc devenu, mon cher fils ? Jean Baptiste, j’ai connu NYONDA, mon oncle, mieux que vous tous, ses enfants, je peux en parler. Dans son combat politique NYONDA a toujours respecté ses adversaires : AUBAME et NYONDA étaient des adversaires aux propos farouches, mais une fois sortis de l’arène politique, ils redevenaient des gabonais qui se respectaient et qui s’estimaient mutuellement.
    En insultant le Président de la République, en tenant à son encontre des propos malveillants et insensés et en te réjouissant de son malheur, tu n’as rien retenu de l’éducation de ton père et, je te le dis franchement, tu traînes son nom dans le déshonneur et la honte. Ton comportement est atrocement choquant pour moi qui suis, de par la volonté de ton père, le chef de sa famille.
    L’éducation que NYONDA t’a donnée semble être aux antipodes de ce qu’il enseignait en longueur des journées : respect, honneur et dignité. Tout homme a droit au respect et de son honneur et de sa dignité.

    Si tu crois que le nom que tu portes est au Gabon, ce que les diamants sont aux femmes, cela démontre que le câble que tu as souvent pété n’a toujours pas trouvé remède, et c’est dommage pour ta famille.
    Tu me diras sûrement que je suis un homme du régime, je te répondrai oui assurément et là encore c’est mon choix et le respect de la tradition de la Maison NYONDA dont il m’a confié la garde, la veille de sa mort.
    Il paraît que les autorités de la France t’ont accordé le droit de vivre dans ce pays au motif que tu serais un exilé politique. Bon Dieu qui te connaît au Gabon en tant homme politique, qui te connait au Gabon en tant simple ouvrier du développement, je veux dire qui te connaît au Gabon par tes œuvres ?
    Tu es un imposteur Jean Baptiste, tu n’as jamais été pourchassé par le régime d’Omar BONGO ONDIMBA, d’autant plus que ce dernier était l’ami de ton Père et c’est bien à ses bons soins que ton père vous a tous confiés en mourant.
    Tu dis en outre n’importe quoi sur l’histoire de ton père que tu ne connais pas du tout quand tu parles de sa résidence surveillée à Mandji : je suis à ta disposition pour t’éclairer davantage.
    En te proclamant exilé politique, tu es devenu un imposteur, un menteur.
    Les frères et les sœurs gabonaises auxquels tu t’adresses dans ta folle et débordante imagination ne te connaissent même pas et même s’ils te connaissaient, cela n’aurait rien changé. Entre nous quel gabonais peut t’écouter au Gabon ; le Gabonais n’est plus dupe, tu sais ?
    Les Gabonais ont rendu un grand hommage à la Première Dame du Gabon, dans le recueillement, l’honneur et la dignité, peut-être mieux encore que ne l’ont fait ses frères et soeurs de son pays d’origine.
    L’hommage rendu par le peuple a été à la dimension de la grandeur et de la noblesse de son âme ainsi que de la largeur de son esprit : en tant que citoyen et contrairement à toi, j’en suis très content pour le pays, pour l’époux et pour le Président de la République.
    Encore une fois, c’est peut-être ton droit de critiquer le régime actuel, mais il n’est pas normal de te réjouir de la douleur du Chef de l’Etat qui nous avait montré sa grande peine et manifesté sa solidarité en venant s’incliner personnellement devant la dépouille mortelle de ton Père, alors que toi qui te glorifies de porter son nom – et c’est ton seul mérite connu – tu brillais par ton absence.
    Voilà maintenant que tu brilles par ton inconscience et par ta haine ! Voilà maintenant que tu ne respectes même pas le nom que tu portes.
    Que Dieu te vienne en aide !

    Christian MOUBAMBA BAGWANGUI

  7. Message inapadté, mal conçu et … MAUVAIS
    Que vous vous attaquiez à l’homme politique Bongo, à son épouse, feue Édith Lucie Bongo, ne me pose pas problème. Le problème est qu’ici nous avons l’Homme Bongo qui vit un moment douloureux en la perte de son épouse.
    Que nous soyons du Nord ou du Sud … le RESPECT est d’Or. Alors M. Nyonda, revenez à vos valeurs (dont vous parlez dans votre texte) et faites un peu moins de calomnies, de médisances, d’envies, d’hypocrisie etc.
    Comme le site lui-même, les messages innapropriés y sont véhiculés sans censure ni rigueur intellectuelle.

    PFFFFFFFFFFFFFFFFFFFFFFFFF … tous des aveugles …..

  8. Christian MOUBAMBA BAGWANGUI
    E-Mail christianmoubamba@yahoo.fr

    A mon frère, pour ne pas dire mon fils, Jean Baptiste NYONDA 
    BDP

    Mon cher Jean Baptiste,

    Je viens seulement de prendre connaissance de ton article « A mes frères et sœurs gabonaises » que tu as publié sur le site de ton fameux mouvement « BONGO DOIT PARTIR ».
    Je reconnais qu’en matière de politique, chaque citoyen a le droit de choisir son camp. Tu as choisis ton camp, c’est tout à fait normal, je respecte ton choix.
    Mais je ne peux rester silencieux devant l’ignominie de ton innommable adresse à tes frères et sœurs gabonaises.
    Je suis peiné de constater, mon cher Jean Baptiste, qu’un enfant NYONDA, «  vraiment éduqué » par Vincent de Paul NYONDA, puisse être une fontaine de haine, d’insultes, et de calomnies envers tout homme, à plus forte raison, envers Omar BONGO ONDIMBA, un homme et un ami que son père avait en très haute estime.
    Je m’étonne que  cet enfant ne puisse pas être sensible à la douleur que tout homme éprouve lors de la perte d’une personne très chère, à l’occurrence lors de la mort d’une épouse. Quel genre d’homme es-tu donc devenu, mon cher fils ? Jean Baptiste, j’ai connu NYONDA, mon oncle, mieux que vous tous, ses enfants, je peux en parler. Dans son combat politique NYONDA a toujours respecté ses adversaires : AUBAME et NYONDA étaient des adversaires aux propos farouches, mais une fois sortis de l’arène politique, ils redevenaient des gabonais qui se respectaient et qui s’estimaient mutuellement.
    En insultant le Président de la République, en tenant à son encontre des propos malveillants et insensés et en te réjouissant de son malheur, tu n’as rien retenu de l’éducation de ton père et, je te le dis franchement, tu traînes son nom dans le déshonneur et la honte. Ton comportement est atrocement choquant pour moi qui suis, de par la volonté de ton père, le chef de sa famille.
    L’éducation que NYONDA t’a donnée semble être aux antipodes de ce qu’il enseignait en longueur des journées : respect, honneur et dignité. Tout homme a droit au respect et de son honneur et de sa dignité.

    Si tu crois que le nom que tu portes est au Gabon, ce que les diamants sont aux femmes, cela démontre que le câble que tu as souvent pété n’a toujours pas trouvé remède, et c’est dommage pour ta famille.
    Tu me diras sûrement que je suis un homme du régime, je te répondrai oui assurément et là encore c’est mon choix et le respect de la tradition de la Maison NYONDA dont il m’a confié la garde, la veille de sa mort.
    Il paraît que les autorités de la France t’ont accordé le droit de vivre dans ce pays au motif que tu serais un exilé politique. Bon Dieu qui te connaît au Gabon en tant homme politique, qui te connait au Gabon en tant simple ouvrier du développement, je veux dire qui te connaît au Gabon par tes œuvres ?
    Tu es un imposteur Jean Baptiste, tu n’as jamais été pourchassé par le régime d’Omar BONGO ONDIMBA, d’autant plus que ce dernier était l’ami de ton Père et c’est bien à ses bons soins que ton père vous a tous confiés en mourant.
    Tu dis en outre n’importe quoi sur l’histoire de ton père que tu ne connais pas du tout quand tu parles de sa résidence surveillée à Mandji : je suis à ta disposition pour t’éclairer davantage.
    En te proclamant exilé politique, tu es devenu un imposteur, un menteur.
    Les frères et les sœurs gabonaises auxquels tu t’adresses dans ta folle et débordante imagination ne te connaissent même pas et même s’ils te connaissaient, cela n’aurait rien changé. Entre nous quel gabonais peut t’écouter au Gabon ; le Gabonais n’est plus dupe, tu sais ?
    Les Gabonais ont rendu un grand hommage à la Première Dame du Gabon, dans le recueillement, l’honneur et la dignité, peut-être mieux encore que ne l’ont fait ses frères et soeurs de son pays d’origine.
    L’hommage rendu par le peuple a été à la dimension de la grandeur et de la noblesse de son âme ainsi que de la largeur de son esprit : en tant que citoyen et contrairement à toi, j’en suis très content pour le pays, pour l’époux et pour le Président de la République.
    Encore une fois, c’est peut-être ton droit de critiquer le régime actuel, mais il n’est pas normal de te réjouir de la douleur du Chef de l’Etat qui nous avait montré sa grande peine et manifesté sa solidarité en venant s’incliner personnellement devant la dépouille mortelle de ton Père, alors que toi qui te glorifies de porter son nom – et c’est ton seul mérite connu – tu brillais par ton absence.
    Voilà maintenant que tu brilles par ton inconscience et par ta haine ! Voilà maintenant que tu ne respectes même pas le nom que tu portes.
    Que Dieu te vienne en aide !

    Christian MOUBAMBA BAGWANGUI.

  9. Bjr grand c bien de critiquer les autres mais toi le kongossa dit ke tu na meme pas enterré ton pere mais tu oses parler. Enfin arrete un peu tes betises soit un homme et affirme toi pense un peu a tes nieces et neveux , tu pense qu un tel discours va t apporter quoi ? Ou tu espere un poste dans un ministere au gabon? Grand oui toi JB.NYONDAje te trouve petit desolant et franchement pour un gabonais tu me fais honte

  10. a mitsunba et le gabonais……c’est vrai que nos ailleuls qui sont mort pour defendre notre cause bongo les a assasines pacifiquement……….

  11. super, joachim j’épouse parfaitement,ton raisonnement,on a pas besoin de haine pour construire le Gabon,a nous de dicerner ce qui est juste,à savoir que le bien est bien, et que le mal n’est pas bien.courage a toi,et que madame Edith, repose en paix dans la grâce de Dieu tout puissant.
    Merci mon frère,il y a de l’espoir …

  12. C’etait la première dame du gabon, donc un peu de respect,en tant que gabonais tu me fait honte,jean baptiste nyonda,tu n’a aucun respect de la douleur des autres fut il mauvais,tu ne mérite pas d’être gabonais,tu es un animal,un chien aigri, oiseau de mauvais augure.nous sommes en deuil,ta haine tu la garde pour toi, tu n’es pas le seule gabonais a souffrir,enfoiré…. tu ne merite pas mieux que bongo que tu insulte, (…censure), moi je pleure notre première dame qui nous a montré son affection,vis ta (…censure) de vie au lieu nous enmerder avec ta haine, on a pas besoin de ça au gabon.

    un gabonais qui aime son pays au gabon

  13. Je pense que quelques soi nos appartenances politique il est important que nous sachions dicerner la politique et les motivations personnel.
    Moi meme etant encore lyceen avant de quitter le gabon pour mes etudes j’ai ete renvoye pendant une semaine de mon etablissement pour m’etre absente a un meeting organiser par Mme Edith Lucie Bongo.Mes raisons etaient sans doute fondees ou infondees mais soit j’avais mes raisons.
    Cette parenthese etait juste pour demontrer que je n’attachais pas une attention particuliere a l’individu.
    Mais c’est avec un immense regret que je lis l’article de Jean Baptiste Nyonda,de tel commentaires sont du genre a insiter a la haine,la violence,et incident entre Etats.Certes le president Bongo est peut etre responsable de tout ces crimes mais tout le monde est innocent jusqu’a ce que,culpabilite soit prouve.Nelson Mandela n’a t’il pas passer 27 ans de sa vie derriere les barreaux?Pourtant une fois libre et elu president a t’il fait la chasse a tous les blancs?
    je n’ai jamais ete un priviligie du system Bongo mais je pense qu’il est sage en politique de pense avec nos tetes qu’avec nos coeurs.Les exemples du kenya,du congo RDC,ou des freres se sont tues doivent nous servir d’exemple et enseigner a nos petits freres qu’en politique le language doit toujours raisonnable parceque les reactions peuvent etre dramatique.Et aussi je trouve que Nyonda fait du tapage lorsqu’il fait allusion a Obama.En fait je pense qu’il n’a pas bien compris la philosophie de MR Obama qui prone la comprehension et l’egalite entre les races.
    Que Mme Edith Lucie Bongo repose en paix et que le tres haut jete un regard de compassion sur ces enfants qui sont encore des adolescents.

LAISSER UN COMMENTAIRE

S'il vous plaît entrez votre commentaire!
S'il vous plaît entrez votre nom ici

spot_imgspot_img

Articles apparentés

spot_imgspot_img

Suivez-nous!

1,877FansJ'aime
133SuiveursSuivre
558AbonnésS'abonner

RÉCENTS ARTICLES