spot_imgspot_img

Mort subite à Mouila d’une élève durant l’épreuve de sport du BEPC

athletisme-Mort subite, c’est le terme le plus approprié pour décrire ce qui est arrivée, le jeudi 30 mai 2013, à une jeune fille de la classe de troisième au Centre Ngounié, à Mouila, en plein examen de sport en vue de l’obtention du Brevet d’études premier cycle (BEPC).

La victime, selon des sources concordantes s’appellerait Laurence Nyengui Nziengui. Même si son âge n’a pas été indiqué, on peut aisément s’imaginer qu’elle n’était qu’au début de l’adolescence. Ce que pourrait confirmer son statut d’élève en classe de troisième au Centre Ngounié, dans la filière d’Educatrice préscolaire.

Rendue au lycée technique Nyonda Makita, établissement secondaire de la ville de Mouila disposant encore des aires de jeu praticables, la jeune fille a été frappée d’un malaise pendant les épreuves pratiques d’éducation physiques et sportives dans le cadre de l’examen du Brevet d’études premier cycle (BEPC). Selon l’Agence gabonaise de presse qui rapporte ce fait, le jeune Laurence, conduite de toute urgence au Centre hospitalier régional de Mouila (CHREM), n’a pu être sauvée.

«Les élèves scolarisés mais candidats libres aux examens nationaux, pour la plupart, sous-estiment leur état de santé, préférant parfois passer les épreuves pratiques de sport pour s’arracher plus de points qu’à l’écrit où les chances sont moindres», note l’AGP.

L’encyclopédie en ligne, Wikipédia, relève que «dans le monde, la mort subite frappe chaque année deux athlètes de 12 à 35 ans sur 100 000 et les lésions cardiaques en constituent la principale cause, dans plus de 90 % des cas». Ce site souligne également que «la mort subite du sportif est souvent perçue comme incompréhensible, car brutale et touchant des individus bien portants qui semblaient en excellente santé. Certains drames ayant lieu dans le monde professionnel sont souvent associés par les médias ou l’opinion au dopage, mais les cardiologues se posent encore la question».

Ce qui est sûr c’est que l’on ignore si la jeune élève souffrait d’une maladie respiratoire ou avait un problème cardio-vasculaire. Toutefois, si une autopsie pouvait être réalisée, les parents pourraient au moins faire le deuil en sachant de quoi est morte leur fille.

Exprimez-vous!

LAISSER UN COMMENTAIRE

S'il vous plaît entrez votre commentaire!
S'il vous plaît entrez votre nom ici

spot_imgspot_img

Articles apparentés

spot_imgspot_img

Suivez-nous!

1,877FansJ'aime
133SuiveursSuivre
558AbonnésS'abonner

RÉCENTS ARTICLES